Tout le monde a un passé difficile ou quoi, ici ?

Mouhahaha, j'ai bien l'impression, oui !

Moi j'aime bien le sang, souvent quand je saigne, je suce la plaie. J'ai déjà fait un don du sang, allant jusqu'à regarder l'aiguille qui rentre dans la veine !

_{(à refaire d'ailleurs, mais souvent... j'ai la FLEMME)}

Autant pour moi pour le rouge, j'avais déjà entendu dire ça, oui !

Au final, hd595 tu découvriras le visage d'une INTP pour une autre fois.

Personnellement, j'ai pas le sentiment que nous nous ayons de trait physique particulier commun, cependant nous sommes plutôt ectomorphes.

J'aime bien le sang aussi.
Et à peu près tous les INTP avec qui j'ai parlé virtuellement ou parmi ceux que j'ai identifiés IRL sont ectomorphes (sauf un, en fait).

Sinon j'ai pas eu un passé difficile, il m'est pas arrivé grand-chose.

.

Ah ah Caillou.

Sinon, je valide pour la"case" passé difficile... J'ai déjà eu l'occasion de laisser mon témoignage sur le forum, à moins que les curieux ne le retrouvent pas (ou que je me plante), je reste disposé à en refaire un.

J'vais essayer de cherche ça, Heisenberg, je n'aimerai pas te faire écrire un texte pour rien.

Si je le trouve, je donne le lien ici.
Encore faut-il que je me force un peu pour le cherche !

https://mbti.forumactif.fr/t375-psychotherapie-collective#5291
https://mbti.forumactif.fr/t307p15-permis-de-conduire#4028
https://mbti.forumactif.fr/t362p15-un-refoulement-peut-il-pousser-l-individu-a-changer-de-type#4982
https://mbti.forumactif.fr/t362p15-un-refoulement-peut-il-pousser-l-individu-a-changer-de-type#4971


Voilà quelque lien sensibles sur la situation d'Heisen.

Merci Exterkate !

Bon finalement je vais faire un complément, histoire que mon parcours soit bien clair.

J'ai grandis à paris, puis en banlieue après le divorce de mes parents en province lors de mes 7-8 ans. J'ai des troubles de l'agressivité, suite à la vision de la tentative de viol de mon père sur ma mère au moment de leur rupture. Quand je suis arrivé à Paris, c'était en plein milieu de l'année scolaire, je n'ai pas su m'intégrer et ai même été rejeté, bizuté, etc... j'ai redoublé cette année de CE1. 2 ans après, ma mère fait une première tentative de suicide, on l'a décrite comme dépressive. Puis, après plusieurs années à vivre dans le 15ème, à la fin de la primaire, j'ai atterri en banlieue parisienne, à Créteil qui n'avait strictement rien à voir avec le milieux que j'ai fréquenté précédemment. J'étais avec mes préjugés et mes craintes de gamin de 11 ans, s'en suit donc un réapprentissage des codes sociaux, je me battais tout le temps, je restais plutôt calme en classe, mais ne fichais strictement rien, les cours ne m'intéressaient pas, préférant me laisser emporter par mes rêves. Je redouble pour ma seconde fois en 6ème. Je développe mon réseau amicale, mais reste dans une situation scolaire trouble. Ma mère alla jusqu'à consulter les écoles de formations en CAP.

En 4ème, j'atterri en classe d'aménagement (les classes à effectif réduit pour les élèves en difficultés, dont le cas requiert un accompagnement plus personnalisé du corps enseignant). Durant l'été précédant je m'étais battu avec mon père sous un faux prétexte, n'ayant jamais admis ce qu'il avait fait à ma mère, il se trouva qu'il décéda plusieurs semaines après la rentrée. C'est surement du à l'insensibilité de l'INTP, mais je n'ai jamais pu pleurer sa perte, mais elle m'a longtemps hantée. Durant cette année de 4ème, je rencontré un ami INTJ (que je compte toujours aujourd'hui parmi mes proches) dans cette classe aménagée, en 3ème on a commencé à se lâcher en mettant le bordel en classe.

J'ai eu mon brevet, grâce aux pressions du principal sur ma famille (ma mère+ mes grands-parents trop influant), j'ai atterri en 2nd générale, alors que celle-ci voulait m'envoyer faire un BEP sanitaire et sociale...
Voulant me faire rentrer au plus tôt sur le marché du travail.

Ma mère recommença une nouvelle tentative de suicide, elle fut internée en service psy. Elle était complément paranoïaque, elle hallucinait, croyait qu'on l'espionnait, etc... Les médecins de l'hôpital Dieu la remettent sur pied à dose d'Aldol, se faisant elle dormait constamment.

Nous avions des relations en éclats, faite de querelles qui dégénéraient sans cesse. Sa violence verbale m'insupportait et m'incitait à la violence physique. Malgré mes notes très moyennes, j'arrivais à me hisser en première et puis en terminale. Restant très introverti et passif au sein de mes classes de lycée, faisant semblant de m'intégrer. En terminale, c'est l'échec total, je n'ai rien fait de l'année à part m'embrouiller avec ma mère, n'arrivant plus à me concentrer en sa présence. Je n'ai pas mon bac. C'est cette année là que je vais faire une rencontre qui va changer ma vie, l'assistante sociale du lycée où j'étais m'a beaucoup soutenu dans mes épreuves et m'a beaucoup écouté, m'a valorisé auprès de ma famille (ce qu'elle-même était incapable de faire). Durant l'été ma mère prend mal ses médicaments et replonge.

Elle est hospitalisée dans un service psy, d'un hôpital de Créteil, je l'ai vu totalement amorphe, délirante, l'air abruti par les doses médicamenteuses de cheval qu'on lui prescrivait, aux milieux d'autres patients pour certains SDF, auto-mutilés ou tout aussi amorphes qu'elle.

J'ai passé environs 6 à 8 mois seul dans l'appartement de ma mère, ayant moi-même des troubles dépressif et sous roaccutane (qui donne sont lot de symptômes et signes dépressif, ce dont je n'avais pas connaissance), complexé par mes soucis d'acné. Mes grands-parents venait environs tous les 15 jours restant quelques jours à mes côtés. J'allais chaque week-end au service psy voir ma mère. Paradoxe total, je m'étais jamais senti aussi seul, mais je n'avais jamais été aussi bien pour travailler, je pouvais plus me concentrer sur les cours et j'affectionnais mes prof, tout étaient réunis côté études pour que je puisse obtenir mon bac SMS ; Sciences Médico-Sociale; (oui, après la volonté de faire de moi un aide-soignant, on voulait que je sois infirmier) cette fois-ci.

Les médecins ont diagnostiqué ma mère comme schizophrène, ma mère revenue avec un nouveau traitement, était plus plus équilibrée, moins schizoïde, paranoïaque et dépressive. Elle s'est entretenue avec avec l'assistante sociale, qui lui a indiqué qu'on devait me laisser poursuivre mes études et je cite mot pour mot "votre fils est doué, il pourrait faire HEC". J'ai cru qu'elle débloquait complètement et qu'elle faisait cela seulement dans le but de me valoriser auprès de ma famille, tout en voulant me redonner confiance en moi-même.


J'ai obtenu mon bac après ce 3ème redoublement, et j'ai atterri à la fac d'AEI Créteil, j'ai été déçu, que ce soit par les enseignants, les matières enseignées ou même la mentalité des étudiant(e)s, ne parlant que de foot et ne pensant qu'à tricher lors des examens, ça m'a assez répugné. Puis, en visitant les autres fac j'ai relativisé et vu qu'effectivement certaines fac de l'université de Créteil n'étaient pas au niveau des attentes que j'espérais, comparées à d'autres universités. Ne sachant pas quoi faire de ma vie, ayant découvert la sociologie avec cette introduction universitaire et une attirance pour la psycho, je décide de m'orienter en sciences de l'éducation et sciences sociales. Je passe la première année, dans un environnement qui m'intéresse plus ou moins, mais surtout et encore très féminisé, mais que je préférais au milieu de la fac précédente.

J'ai fait une dépression amoureuse au second semestre, de la seconde année, avec ma mère qui m'incitait à quitter le domicile familial, "qu'à mon âge (23 ans) ce n'est pas normal de vivre encore chez "ses parents" ". Sous influence de mes grands-parents (pour la petite histoire ma mère a quitté le domicile familial à 18 ans, sans diplôme, s'est mariée avec le premier venu et m'a eu un an après) et de ses amants, copains du moment (nous vivons dans un 2 pièces).

Se faisant, j'ai passé tout l'été dernier prostré chez moi, en pleine dépression, fuyant tout le monde et faisant semblant d'aller bien auprès du peu de personne que je voyais. J'ai consulté un psy qui m'a mis sous anti-dépresseur. J'ai arrêté après deux séances, prenant aléatoirement mes médicaments. Ne comprenant absolument pas ma différence dans ce monde, je suis resté à errer derrière mon pc, en allant sur les forums de JVC, tentant de m'instruire, de débattre et de passer à autre chose. Je suis retourné à la fac en dépression, foirant mon premier semestre avec des notes allant des meilleures aux plus mauvaises. Me couchant à des heures très tardives, arrivant à la fac en retard, endormie, à la ramasse. Passant mes soirées sur les forums ou également d'autres dépressifs étaient présents, avec qui je m'entendais mieux que la plupart des personnes de mon entourage, je suis tombé un soir de décembre sur le test du MBTI, en lisant la description du profil INTP tout pris un sens.

En janvier, je suis sorti de ma dépression (juste après le décès de l'un de mes chats, paradoxe^^), je compte me ré-orienter l'an prochain en 3ème année de sociologie à l'université de Chambéry et peut-être poursuivre en master sociologie de l'urbanisme (domaine qui semble bien travailler mon Ne :geek: ). Je suis resté en contact avec l'assistante sociale de mon lycée, et ai appris qu'elle est tout comme moi INTP.

Voilà, j'espère que mon récit n'a pas été trop pompeux, pour ceux qui ont eu le courage de le lire intégralement. J'espère que d'autres se livreront un peu plus et pas uniquement des INTP, car je sais que certains des membres appartenant à d'autres profils ont eu pas mal de soucis dans leurs parcours de vie (comme le parcours d'Exil semé de problématiques également, ainsi que celui de Chasingstarlight que je connais moins en détail) et que la confrontation des diverses situations est toujours thérapeutique (bien que pour l'heure je me sente plus vraiment dans une situation problématique aussi sur le plan familial que social et psychologique) même si le but n'est pas de pleurer sur le sort de chacun mais bien de l'orienter et de comprendre ce qui le différencie ou le rapproche de nous, l'introspection et la confrontation étant toujours bénéfique à différentes étapes de la vie.

Tu m'en excuseras, j'ai craqué Exterkate et je me suis étalé. Voyant ta recherche de mes témoignages et cherchant à te nourrir des expériences (à priori problématiques) de chacun, je me suis dit que mon récit pouvait peut-être t'intéresser. Je ne cherche pas la satisfaction de mon égocentrisme (au contraire, il est préférable de savoir comment rompre avec cela) par des commentaires d'apitoiement ou la compassion de mon vécu, juste le partage des expériences vécues. N'étant pas pourvu d'une éducation, d'une culture (je n'ai jamais énormément lu) ou d'une réflexion hors norme, c'est vrai que j'ai souvent tendance à référer à mon expérience personnelle et avoir recours au "moi je", aussi je vous demande de bien vouloir m'en excuser.

Au plaisir de vous lire !

Edit : Je viens de capter que j'ai étalé ma vie sur ton topic Caillou, je pense que tu m'en excuseras mais je tenais à le signaler quand même (que j'étais désolé).

Exterkate: pas mal ton image de profil, avec un personnage ressemblant à un shinobi de Naruto.

C'est Mistgun, de Fairy Tail.
J'adore tout ce qui est personnage masqué.

Lui est pas mal dans son genre :

http://www.google.fr/imgres?um=1&hl=fr&sa=N&biw=1366&bih=653&tbm=isch&tbnid=_2ecvB662ECkIM:&imgrefurl=http://www.forevergeek.com/2009/10/phantom_requiem_for_the_phantom/&docid=N0f3e8sYmLiSnM&imgurl=http://www.forevergeek.com/wp-content/uploads/2009/10/phantom03-540x303.jpg&w=540&h=303&ei=XO3AT8HUMKml0AWL5ID2Dw&zoom=1&iact=hc&vpx=554&vpy=64&dur=1932&hovh=168&hovw=300&tx=124&ty=111&sig=109694795254858714345&page=1&tbnh=103&tbnw=184&start=0&ndsp=18&ved=1t:429,r:2,s:0,i:74

http://www.google.fr/imgres?um=1&hl=fr&sa=N&biw=1366&bih=653&tbm=isch&tbnid=V-GE8il0aUaSIM:&imgrefurl=http://www.narutouchiha.com/foro/personajes-parecidos-t138528.html&docid=skHXZO9MOv2xlM&imgurl=https://2img.net/r/ihimizer/img210/1866/96024931.png&w=254&h=225&ei=XO3AT8HUMKml0AWL5ID2Dw&zoom=1&iact=hc&vpx=602&vpy=200&dur=341&hovh=162&hovw=183&tx=80&ty=92&sig=109694795254858714345&page=4&tbnh=137&tbnw=155&start=66&ndsp=25&ved=1t:429,r:14,s:66,i:247


http://www.google.fr/imgres?um=1&hl=fr&biw=1366&bih=653&tbm=isch&tbnid=re5ajwDKSiC8iM:&imgrefurl=http://www.animecrazy.net/phantom-requiem-for-the-phantom-images/402/Image/742&docid=_W_RvWyzuVb4NM&imgurl=http://i.animecrazy.net/phantom3.jpg&w=1002&h=567&ei=g-3AT4iEJMit0QX9r6izCg&zoom=1&iact=hc&vpx=156&vpy=219&dur=962&hovh=169&hovw=299&tx=186&ty=62&sig=109694795254858714345&page=1&tbnh=126&tbnw=170&start=0&ndsp=18&ved=1t:429,r:0,s:0,i:71



Faut que je lise ton pavé maintenant.

EDIT : Après une lecture, totalement plonge dedans, je suis... assez... neutre.
Enfin, je ressens un peu de compassion, d'empathie, mais franchement, je n'aimerai pas du tout avoir ton vécu.
A côté de ça, j'ai carrément pour obligation d'être heureux. C'est fou.
Avant, je relativisais sans en prendre conscience, sur mon bonheur, mais en fait, j'étais encore loin de ça.
Je te remercie d'avoir écrit ça, ça m'enrichie.
A te lire sur d'autres postes, t'as vraiment pas l'air d'avoir vécu ça. :o
Faudrait un jour que j'étale aussi toute ma vie, même si à côté de ça, ça relève du conte.^^

J'ai chialé . 'Fin non mais ça m'a rendu triste, surtout quand tu dis ça "ma mère a quitté le domicile familial à 18 ans, sans diplôme, s'est mariée avec le premier venu et m'a eu un an après"... ça me dégoûte. Et je pense pas que c'est mon romantisme excessif qui parle là.

Comme Exterkate, mon histoire ressemblerait à un conte à côté. Dépression amoureuse de 5 ans (à tel point que quand je ne l'étais plus, je ne me sentais pas bien, plus moi-même) + absence de communication avec mes parents et voilà c'est bouclé x).

Heisen, j'ai lu ton post, et franchement j'ai été touché. Dire qu'en ce moment je me sens mal, ce n'est rien comparé à toi, j'espère sincèrement que tu vas t'en sortir, tu as l'air d'être quelqu'un de bien, conscient de ses problèmes, j'aurais aimé connaître quelqu'un comme toi !

Enfin bon les mots me manquent en ce moment désolé, mais j'espère beaucoup que tu vivras une vie heureuse, tu le mérites !

Récemment j'ai eu une sorte de révélation, j'ai réalisé que tout était facile et qu'il était pas nécessaire de se prendre la tête pour des conneries (c'est complètement évident mais à vivre c'est un peu plus intense), et j'ai buggé, je trouvais ça trop facile.
En fait c'est mon côté 9 qui se réveillait (faire abstraction des problèmes au lieu de les traiter), et ton exemple me fait penser qu'effectivement c'est pas très difficile dans mon cas. J'ai pas beaucoup aimé ton histoire. Mais tu peux passer outre, pense à l'avenir, à toi,ce sera déjà un début. Je pense.

Citation :

Mais tu peux passer outre, pense à l'avenir, à toi,ce sera déjà un début. Je pense.

Carrément Aya, c'est l'une des raisons de ma présence ici, m'ouvrir aux autres, découvrir d'autres univers et ne plus rester cloîtré dans ma petite sphère.

Ça te fait progresser, en ça c'est carrément bénéfique.

Personnellement j'ai rien vécu, enfin que des choses "bien", j'ai été élevé dans une famille aimante etc., j'ai été compris (en tout cas écouté), vivant dans un certain confort etc. En somme, j'ai jamais vraiment souffert. Et c'est comme s'il me manquait quelque chose du coup, je le vis vraiment comme ça. "J'ai pas été éprouvé."

Attends de goûter à l'affection d'une fille Aya, d'être épris pour elle de sentiments profonds, si ça casse, il y a de forte chance que tu en sois éprouvé. C'est une expérience que chaque être humain vit certes, mais selon les profils, je suis persuadé que cela ne nous affectes pas du tout de la même manière. Surtout les 4 qui sont des romantiques.

Puis, je souhaite à mes enfants le style de vie que tu as pu vivre plutôt que le mien, même si ça m'a fait grandir. Mais je serais un père sadique, tyrannique et démoniaque... Mwahahahah !

J'aimerai tant me prendre la claque de l'amour, moi aussi ! :o

Mais bien de l'amour hein, le reste, j'en ai déjà assez pris.

.

Merci Heisenberg, pour le partage de ton passé ... qui m'a touché tu t'en doute.

.

caillou a écrit:

Spoiler:

Merci! je suis rassuré.

Citation :

je tiens à être stricte pour lui apprendre, je l'espère, de bonnes valeurs et une certaine discipline (à ne pas confondre avec la rendre bête et docile comme les zombies qui nous entourent). Paradoxalement, je lui laisse beaucoup de liberté, comment dire... dans le sens où je considère une égalité entre nous en tant qu'êtres, afin qu'elle puisse ne pas se sentir bridée dans sa personnalité, c'est ma façon de lui montrer que je respecte celle qu'elle est.

J'ai à peu près la même conception des valeurs que j'inculquerai à mes enfants, en ce qui concerne l'enseignement des valeurs et le rapport d'égale à égale. Après, j'essaierai de pas trop être intrusif arrivé à leur adolescence, les laissant se créer leur propre système de valeurs, mais en même le besoin de les protéger quitte à être étouffant risque de me rattraper . :P

Je me vois en papa poule un peu à l'ouest.

Mais comme conduire une voiture, avoir un enfant m'effraie, car ça constitue une grosse responsabilité (car je les adores autrement) et vu que je suis un peu déphasé, je crains de faire une connerie avec (genre l'oublier qque part ou de tourner les yeux 2 min, qu'il lui arrive un truc) ou de trop en laisser la charge à ma compagne (mon côté feignasse).

Sinon, merci pour la photo. t'as l'air malicieuse, de ce qu'on voit du bout de ton visage ! :P

hd595 > Tu penses pouvoir trouver une INTP dans tout cette meule de foin ? =)

Je serais également curieux de voir une femme INTJ.

Hontuyet > C'est un peu à ça qu'a ressemblé l'éducation de ma mère. Je crois que ça l'a quelque part introvertie, car elle manquait de confiance en elle. Mais, depuis que son traitement est équilibré et qu'elle compris les origines de ses troubles. Maintenant, c'est une pure ESFP.

J'aurai plus tendance à croire que l'éducation a une influence sur nos sous sous-fonction, genre celle de l'enneagramme que sur les fonctions présentés par le MBTI (sauf en ce qui concerne le développement de celle-ci). Du coup, je pense que dès les premier pas de la vie, on est pré-disposé à être introvertie ou extravertie. Il y avait un sujet sur le refoulement des types, je me dis qu'effectivement une névrose pourrait conduire à un changement de type.

Mais si tout est clean pour toi, alors je pense qu'une autre éducation ne t'aurais pas forcément plus extravertie. J'ai déjà vu quelques cas de parents tout ce qu'il y a de plus extravertis, avoir des enfants assez introvertis. Enfin, j'en connais pas assez pour en faire une généralité. :joker:

Heisenberg a écrit:

hd595 > Tu penses pouvoir trouver une INTP dans tout cette meule de foin ? =)

Oo
Qu'est ce que tu veux dire?

Que vu le sous-effectif des femmes INTP dans la population globale, il te faudra être armé de beaucoup de patience, si tu en recherches une.

Après je pense que selon les milieux (milieux professionnelles et d'orientation scolaire, j'entend) que l'on fréquente, on peut être plus ou moins amené à en fréquenter une. Enfin, c'est qu'une spéculation.