Vous vous souvenez les stats que je récupérais sur vos parents et grand-parents ? Je les ai couplé à d'autres stats récoltées ici et là.
Il n'y a probablement pas que du fiable mais ça m'a suffit pour tenter quelque chose d'expérimental.

La machine à faire des bébés version MBTI. :P
Selon les types de vos parents (et mêmes de vos 4 grands-parents si vous voulez affiner les résultats),
la machine calcule les probabilités pour chaque type de naître au sein de la famille.

ATTENTION, JE RÉPÈTE C'EST EXPERIMENTAL, JE NE TIENS PAS A ME FAIRE ENGUEULER DE PARTOUT !

Les lois et hypothèses utilisées sont :
Le gène qui donne une préférence pour le T est un gène qui s'impose face à celui qui donne une préférence pour le F chez les hommes, si l'individu est porteur des deux gènes.
Inversement pour le F.

Le gène qui donne une préférence pour l'intuition ne s'exprime que si l'individu ne porte aucun gène de préférence pour la sensation. (Allèle récessif)


C'est EXCEL, donc désolé pour ceux qui ont pas... :o

http://www.mediafire.com/?hiydclj8i25lkii

EDIT DU 04/02/2013
NOUVELLE VERSION RÉCUPÉRÉE DE 2012
(plus récente, je viens de la mettre en page)

Si je me souviens bien, j'avais énormément affiné mon algorithme.


Ca reste néanmoins obsolète aujourd'hui, c'était juste un trip.

C'est assez marrant, c'est vraiment ENTP ça pour moi, dès que tu assimiles le gros d'un concept tu crées...

Mais tu crois que la transmission des types est héréditaire ? Pourtant j'ai vraiment l'impression qu'il est assez rare d'être du même type qu'un de ses parents, etc. On aurait des lignées entières d'un même type parfois.
Ce qui m'étonnerait pas c'est par rapport aux deux premières lettres. La première, parce que j'ai lu des trucs dans ce sens, que j'ai oubliés. La deuxième (et la quatrième), c'est en partie une question d'utilisation des deux côtés du cerveau (pseudo-science bonjour). Donc en fait on peut supposer que t'as raison, mais j'en sais vraiment pas assez pour être convaincu, c'est pas une intuition que j'ai.

Mais ton système de gènes qui codent pour l'intuition ou la sensation, récessifs entre eux etc., me plait pas.



N'importe quoi moi.

Je teste.

Ahahaha, n'importe quoi xD. Mais marrant .

A quand le profil mbti en fonction de l'alimentation de l'arrière grand-mère maternelle lors de son anniversaire de 18 ans ?

Selon ton truc, je fais partie des 2,34% de chance xD

Desdinova a écrit:

Ahahaha, n'importe quoi xD. Mais marrant .

A quand le profil mbti en fonction de l'alimentation de l'arrière grand-mère maternelle lors de son anniversaire de 18 ans ?

Selon ton truc, je fais partie des 2,34% de chance xD

:lol!:

Attention que si t'encode tes grands-parents et qu'ils sont N, ça augmente tes chances à mort d'être N.
Si ils sont S par contre, c'est l'inverse...

Ayahuasca a écrit:

Mais ton système de gènes qui codent pour l'intuition ou la sensation, récessifs entre eux etc., me plait pas.



N'importe quoi moi.

Je teste.

C'est peut-être con, mais ça collerait parfaitement avec le fait qu'on a :

75% des hommes T, 75% des femmes F et 75% de la population S. :bom:

Et en rajoutant mes grands-parents, comme je pense qu'ils sont, j'avais 1,17% de chance d'être INFP, la classe

Pas nécessairement. J'ai pas d'exemple concret à l'instant mais ça colle pas ton truc.

Mouais... Je ne connais pas le type de mon grand-père maternel, décédé au moment de ma naissance + je suis adopté.

Sinon, j'aurais eu 1% de chances d'être INFJ ; 94% d'être un S (88% si mon grand-père était un N).

D'accord pour supposer qu'il y ait des correspondances au sein des familles, voir même des groupes sociaux. Je doute de l'impact de la génétique, sauf peut-être sur la dichotomie N vs S... Ma famille maternelle est extrêmement SF ; ma famille paternelle est beaucoup plus éclatée (ST/SF), il y a même quelques NP.

J'y crois pas vraiment mais je joue le jeu :

1,17% de chance d'être un INFP

Les plus fortes probabilités concernent ESTJ/ESTP/ISTP/ISTJ (15,23%)...xD
S à 75% et T à 81%

Mouais, avec le recul, ce test est complètement obsolète vis à vis de ma nouvelle conception des fonctions et des dynamiques qui les relient.

Mais bon, ça reste fun. xP

Eh bien il y a trois solutions :

- vous êtes tous adoptés
- la théorie est fausse
- la théorie subit un mauvais concours de circonstances, avec des inadaptés dans leur contexte familial

Avec les familles que je connais en IRL et que j'ai déjà typer, y'a un fond de vérité et les enfants semblent en moyenne plutôt bien répartis en fonction des stats.

Mais tu oublie une 4ème solution, qui selon moi est beaucoupplus réaliste et terre à terre :
- La plupart de ceux qui ont essayé se sont trompé d'une lettre ou deux pour plusieurs membres de leur famille. Ce qui me parait normal étant donné que nous sommes d'autant plus sujets à de tels biais que nous connaissons les gens depuis longtemps.

Dr. Sherk a écrit:

C'est peut-être con, mais ça collerait parfaitement avec le fait qu'on a :

75% des hommes T, 75% des femmes F et 75% de la population S. :bom:

J'ai pas compris, le T et le F se comporte différement de s'il est porté par un homme ou par une femme ?
En gros T dominant et F récessif chez l'homme
et F dominant et T récessif chez la femme ?
Je suis pas généticien mais ça serait bien une première ça non ?
(ou alors j'ai rien compris ^^)

C'est possible si ça se passe au niveau des chromosomes sexuels. Si on considère que la détermination T est sur un X, ça explique la dominance chez les hommes et la récessivité chez les femmes. Le F en allèle dominant sur un X, pourquoi pas.

Tout ça ne prend pas en compte le fait qu'on soit T/F, S/N, I/E et P/J à un certain pourcentage de détermination et donc que ce n'est pas binaire. La question des taux de neurotransmetteurs et l'utilisation des aires du cerveau me paraît beaucoup plus pertinente, comme ce qui a déjà été dit dans d'autres sujets.

Aïkido a écrit:

C'est possible si ça se passe au niveau des chromosomes sexuels. Si on considère que la détermination T est sur un X, ça explique la dominance chez les hommes et la récessivité chez les femmes. Le F en allèle dominant sur un X, pourquoi pas.

J'ai bien compris que le modèle était fantaisiste, mais je continue de creuser, ça m'intéresse:

Comment si la détermination T est sur un X tu arrives à 75% de T chez les hommes ? CA devrait plutot faire 50% non ? (en supposant que le Y porte systématiquement un T)

J'ai bien compris le concept de gène dominant ou récessif, mais j'ai jamais compris comment ça se passait pour la paire XY / XX...

Je ne sais pas sur quels chiffres se base Dr. Sherk; voilà ma référence.

Pour la paire de chromosomes sexuels, c'est assez simple. Tout gène porté par le Y et le X est systématiquement dominant chez les hommes (car il y en a un seul de chaque, sauf anomalie bien sûr).

Pour les femmes, l'un des 2 chromosomes X est inactivé (si ce n'est pas le cas, le résultat n'est pas viable) et donc les gènes portés par l'autre sont systématiquement exprimés.

Aïkido a écrit:

Je ne sais pas sur quels chiffres se base Dr. Sherk; voilà ma référence.

Pour la paire de chromosomes sexuels, c'est assez simple. Tout gène porté par le Y et le X est systématiquement dominant chez les hommes (car il y en a un seul de chaque, sauf anomalie bien sûr).

oulala je comprends rien...
si le X porte un T et que le Y porte un F...il se passe quoi ?

Aïkido a écrit:

Pour les femmes, l'un des 2 chromosomes X est inactivé (si ce n'est pas le cas, le résultat n'est pas viable) et donc les gènes portés par l'autre sont systématiquement exprimés.

Ok mais dans ce cas on devrait bien avoir 50 de femme T et 50% de F non ?

Bien entendu, ce n'est qu'une façon de parler selon moi, afin de dissiper un éventuel malentendu. Il n'existe pas de gênes T et F, juste que l'ensemble des caractéristiques masculines, sans compter l'influence de l'environnement sociétal, oriente davantage les hommes vers T, et davantage les femmes vers F.

Techniquement, ça ferait une personne équilibrée sur l'axe T/F. Les fonctions se développent à des âges différents et ça pourrait marcher si ces fonctions sont dans le doublet central avec la dominante pour trancher.

Je ne connais pas les mécanismes d'inactivation du X mais si on suppose que ce phénomène est purement aléatoire, on devrait arriver à ce résultat. C'est pour ça que je reste sur l'idée des neurotransmetteurs et des aires cérébrales.

@Phaedren

Pour son modèle, Dr. Sherk postule que l'influence sociétale n'est pas assez forte pour primer sur l'héritage génétique.

L'héritage génétique détermine nécessairement quel sera le rapport de l'individu avec la société et de celle-ci avec lui. Du coup il n'y a pas vraiment l'un ou l'autre qui prime sur l'autre en fait. Ils sont consubstantiels.

Bon autrement dit, ce que dit Sherk ici:

Dr. Sherk a écrit:

Ayahuasca a écrit:

Mais ton système de gènes qui codent pour l'intuition ou la sensation, récessifs entre eux etc., me plait pas.

C'est peut-être con, mais ça collerait parfaitement avec le fait qu'on a :

75% des hommes T, 75% des femmes F et 75% de la population S. :bom:

est bien incohérent (surtout le "parfaitement" ) avec ce que vous venez de m'expliquez du fonctionnement du X et du Y.
Donc j'en reviens à ma constatation initiale qu'un comportement différent homme / femme pour le caractère récessif d'un gène (non porté par les chromosomes sexuels donc) serait une première

@Phaedren

L'héritage génétique en détermine une partie. Il y a aussi une ratification ou un rejet de nos comportements plus ou moins prononcée par la société en fonction des archétypes masculin (ESTJ) et féminin (ESFJ), plus la manière dont nous le prenons en compte en fonction de notre type et de notre histoire personnelle .

@Odon

Tout à fait daccord.

Phaedren a écrit:

L'héritage génétique détermine nécessairement quel sera le rapport de l'individu avec la société et de celle-ci avec lui. Du coup il n'y a pas vraiment l'un ou l'autre qui prime sur l'autre en fait. Ils sont consubstantiels.

Aïkido a écrit:

@Phaedren

L'héritage génétique en détermine une partie.

Vous avez l'air de savoir sur quoi vous échangez. Moi je n'ai pas compris.

Pour moi, déjà, je pars du postulat que la génétique programme l'aspect physique du corps, mais n'a rien à voir avec le fonctionnement mental.
Donc je ne comprends pas en quoi l'héritage génétique programme quoi que ce soit sur des notions qui n'existent pas encore au moment de la construction du foetus ("individu", "société")...

La génétique influant sur notre physique ou nos facultés, elle influe indirectement sur la manière dont nous serons amenés à développer notre personnalité, à nous comporter en société, et comment la société nous percevra selon moi. Ainsi je trouve que la génétique a donc un certain impact sur la psychologie, mais d'une manière plus collatérale.

Je pense que ça doit en partie expliquer pourquoi les hommes sont plus souvent T que F par exemple, puisqu'il est bien connu que certains tempéraments ou inclinaisons plus masculines ont des sources biologiques comme la testostérone et tout ça, et inversement chez les femmes avec la progestérone et les œstrogènes au niveau hormonal. Puis il y a aussi l'environnement et la société qui tend à orienter les hommes dans le rôle du mâle "T" et les femmes dans un rôle plus "F".