J'ai toujours eu un bon feeling avec les ISFP (ma copine est ISFP, mes deux meilleurs amis aussi). Un feeling spécial avec les ENFP, c'est comme des cousins naturels (en mode si si la famille). Les INTP c'est rare que je me prenne d'affection pour eux, ça m'est arrivé qu'une seule fois (et encore il était spécial comme INTP). INTJ amitié fréquente, discussions intéressantes, j'aime bien les taquiner. Etrangement (ou pas) les autres INFP j'ai soit du mal, soit c'est assez fusionnel/passionnel. Les ENTJ je me méfie toujours d'eux, c'est plus fort que moi    (à part une que je connais qui est très cool ). Les INFJ m'attirent naturellement, presque toujours. Et les ENFJ .. je sais pas trop quoi en penser, en général ils me fascinent un peu au début et ce qui tombe sous leur masque me rend distant la plupart du temps, même si je peux pas nier qu'il y a un truc. En général pour tous les autres types j'ai une grosse tendance à être très froid et distant, je sympatise très difficilement à long terme (surtout avec les ESTP :x ).

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Awander a écrit:

Les filles INTP, ça peut être sympa. Je développe, faut les réhabiliter:

Comment ça faut les réhabiliter? Tout le monde sait bien que les filles INTP ça déchire.

hard a écrit:

Awander a écrit:

Les filles INTP, ça peut être sympa. Je développe, faut les réhabiliter:

Comment ça faut les réhabiliter? Tout le monde sait bien que les filles INTP ça déchire.

Je parlais en référence à ce que dit Chase plus haut, ce qui m'a rappeler que dans mon entourage les filles INTP ne sont pas très "populaires" (je peux comprendre aussi, c'est un type de personnalité assez marqué et en retrait, donc soit t'aimes, soit t'aimes pas). Voila pourquoi j'emploi le terme réhabiliter, c'est des personnes, pour moi, bien plus intéressantes qu'il n'y parait.

J'aime bien les INFP, ils sont souvent originaux et super intéressants, ouverts d'esprit, très aimables et respectueux. Enfin je ne suis pas très douée pour reconnaître les types des gens mais c'est ce que je ressens. Les ENFP aussi ont toujours la pêche, savent parler, et ont beaucoup d'imagination, et ils sont aussi imprévisibles, on s'ennuie pas avec eux! Mais qu'est ce qu'ils peuvent être lourds des fois! Par contre ça passe rarement avec les ESTP, je ne sais pas, j'y arrive pas!

Je n'ai pas encore eu de relations mais mon premier amour je la type ISTP ou ISTJ, j'avais un gros faible pour une fille il y a quelque mois qui était ISFP. Elles m'attiraient mais je sais que c'était pas vraiment des gens qui me conviendrait. Mais bon en amour je sais pas vraiment quel type ça serait. x_x

En tout cas je sais qu'en amitié j'aime les ENFP, INFP et ISFP. Ce sont des gens amusant, pas prise de tête avec qui je parle beaucoup.

Ne dom, Ti dom, Fi dom.
un peu de Ni aussi c'est appréciable.

Pour moi l'entente parfaite serait avec une INFP en effet !

Apres rapide tour de table de mes amis les plus proches/avec qui je m'entends le mieux et des personnes qui me plaisent/avec qui je suis deja sortie, les 2 types qui ressortent plus que majoritairement sont INTP/INTJ.

Personnellement, je n'ai jamais eu encore de copine mais je pense que je préférais sortir avec les IXXP !

Pour ma part j'ai tendance à mieux m'entendre avec des intuitifs dom. Après en tant que compagnon, c'est à voir au cas par cas, mais mes amitiés les plus profondes ont été avec des intuitifs dom, ça c'est sûr.

Difficile à dire, les gens peuvent devenir tout autant admirables ou détestables selon mes critères, peu importe leur type. Mais bon, il y a quelques constantes quand même.

Niveau relations amoureuses : ENFJ, ENFP, ESFP, INFP, INTP, ISFP, INTJ, ENTP
Niveau amitié c'est plutôt : ENFP, INFJ, INFP, ISTJ, ISFP, INTP, ESFP.
Mais ceux qui m'ont vraiment marqué sont des : ENFJ, ENFP, INFJ, INFP. Ça fait un peu consanguin mais bon, c'est la vie.

Niveau amitié, les ENFP sont sans doute ceux avec qui j'ai le plus d'affinités... Je trouve leur présence réellement revigorante, leur Ne stimule le mien, et entre Fi on se comprend totalement (vive la consanguinité.). Quelque part, j'admire aussi leur extraversion, même si elle a parfois tendance à m'épuiser ; j'ai l'impression qu'il sont, dans l'ensemble (tous ceux que je connais, en tout cas), plus énergiques, optimistes, moins englués dans leur Fi que nous autres INFP...

Beaucoup d'INFJ également ; bien que nous n'ayons aucune fonction en commun, nos interrogations et sujets d'intérêt sont souvent étrangement proches.    

J'ai une sympathie naturelle pour les ENTP, tous ceux que je connais me font mourir de rire (humour de troll et attirance prononcée pour le burlesque et l'absurde) ; souvent de fortes personnalités, à la fois grégaires et indépendantes d'esprit.  
Idem pour les INTP niveau humour, + côté cérébral en prime. Je trouve les INTP (encore une fois, ceux que je connais, je ne sais pas dans quelle mesure c'est généralisable) réellement fascinants d'un point de vue intellectuel. (Et enclins à me filer un complexe d'infériorité particulièrement intense concernant la médiocrité de mes propres capacités cérébrales...)

Bizarrement, j'ai très peu eu l'occasion de rencontrer d'autres INFP, je n'ai donc pas d'avis sur le sujet.  

Voilà pour les constantes et les généralités - après c'est bien évidemment les individus qui priment, indépendamment de leur type.

Ohla les ENFP... Trop chaotique pour moi. Quand je suis posée, je supporte mal le chaos ambiant. Ca m'inspire une première réflexion qui sort toute seule "non mais tu as les vers? Viens t'assoir." Et ça se termine par un cri primaire de l'ordre de "mais putain tu vas t'assoir et faire quelque chose bordel?! Arrête de bouger!"
Par contre en mode fiesta, j'ai tendance à préférer les extravertis qui vont rebondir sur n'importe quel mouvement et mettre l'ambiance.

Un INTP ou ENTP en mode freestyle, c'est juste... Énorme. Ca sort des actions qui ne viennent de nulle part. Puis ça s'asoit super sérieusement et ça te parle du sens de la vie, ça t'explique la physique quantique ou tout autre sujet sérieux qui les intéresse sans trop de lien avec ce qui vient de se passer.
Après, de là à vivre avec, c'est encore autre chose.

Je crois que je m'entends bien avec tous les types. Enfin y'en a aucun qui pose particulièrement problème en tout cas. 

Les types avec lesquels j'ai plus spontanément des affinités ça serait ENFP et ISFP, y'a comme une complémentarité. Je les trouves émouvants. J'ai toujours connu beaucoup d'ENFP bizarrement (c'est pas un type rare mais j'ai l'impression d'en connaitre plus que ce que les moyennes habituelles semblent prescrire), et ils viennent à moi assez naturellement (je crois qu'il y a un truc qui les "rassure" chez moi  ). Leur présence est dynamisante. J'aime la présence des ISFP aussi, mais pas pour les même raisons, et j'ai pas du tout le même genre d’interactions avec eux. 

J'ai pas les mêmes facilités avec les ESFP ou les INFP. Les premiers sont trop "speed", trop physiques, j'ai un peu de mal à les suivre (alors que les ENFP sont + "speed" sur le plan mental, et ça me pose déjà moins de problèmes). Et les INFP j'ai souvent une sorte de rejet ou de recul instinctif au premier abord, ils arborent cette espèce froideur qui me ... glace le sang  Non ils sont juste très distants quoi, d'une manière générale. A côté les ISFP sont beaucoup plus terrestres, accessibles. Mais une fois que "la glace est brisée" ça peut être sympa. 

J'aime discuter avec des NJ sinon, j'en connais très peu et c'est toujours plaisant d'en croiser, je me sens plus facilement "sur la même longueur d'onde" avec eux, ou au moins "dans les mêmes délires". Les discussions sont souvent profondes, beaucoup plus qu'avec des NP. 

Et les NT (+ certains STP) aussi, quand je me sens d'humeur cérébrale, ça fait toujours plaisir d'avoir une discussion bien froide qui va au bout des choses, qui ne s’embarrasse pas de toutes sortes de conventionnalités habituelles, et qui ne laisse aucune place à l'émotionalisme régressif. Ou juste une discussion intelligente quoi :-)

Un peu pareil, je crois que j'aime bien tous les types, à priori, ... c'est après que ça se corse.
Je ne peux répondre qu'avec la mince connaissance acquise sur le modèle ces derniers mois et, avec ce dont je me souviens des gens que j'ai côtoyé, donc je vais plutôt aborder la question avant tout par les tempéraments.
J'aime un certain raffinement, des discussions qui mettent en valeur un savoir, et en même temps, j'ai un penchant très esthétique évident, bien moins cérébral, qui cherche à mettre en valeur des expériences d'ambiance, l'exaltation que cela produit.
Du coup, je peux m'entendre avec plusieurs types, et je crois que le reste dépend surtout de ce que les dualistes appellent "la culture", l'éducation, etc.
-J'ai l'impression que les NFs et moi avons beaucoup de choses à nous dire, INFx surtout, malgré cette apparente froideur initiale; j'ai l'impression d'être un peu comme à la maison avec eux; mettre "l'existence" au centre des préoccupations, la société, la culture, les arts, tout ça, j'y suis dans mon élément parce que c'est aussi dans ce genre de milieu (surtout maternel) que j'ai grandi. On verra si ma recherche de type va d'avantage dans ce sens ou carrément vers l'identité elle-même.
Par contre, je ne sais pas si les mots sont toujours le meilleur moyen de communication avec eux, ou si les échanges par l'expérience commune d'un "objet" (comme une oeuvre, musique, film, etc) ou bien la participation à un événement non pas essentiellement centré directement sur nos échanges de parole (comme l'engagement associatif et le "pétitionage"^^), parfois conviennent mieux.

-Les S, T ou F, m'inspirent une sympathie approfondie lorsqu'ils sont pas mal portés sur les objets sonores-visuels; j'y trouve quelque chose d'exaltant. Ou bien même sur des activités extérieures, en "nature" notamment. J'aime bien écouter leurs expériences; par contre j'ai du mal avec le coté m'a-tu vu qui ressort parfois.
Parmi les ES, je ne saurais dire si j'en ai cottoyé beaucoup, mais j'ai tendance à assimiler cette préférence à l'agitation un peu immature, fatiguant, qu'on trouve dans beaucoup de groupes, et qui ne revient décidément pas à ma sensibilité. Je peux voir toutefois qu'il y a des exceptions, donc je suis ouvert. ... et à vrai dire, mon meilleur pote est peut-être lui-même ES bien que j'hésite avec EN. En tout cas, il est très porté sur les activités sportives, très peu intellectuel (en fait pas du tout), et on se retrouve dans nos sensibilités respectives avec un gout particulier pour la musique et le plein air.


-NT ... j'ai l'impression que NT est ma carapace, à moins que la carapace soit en fait le type. Mais il y a indéniablement chez moi quelque chose qui me rend capable d'apprécier une discussion très cérébrale, pourvu qu'elle mette en valeur un savoir pertinent, distinguer et trier entre les choses avec une distance qui dépasse l'agitation ambiante. C'est tout comme si avec les NTs je pouvais mettre une distance sur moi-même et le monde, m'exprimer sur et partager plein de choses avec eux qui ne soient pas "moi". Je ne dirais pas que je peux les suivre partout cela dit.
J'aimais bien prendre de la hauteur, m'exprimer dans un style un peu indifférent. Mais généralement, je m'en tenais aux idées, sans trop rentrer dans les questions de valeur, parce que sinon j'étais (à vrai dire) assez souvent déçu et un peu agacé, mais avec le temps et surtout ces dernières années je discute de tout, je me frotte aux frontières parce que je me suis extraverti un peu, j'ai fait le point sur ma vision du monde, et que je crois à l'enrichissement mutuel par la discussion.
J'ai dû en croisé plus d'un dans mes laborieuses études de science; je connais au moins deux INTPs probable, un -NTJ.
Je suppose que les introvertis me conviennent mieux, mais pas systématiquement; j'apprécie les extravertis qui ont un coté intellectuel, qui approfondissent les choses, ceux qui ont souvent des périodes plus introverties eux-même ou sont en tout cas plus calme, moins cloisonnés aux normes, et moins dans ce petit jeu d'intégration qui en poussent plus d'un à se gonfler de leur réputation acquise somme toute artificiellement (j'ai du mal avec les petites stratégies quand elles sont en premier plan; ça ne me met pas en confiance). Ceci vaut d'ailleurs pour les autres extravertis.
J'espère pouvoir traiter tout ça prochainement sous un angle de vue plus approfondi des types. Pour l'instant, il est vrai que j'ai bouffé la théorie ces derniers temps, mais la meilleure référence d'expérience que je peux prendre est un peu antérieure à ma vie actuelle (ce qui doit aussi me ralentir dans ma recherche d'ailleurs).

En fait, tu aimes tout le monde toi ^^
Je suis un peu plus exigeante en revanche, après je pratique des critères plus ou moins rédhibitoires selon le type de relation recherchée. Pour un collègue par exemple, il peut être du type qu'il veut. Tant qu'il n'est pas profondément con, je m'en satisfais. Ca devient de plus en plus délicat au fur et à mesure qu'on se rapproche de mon intimité.

Sylphira a écrit:

En fait, tu aimes tout le monde toi ^^

Tout le monde c'est bien vite dit; il y a des gens que j'ai du mal à suporter, donc c'est surtout rapport à ce que nous pouvons produire à partir d'une relation comme circonstances, enthousiasme, émotions diverses, idées, bref stimulations constructives. On peut faire une nuance entre le type de personnalité et la mentalité, et je suppose que c'est cette dernière qui va sûrement jouer le plus au final.
Après c'est très général, ça peut s'appliquer aux relati6ns amicales et pro, mais si on en vient aux relations dites "sentimentales" je crois qu'on peut déjà  commencer par faire un mix des traits que j'ai loué et voir quel type ressort le plus, ce à quoi il faut rajouter les considérations affectives relatives à la vie de couple telle que moi et mon éventuelle compagne les comprendrions:
(edit pour la précision) du respect, de l'espace pour chacun (j'aime bien notamment l'idée de laisser du temps se passer, pas trop non plus, entre deux moments partagés, afin que le suivant soit plus apprécié encore. Je crois aussi que c'est dû à une tendance assez automatique chez moi, à ressentir le besoin de me distancer pour mieux apprécier quelque chose dans la durée). Mais outre le respect de l'individualité, il faudrait aussi de l'engagement mutuel, savoir quand et comment répartir les tâches (j'aime bien l'idée qu'un lieu de vie ne ressemble pas à un manoir où des serviteurs se démènent sans jamais exister eux-même), être un support pour l'autre, être à l'écoute dans les capacités qui sont les notre, et savoir stimuler l'autre (le remettre sur le rail quand il le faut, de manière constructive). Je crois que j'aime bien les filles dynamique (sans être hyperactives, surtout pas, bon sang   ), capables aussi de se poser, et qui ont une grande sensibilité.
Pour les défauts, je pense que mon "immanence" me rend assez tolérant, mais par-contre je ne supporte pas les chieuses, du moins, celles qui chient pour rien et surtout pour se montrer. A contrario, quelqu'un qui peut avoir quelques humeurs dans son approche du quotidien ne me dérange pas, bien au contraire je trouve même que ça montre un certain caractère, pourvu que ces humeurs se manifeste quand elle se penchent sur un problème à résoudre ... et non pas pour en créer un de toute pièce.


Oh trop bien ! J'ai réussi à posté sur le forum avec mon vieux tel portable dépassé !

EDIT: j'ai oublié de mentionner le coté déjanté (dans les relations amicales notamment); j'aime beaucoup les gens qui, en dehors des situations ordinaires, peuvent être disons "immature" quand cela n'a pas de conséquence néfaste pour qui que ce soit; en somme, avec mon meilleur ami, quand on est pas avec d'autres personnes, on peut partir dans des délires, dire n'importe quoi (au diable le langage^^), en toute innocence, et gesticuler sans produire aucun mal; ça a une vertu libératrice, surtout pour évacuer l'anxiété.

Je me posais une question, mais je ne sais pas s'il y a un sujet mieux qu'un autre (ou que celui ci) pour en parler.

Je suis une parfaite INFJ.
Je constate que dernièrement, vraiment, les hommes qui m'intéressent énormément, qui m'attirent, sont des INTJ.
De certains de mes amis, d'après eux, ce serait le calme et le contrôle qui transparaît d'eux qui serait susceptible de m'attirer.
Seulement voilà. Après avoir vécue des failles spatio-temporelles avec eux, intellectuellement parlant et failles merveilleuses au passage, la phase d'approche amoureuse est clairement plus compliquée.
On ne sait juste pas, si au final, on se plait l'un l'autre, si c'est une bonne chose que d'aller au devant d'une entente intellectuelle parfaite, etc. En somme, un peu comme pour tout le monde, ceci étant que vraiment, la suite, elle suce des cailloux.

Parce que oui, les INTJ, en tout cas de ceux que j'ai pu connaitre, ils sont bien mignons, bien sympas, des beaux cerveaux que j'aime à explorer, mais impossible de discuter sur un même niveau d'entendement, sentimentalement ou émotionnellement parlant.
C'est de l'ordre de l'impossible. Et pour peu que le Mr soit une montagne (= impossible à faire changer/bouger/incliner/whatever qui fera avancer le putain de schmilblick), ça n'entraine que frustrations sur frustrations.
Pour peu qu'en prime, comme moi, on ait des trust issues ( 8 ), et c'est la porte ouverte à la parano, aux relations bancales, etc.

Être deux c'est beau, c'est s'apprendre l'un l'autre, se faire grandir, mais là, c'est un peu du masochisme une relation INFJ/INTJ, de mon point de vue

Donc si dans l'assistance, il y a des témoignaaaages, je prends


Sinon, je suis vraiment trop raide dingue des deux ENTP dans ma vie. Manque de pot, on est trop loin à chaque fois, mais comme je sais "qu'on s'appartient", on finira bien par s'attraper quand ce sera le moment ^^"

Je connais un INTJ en couple avec une ISFJ. Alors ok, les ISFJ ont la réputation d'être un peu moins "torturé" que les INFJ, mais sentimentalement, c'est un peu le même type d'écart (Fe). Ces deux là sont en couple depuis 30 ans. En fait, à les observer et à avoir tenté en tant que NT des relations avec des NF, j'ai remarqué que les disputes venaient souvent d'un manque de communication. L'un se braque sur "je ne suis pas à la hauteur" et l'autre sur "il ne dit rien, il s'en fiche". Je pense qu'avec un peu de maturité, le INTJ arrive à s'ouvrir un peu du côté de ses émotions sans y voir de signes de faiblesses (Fi en tiers ça aide pas, mais ça vient avec l'âge et la confiance) et le INFJ à exprimer clairement ses attentes envers son partenaire.

C'est clairement ça.
Mais comme dit, si en face, c'est la montagne imperturbable qui rentre même en sommeil, l'infj fait un peu figure de vent qui souffle pour rien.
L'épuisement nous fait juste partir ailleurs.
De mon côté, les disputes sont surtout dues à un manque de "sentiment" de la part de celui d'en face. D'une capacité manquante de "savoir se mettre à la place de l'autre" et sur la forme d'un "Moi je parle en images, émotions et toi, tu capte rien, tu réponds flou/global/te mouille pas"

Mon nouveau copain """essaie""" de faire des efforts d'ouvertures, mais on est quand même pas rendu.


Si tu as des tips Sylphira...

Noumenie a écrit:

C'est clairement ça.
Mais comme dit, si en face, c'est la montagne imperturbable qui rentre même en sommeil, l'infj fait un peu figure de vent qui souffle pour rien.
L'épuisement nous fait juste partir ailleurs.
De mon côté, les disputes sont surtout dues à un manque de "sentiment" de la part de celui d'en face. D'une capacité manquante de "savoir se mettre à la place de l'autre" et sur la forme d'un "Moi je parle en images, émotions et toi, tu capte rien, tu réponds flou/global/te mouille pas"

Mon nouveau copain """essaie""" de faire des efforts d'ouvertures, mais on est quand même pas rendu.


Si tu as des tips Sylphira...

C'est un INTJ ?
Souvent cette apparente impassibilité cache une vraie sensibilité. Faut trouver un truc sur lequel il va s'animer pour qu'il sorte un peu de sa coquille. Puis il a peut-être peur de te faire mal, alors il ose rien, par principe de précaution. Le mieux c'est d'en parler comme tu parlerais du moteur d'une voiture, que faire objectivement pour que le moteur fonctionne mieux, soit plus performant etc. Je sais que ça fonctionne mieux quand on nous laisse un moyen d'être détaché.

S'en est un.

J'essaie cela, doucement.
Il m'a fallu un bon mois pour sortir avec, un autre bon mois pour apprendre qu'il était ultra stressé par exemple, parce qu'aucun signe extérieur ne transparaît jamais.
C'est aussi difficile d'aborder son fonctionnement que de l'entendre dire des compliments (par exemple).
Un peu en mode "Ça fait x temps que j'y pense, que je veux le dire, je ne sais pas comment faire, voilà c'est sorti, tu te démerdes avec maintenant que c'est dehors et on en parle plus, j'ai dis chut, ça suffit, stop !"

Dire que mon social skill est au ras des pâquerettes en société ! Le leur semble peu enviable en privé