batman algérien a écrit:

rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme

J'ai toujours eu une appréciation duelle envers Lavoisier. D'un côté, je l'aime bien, comme j'aime bien tous les penseurs de la rationalité scientifique. D'un autre côté, je lui en veut un peu, en ceci qu'on a tendance à trop considéré que ladite rationalité scientifique commence à partir de lui, et à foutre à la poubelle ( je veux dire à déconsidérer sans conditions ) tout ce qu'il y a eu avant, comme par exemple l'Alchimie, alors qu'il y a pourtant des corpus sans conteste absolument indispensables et essentiels.

moi je sais pas, j'ai pas trop de contact avec le monde extérieur, mais si j'ai compris une chose, c'est qu'il ne faut pas trop leur en demander, ils aiment s'amuser avec leurs propres merdes
alors qu'on sait tous que la merde ça pue

la seule chose que tu peux faire c'est t'en éloigner sinon tu risques de recevoir de la merde en plein visage

descendant les escaliers en chevauchant
la pluie d’étoiles
dans la face
colle aux basques de la dame en noir
déchirant ton excuse et marchant dans les bois remplis de bocaux d’escargots
elle te crève en mangeant ton esprit
que tu as décidé ou non
la souffrance est la réponse
la seule solution
au dessus des volcans les oiseaux attendent ta mort
de blaireau
poils mouillés et muqueuses qui coulent
en forme de spirales multicolores qui déchirent ton échine jusqu’à la trachée
crevant l’aspect le sang coule le long de ton cou
les asticots se nichent et se régalent dans tes plaies grandes ouvertes
pauvre petite âme

J'aime beaucoup !

Merci, Flop.

J'aime beaucoup aussi !

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Je ne suis clairement pas à votre niveau mais j'aimerais vous partager le poème dont je suis le plus fier^^

Lenita:

Chez toi, c'est l'absence de thé et l'existence du café.

Chez moi, la présence de l'amour et l'absence de haine.

Je l'ai ouverte trop souvent, sur toi ça s'est répercuté.

Je l'ai remarqué trop tard, maintenant j'ai de la peine.


Tu as ouvert les portes de mon cœur en quelques mots.

J'ai brisé le tien en quelques messages.

Tu ne veux pas me pardonner tôt.

Je fais tout pour que tu tournes la pages.


L'ancien moi a appris, il a fini par disparaitre.

L'ancienne toi m'en voudra à jamais de tout son être.

Le nouveau moi te regarde dans les yeux amoureux et apeuré.

La nouvelle toi me regarder sceptique et lassée.


"J'arrive à peine à placer 2 mots quand tu souris, ça me transperce.

Mais j'ai bien vu que t'allais laisser le temps faire."


Nos vies sont opposées et pareilles à la fois.

je te cherche, tu me fuis, je te parle, tu m'ignores,

Tu ne te remets pas en question, la nuit et toi partagez le même corps.

je suis en doute permanent, le jour me réveille avec un mal au foie.


La musique rythme nos vies selon les envies du wifi,

L'espoir rempli nos coeurs et nous blesse,

tous les jours, on suit des cours selon nos envies,

On fume parfois lorsque la journée est finie.




Pour en faire un petit commentaire, les 2 premières phrases et le titre ont une importance pour connaitre la personne dont parle ce poème. D'ailleurs, j'ai eu envie de l'écrire après avoir écouté la musique "Lenita" de Roméo Elvis, d'où le titre.

Ravi de te lire Xayling !

Ça me fait un peu penser à du Houellebecq. Tu l'as déjà lu ?

Flop a écrit:

Ravi de te lire Xayling !

Ça me fait un peu penser à du Houellebecq. Tu l'as déjà lu ?

Jamais entendu parler ^^
Malheureusement, je ne suis pas un fan de lecture ^^'
Si mes écrits intéressent, j'aimerais signaler que j'ai un compte wattpad sur lequel j'écrit des textes divers et variés selon mes humeurs

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