Roh mais cherchez donc des extraverties (E/I c'est le must dans une relation !) Bon j'avoue des fois c'est difficile à supporter... mais je suis toujours intrigué par le fond des extraverties, elles cachent tout le temps un truc, mais vu que c'est des E elles se mettent un masque "social". Après j'ai rien contre les femmes I, mais dans une relation E/I je dirais que c'est le must perfect total combo de la mort

Heisenberg a écrit:

Que vu le sous-effectif des femmes INTP dans la population globale, il te faudra être armé de beaucoup de patience, si tu en recherches une.

Je ne "recherche pas une INTP". Je voulais juste savoir si le coté "masculin" NT avait un impact sur le physique.
Je vois que ce n'est pas le cas pour Caillou, qui, malgré le fait qu'elle se cache et veuille nous tuer ( ) a l'air tout à fait ravissante.
Je suis donc rassuré même si 1 cas ne démontre rien.

Pour la remarque de ChasingStarlight, je suis d'accord. Dans une relation, comme dans la vie, c'est soit on reste dans sa zone de confort: on est bien mais on évolue pas et reste dans son monde, soit on fait des concessions et on progresse et s’enrichit, mais c'est difficile d'y arriver car il existe une 3ème voie pire que toutes: sortir de sa zone de confort et se planter.

Concernant les relations amoureuses, me concernant, je m'aperçois que le type MBTI ou profil enneagramme ne sont qu'une aide. Ce qui m'importe le plus chez une femme est qu'elle soit capable de, l'espace d'un instant, raisonner avec sa seule raison, juste l'espace d'un instant. ça offre une vision des choses qui est pour moi indispensable (en plus de la vision empreinte d'empathie bien sur qui est tout aussi indispensable). Il faut l'équilibre. et pour moi l'équilibre ce n'est pas être entre les 2, c'est pouvoir voir les choses des 2 points de vue.
Je ne peux pas avoir de relations totale avec quelqu'un qui n'est pas conscient de l'influence qu'ont ses sentiments sur sa raison. Disons que pour illustrer par l'extrême, je déteste les hystériques. l'hystérie est une preuve totale de manque de maturité affective et sentimentale. et je fuie l'immaturité affective. Or contrairement à la pensée commune, la maturité affective n'est pas le fait d'être plus sensible qu'un autre. enfin bref, voila.

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caillou a écrit:

Arf... Je me suis toujours imaginé sans enfant, trop de responsabilités oui, mais aussi trop de contraintes. (Mon compagnon qui m'a harcelé, j'ai cédé (bon y'a tout un contexte derrière hein) mais aujourd'hui qu'elle est là, je ne me vois plus sans elle (un semblant d'instinct maternel quand même ? Hourra ! Elle est pas insensible) ^^ (En fait, ce qui me "dérange" le plus chez les enfants, c'est leur manque d'autonomie... Bon je sais là, j'en demande trop =D).

Bon... je ne sais pas comment te le dire...
J'espère que tu vas pas le prendre mal...
Enfin voila... heu... c'est que...


Bon voila, en fait, tu as oublié de fermer une parenthèse.
:lol!:

(je suis loin)

Caillou, j'ai du mal à comprendre ton souci. Tu dis que tu aimes la solitude, et tu dis aussi que tu dois t'adapter. Enfin, tu as conscience que tu désires modifier ton comportement pour te débrouiller un peu mieux au niveau relationnel. Je ne vois pas quoi ajouter de plus, si ce n'est que tu dois toi même te poser, réfléchir à ton comportement et prendre le temps de voir ce que tu peux modifier un peu, beaucoup et ce à quoi tu ne veux pas toucher. Après, on ne peut pas s'adapter à tout le monde non plus.

Je viens de voir que tu as 25 ans, mais en te lisant j'ai cru que tu étais plus jeune que moi

Un seul mot, reste toi même, et change pas. Sinon tu te paume littéralement. Comme moi. Et c'est très difficile de se retrouver.
J'ai aussi essayé de changer pour les autres (y'a des chances que j'aie essayé de passer de IN (bien que je n'en sois pas sûr, à ES, vu mon environnement).
Donc si tu es introverti, soit introverti. La confiance en soit ne s'acquiert pas par l'approbation d'autrui, mais bel est bien par une acceptation de soit, et j'ai envie de dire que tu peux envoyer balader ceux qui savent pas t'apprécier.
J'ai dis ça par rapport au message de Jicky.

Dès que j'ai quelque chose à enseigner pour que quelqu'un d'autre aille mieux, je le donne avec joie.

J'espère que ce message t'aura été utile.



EDIT : Je suis très mal placé pour dire ça, je sais.

Exterkate a écrit:

Un seul mot, reste toi même, et change pas. Sinon tu te paume littéralement. Comme moi. Et c'est très difficile de se retrouver.
J'ai aussi essayé de changer pour les autres (y'a des chances que j'aie essayé de passer de IN (bien que je n'en sois pas sûr, à ES, vu mon environnement).
Donc si tu es introverti, soit introverti. La confiance en soit ne s'acquiert pas par l'approbation d'autrui, mais bel est bien par une acceptation de soit, et j'ai envie de dire que tu peux envoyer balader ceux qui savent pas t'apprécier.
J'ai dis ça par rapport au message de Jicky.

Dès que j'ai quelque chose à enseigner pour que quelqu'un d'autre aille mieux, je le donne avec joie.

J'espère que ce message t'aura été utile.



EDIT : Je suis très mal placé pour dire ça, je sais.

J'ai envie de dire "oui mais"... Si personne ne t'apprécie vraiment ? Enfin, s'il y a peu de gens de son entourage qui l'apprécient énormément et que ça lui cause quelques souffrances, autant chercher à y remédier. Mais là où je te rejoins, c'est qu'il y a un travail à faire sur soi en ce qui concerne la confiance en soi que l'on a.

Sinon, pour les changements, ça ne se fait pas en un claquement de doigt. Je le sais parce que j'y ai été moi même confrontée. C'est un travail long et fastidieux, mais ça paye, je le confirme.

Après, c'est peut-être mon J qui me pousse comme ça

Si personne ne t'apprécie vraiment, c'est déjà qu'il y a un problème à la base, en effet. Je pense que c'est parce que t'es déjà pas sur tes rails.
Donc, oui, encore une fois, faut un travail sur sois.

Faut déjà savoir où, comment et vers quoi changer.
Ce que je cherche à savoir, personnellement.

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Je crois, caillou, que tu aurais besoins d'une écoute attentionnée et sans jugement comme le ferait un véritable ami.
Quelle est la réaction de ton compagnon actuel quand tu lui en parles (sans vouloir être indiscret)?

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Euh caillou, tu ne penses pas que ça puisse avoir un impact sur toi même son comportement ?

Autre question : consultes-tu ou as-tu déjà consulté ?

Si, bien sur Jicky. J'essaye de prendre un maximum de distance et de détachement, en rapport avec la situation.

Je ne consulte pas mais j'ai été suivi à deux reprises (sur du long terme) sinon, j'ai vu toute une panoplie de psy chez lesquels je ne suis jamais restée. Le premier (long terme) c'était suite à ma première ts, thérapie obligatoire si je ne voulais pas être hospitalisée. A part me dire "vous savez le maquillage, c'est un masque, et vous vous cachez derrière" ou bien après avoir lu mes catharsis sous forme de "poèmes" et textes courts "c'est sombre..." (pertinent n'est ce pas ? ^^) Le reste du temps nous nous regardions dans le blanc des yeux =D
Le second, c'est mon ex pervers narcissique qui me l'a "vivement suggéré" afin que je ne sombre pas dans la folie, il était "gentil" mais je ne le voyais qu'une fois par mois et comme j'ai quitté mon ex et déménagé...
J'ai pensé à consulter de nouveau mais j'ai peur que ça ne serve à rien (si c'est pour me sortir ce que je sais déjà, bof) et du coup, je ne cherche pas ^^'

ah ouais quand même... tu dois te sentir bien seule ma pauvre

Il ne faut pas s'arrêter sous prétexte d'être tombé sur deux incompétents. Privilégie les psychologues cliniciens, pas les psychiatres. Si tu as des soucis d'argent (on sait jamais), tente la consultation en CMP. Mais je pense que tu en as vraiment besoin.

C'est bien que tu sois là pour ton enfant sinon, tu as l'air d'être vraiment proche de lui.

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Vraiment c'est très touchant ton post Caillou... tu dois être une mère formidable ! Je te souhaite de rencontrer quelqu'un de bien un jour, ça doit encore exister les gens bien ><

Après lecture de tes posts, je pense également qu'il est important que tu consultes et que tu aies un suivi. Comme tu dis, si tu ne le fais pas pour toi, tu dois le faire pour ta fille.

Il ne faut pas que tu t'arrêtes sur une fausse note avec les premiers thérapeutes rencontrés (oui c'est moi qui dit ça, mais là je suis en thérapie familiale, parce qu'elle a porté ses fruits grâce à excellentes thérapeutes, je me décide à consulter de nouveau pour moi). Je te conseilles de tenter une consultation avec une femme, personnellement je me sens plus à l'aise avec elles qu'avec les hommes pour me livrer et je les trouve plus pertinentes (à moins que ce ne soit limité qu'aux cas que j'ai connu et à ceux de ma mère).

Et vu ton parcours, tu n'as pas à te sentir demeurée.

Ton histoire est très touchante, j'espère que tu t'en sortiras.

caillou a écrit:

La musique, les arts martiaux (sports de combat en général), et un peu tout ce qui me tombe sous les yeux.

Idem pour moi, ce sont de très bon centres d'intérêt, dont je m'efforce d'approfondir la connaissance en pratiquant. Je ne pourrais que conseiller de se mettre sérieusement à un instrument ou une discipline martiale si la possibilité matérielle de le faire existe ! Tu parles d'ailleurs de difficulté à t'exprimer, tu peux également faire usage de ces moyens détournés afin d'y parvenir^^.

Quoi qu'il en soit, je te souhaite bien du courage dans ta situation. Je n'ai bien entendu que peu d'éléments pour donner un conseil qui serait véritablement approprié, mais je ne peux qu'appuyer ceux qui te recommandent de ne pas lâcher car tu es tombée sur deux personnes inadéquates.

Sinon je présume que ta priorité est avant tout ton enfant de toutes manières, c'est pourquoi dan tous les cas, je pense que les décisions que tu dois prendre doivent être motivée par rapport à son intérêt. Et une chose est certaine, s'il apparaît clair que toi et ton enfant seraient mieux si tu te séparais de ton compagnon, il n'y a aussi pas à hésiter. Mais là c'est la vision de quelqu'un de rationnel et pragmatique qui parle d'une situation qui ne le concerne pas, il est évident que tirer un trait sur une partie de sa vie ou un proche n'est souvent pas chose aisée.

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Jicky a écrit:

Exterkate a écrit:

Un seul mot, reste toi même, et change pas. Sinon tu te paume littéralement. Comme moi. Et c'est très difficile de se retrouver.
J'ai aussi essayé de changer pour les autres (y'a des chances que j'aie essayé de passer de IN (bien que je n'en sois pas sûr, à ES, vu mon environnement).
Donc si tu es introverti, soit introverti. La confiance en soit ne s'acquiert pas par l'approbation d'autrui, mais bel est bien par une acceptation de soit, et j'ai envie de dire que tu peux envoyer balader ceux qui savent pas t'apprécier.
J'ai dis ça par rapport au message de Jicky.

Dès que j'ai quelque chose à enseigner pour que quelqu'un d'autre aille mieux, je le donne avec joie.

J'espère que ce message t'aura été utile.



EDIT : Je suis très mal placé pour dire ça, je sais.

J'ai envie de dire "oui mais"... Si personne ne t'apprécie vraiment ? Enfin, s'il y a peu de gens de son entourage qui l'apprécient énormément et que ça lui cause quelques souffrances, autant chercher à y remédier. Mais là où je te rejoins, c'est qu'il y a un travail à faire sur soi en ce qui concerne la confiance en soi que l'on a.

Sinon, pour les changements, ça ne se fait pas en un claquement de doigt. Je le sais parce que j'y ai été moi même confrontée. C'est un travail long et fastidieux, mais ça paye, je le confirme.

Après, c'est peut-être mon J qui me pousse comme ça

Oui c'est vrai que si personne t'apprécie... au bout d'un moment tu te pose des questions quand même. Je comprends qu'il faut être soi même, mais envoyer balader quelqu'un qui t'apprécie pas... bon après c'est peut être mon idéalisme propre, mais je dirais qu'il faut être tolérant, respectueux mais aussi garder un jugement sur la personne, faut pas non plus s'attacher à des personnes qui nous veulent du mal, donc oui comme la dit Jicky c'est un long travail sur soi même, un travail sur ses émotions mais aussi sur sa conscience et sa motivation, et puis bon cultiver son espoir surtout.

Je remonte un peu ce thread qui m'a beaucoup touché. Honnêtement Caillou, t'as l'air d'en avoir chié un peu grave.

Je partage totalement ton attitude de retrait des situations sociales. Pour tout dire, mon fantasme serait d'être un fantôme: pouvoir aller ou je veux, apprendre ce que je veux, sans que personne ne me voie et ne me demande rien. Pendant une période, je n'ai même eu aucune fréquentation, et même aujourd'hui, en dehors du boulot, je ne voies pas spécialement de gens. Néanmoins, je pense qu'il est indispensable de se faire violence. Il faut, sinon aller vers les autres, ce qui peut être extrêmement difficile, du moins ne pas se fermer à leur approche. On peut établir certaines limites d'intimité à ne pas franchir, certes, mais il ne faut pas décourager toute tentative d'approche. L'humain est un animal grégaire et ça nous concerne aussi, tout INTP que nous sommes.
En tout cas y a une chose dont je suis sûr: se cloîtrer chez soi n'apporte rien de bon. Même les moines vivent en société.

Deuxième point que je voulais aborder, essaye de consulter. Il faut parfois du temps pour trouver un thérapeute adapté, mais ça vaut le coup. A titre personnel, c'est le troisième qui a été le bon. La première était une psychanalyste, qui m'a été conseillée à un moment ou je ne voyais pas d'autre issue que de me foutre en l'air. J'était un peu sceptique au début, mais ça m'a au moins permit de me déverser et d'aborder des sujets dont je n'avais jamais parlé à personne. Je me suis senti écouté, mais je n'ai pas vraiment eu l'impression de progresser. J'ai arrêté parce que ça me coûtait une blinde.
Un an plus tard, j'ai consulté dans un CMP. La psychologue était gentille c'est sûr. Il s'est d'ailleurs trouvé que ma soeur l'avait vue à une période, et elle en avait été très contente. Mais avec moi, quelque chose bloquait. J'avais l'impression qu'elle ne comprenait pas ce que je lui disait, elle me trouvait trop abstrait. En gros, elle aurait voulu que je déballe des anecdotes sur ma vie là où j'essayais de dégager des problématiques. Ça n'allait nulle part, j'ai arrêté.
Encore un an plus tard (^^), mon médecin m'a conseillé un psychiatre, qu'il avait consulté pour me prescrire un truc. Et là , rapport totalement différent. le mec comprend ce que je lui raconte, rebondit, propose des trucs. J'ai enfin l'impression de faire un vrai travail, constructif. Ça fait un an et demi que je le vois, et franchement, ça fait du bien.

Donc voilà, c'était pour dire qu'il ne faut pas s'arrêter à une ou deux mauvaises expériences. Une thérapie c'est un truc profondément personnel, il faut donc trouver le bon interlocuteur. Et même s'il peut être chaud à trouver, y en a quand même des bons.

Pourquoi les 3/4 des gens ici sont en phase de consulter un psy, qu'on m'explique ?
Si c'est pas déjà fait. x)

Parce que les trois quarts des gens ici se posent des questions sur eux-mêmes, ont du mal trouver des réponses, tournent en rond malgré eux et ont au final besoin d'une assistance extérieure.
Plus je pense qu'il devrait y avoir beaucoup plus de gens qui consultent au lieu de croire qu'un souci d'ordre psychologique ou mental est moins grave qu'une maladie au sens strict.

Exterkate a écrit:

Pourquoi les 3/4 des gens ici sont en phase de consulter un psy, qu'on m'explique ?
Si c'est pas déjà fait. x)

Je m'étais déjà posé la même question ...