La plus jolie? Les goût et les couleurs, ça ne se discute pas

Je viens de me rendre compte que ma mère (xSTJ) faisait blindé de pauses intuitives quand elle écrit. C'est assez déconcertant étant donné qu'elle m'a toujours paru super Si et Te. Elle n'a d'ailleurs rien en commun avec ces deux écritures. En fait elle écrit dans un mix de Ni, Ne et Fi (selon le site de Zoga).

Ma mère serait-elle xNFP ? XD

Mais ne type pas en fonction de ça Sherkann, c'est le mal.

:lol!: T'es trop cool Apo.

T'as sûrement raison, mais c'est quand même troublant vu que je trouvais la graphologie était assez réaliste en fin de compte.

Pardon de m'immiscer dans la conversation, étant tout nouveau ! L'écriture de Delilah est très intéressante, parce que les 4 fonctions jungiennes sont bien représentées, ce qui est assez rare. Je dirais dans l'ordre : sensation - sentiment - intuition - pensée. Personnalité riche, capable de faire bien des métiers (indépendante, mais pas isolée non plus). Il y a une lutte entre réflexion - repli et ouverture aux autres, besoin de repli sur soi (inconvénient : se sent seule) et d'aller vers autrui (déceptions vécues). Il y a un lien avec l'enfance, problématique (d'où des difficultés de contact ultérieures) et en même temps une immense nostalgie, un lien avec les parents ou assimilés. Le regard est davantage tourné vers le passé que vers l'avenir, envers lequel il y a des sentiments mitigés (marge de gauche qui augmente, marge de marge de droite irrégulière, jambages inachevés tournés à gauche, bons interlignes (type pensée).

La graphologie demande des connaissances sérieuses en psychologie (qu'on peut acquérir soi-même, mais il faut du temps). Les psychanalystes qui me servent le plus sont Adler et Jung. Ensuite, il y a la technique, et là il faut soit de bons professeurs soit des travaux personnels approfondis. La vraie difficulté, c'est parfois que l'on peut choisir une attitude dans la vie envers autrui qui veut gommer ses défauts, lesquels se voient dans le graphisme, autrement dit, il y a une grosse différence entre le fond de la personne et l'impression qu'elle veut donner.
Parfois aussi le sujet se défoule en écrivant ; très souvent, plus l'écriture est agitée (mais assez bien contenue, elle ne part pas dans tous les sens), plus l'apparence extérieure est calme. Des graphismes très mous, automatiques, figés et souvent avec une pression sale font partie des profils qui peuvent être très pervers voire dangereux, psychopathiques.
Si je devais conseiller des manuels valables, ce serait en français : 1) le symbolisme de l'écriture, de Max Pulver ; 2) manuel de graphologie, de Peugeot, Lombard; 3) la graphologie, de Michelle Sardin.