Nouvelle tentative pour finir un livre passionnant (autrefois perdu dans un déménagement):



(Lien http://www.amazon.fr/livre-Sagesses-Laventure-spirituelle-lhumanit%C3%A9/dp/2227475366 )

Joli pavé de presque deux mille pages, foisonnant de textes poétiques, de citations, résumant un sacré nombre de courants spirituels plus ou moins antiques, à travers le monde. Un bijou.


@Ryz: le cycle des enfants de la terre, petit coquin, il y a bon nombre de scènes torrides dedans, entre deux chasses aux mamouths  

Je pose cet excellent site ici. De très bons articles.


http://philitt.fr

Pour m'initier au MBTI plus sérieusement, je test celui là et je dirais peut-être ce que j'en pense (Si vous avez lu plusieurs livres qui concernent le MBTI, n'hésitez pas à me donner vos avis en MP :P Si vous me dites qu'il n'est pas terrible je vous promets de ne pas déchiqueter le vendeur, le pauvre, il est innocent en plus !)



Moeghan, je tiens à dire que je n'étais pas au courant au départ xD Maintenant que je l'ai commencé je veux le continuer, j'espère que la suite ne va pas être centré sur "Ce bon nombre de scènes torrides" ! Ce n'est pas ce que tu crois ! Non, ne penses pas ça de moi !!! Par pitié !!! xD

Sinon, j'ai ajouté "Le livre des sagesses" dans ma liste Ça m'a tout de suite attiré, ne me demandes pas pourquoi :P (Frédéric lenoir, sagesse, aventure spirituelle de l'humanité...)

Edit spoiler vallée des chevaux:

Lu que le début pour l'instant. Assez loin de l'univers coloré de Disney. Sombre et presque angoissant.

Qu'a l'écrit j'avais galéré à comprendre et que j'ai redécouvert en manga :
http://www.telecharger-manga.ws/La-divine-comn-die-de-Dante/telecharger-les-scan-du-manga-categorie-Seinen/2094
Grandiose

Le manga est fidèle au livre de Dante ?

Oui assez, et beaucoup plus rapide

En ce moment, je suis sur une anthologie de la science-fiction.

C'est une série un peu vieille (1965-2005), mais elle me permet de réviser mes classiques SF, et de découvrir (ou re) des auteurs, par le biais de nouvelles regroupées dans un thème.

La SF représente une grosse partie de ma bibliothèque (à vue de nez les 2/3), cette anthologie est un peu longue, 42 livres en tout. Je ne les ai pas tous, j'en ai une quinzaine (trouvés sur une brocante).

anthologie SF

Le livre sur lequel je suis en ce moment :

Exemple d'INFP 3/4 rappelant que ne pas être conquérant, ambitieux ou encore se reposer sur ses acquis, malgré un train de vie et une stabilité sociale convenable poussait forcément l'épouse à aller voir ailleurs pour s'occuper et tuer l'ennui du foyer conjugal, et surtout les dangers des passions.



Trop tôt pour en dire quoi que ce soit



Pratique

(Je triche, c'est une BD.)

Goleador a écrit:

Je l'ai lu... Mon frère l'avait acheté.

C'est vraiment un livre totalement inutile. J'ai retenu quelques passages. Mais en gros, le mec fait sa pub. P't'être un bon coach dans la vraie vie.

J'vais peut être un peu casser l'ambiance avec mon livre d'ado' attardé.




Fascinant :




Tu le sens le manga culte ? :

Je lis très rarement (même si j'aime écrire), les 3/4 des trucs essais, analyses, philo etc ont du mal à me motiver à lire en entier un bouquin. Soit ça tourne en rond sur 50 pages, soit le sujet est ennuyant. Les romans, mangas pas le temps.

Mais en ce moment je m’attaque à ce morceau, gentiment conseillé par Titi.

Bilan à mi-parcours de l'année. En cette fin du mois d'août, j'ai lu 17 livres, ce n'est pas autant que ce que j'aurai souhaité.

Dans le haut du panier, il y a :



Le roman le plus connu de Doris Lessing, adulée par les féministes mais qui détestait les féministes. Le carnet d'or est un des romans les plus justes que j'ai pu lire sur la psychologie (pas exclusivement féminine), et traite sans véritablement le dire d'une crise de spiritualité, traduisible en une mélancolie dépressive. C'est à la fois une fiction et un document historique qui regarde son époque avec une certaine froideur : l'échec des communistes, l'inversion du rapport quantitatif entre écrivains et lecteurs, la fausse image d’Épinal que les bien-pensants ont des ouvriers, etc. C'est long, parfois un peu fastidieux mais toujours justifié. Il y a des éléments du récit qui feront également réfléchir, comme le rejet des gays de la narratrice principale (sans que cela ne soit gratuit).



J'en parlais il y a quelques temps avec un fan aguerri des films de Tarkovski, qui me disait adorer ses productions tout en trouvant le personnage ennuyeux avec ses théories. Après avoir lu Le temps scellé, je ne vois pas comment on peut dissocier les deux, tant ils sont liés. Les écrits de Tarkovski permettent de comprendre à la fois son combat et ses croyances, et comment il a été rejeté par un régime abrutissant et obtus. Le tout s'étale sur de grandes périodes, où on passe de l'intransigeance du bonhomme (probablement INFJ 4w5, trop Fe pour pouvoir être INFP) avec toutes ses réflexions autour du cinéma qu'il voulait être un art à part entière, à une relative souplesse adoptée en fin de vie, presque définie de façon timide et gênée, comme s'il s'excusait à demi-mot d'avoir été aussi rigide dans sa démarche.



La lecture est rendue difficile par les annotations, les sous-annotations qui prennent parfois trois pages. ça part dans tous les sens au niveau de la forme simple du texte, contrairement au propos qui lui tente d'établir à un instant donné la place du cinéma par rapport aux autres arts. Le livre est surtout connu pour introduire le concept d'aura, qui est en quelque sorte l'émotion (personnelle, subjective) qu'un individu ressent, qui découle de la perception qu'il a d'une oeuvre en particulier. Pour Benjamin le cinéma phagocyte ce processus justement à cause de sa reproductibilité infinie (d'où le titre). Néanmoins, il a le mérite de ne pas non plus taper sur les masses qui en ont fait un de leur principal loisirs : il se contente, sans donner un point de vue outragé de caractériser la passivité du spectateur face à l'écran, qui devient à la fois distrait et "expert", puisqu'il raisonne sans participer. Les images viennent à lui sans effort de concentration quelconque.
(D'où l'utilité de valoriser ceux qui ne se contentent pas des démonstrations à outrance).



Un ami m'a initié à la poésie que je connais très mal, et ce recueil m'a fasciné. Gherasim Luca, roumain d'origine a carrément réécrit L'inventeur de l'amour en français, qu'il a appris plus tard. La première partie du recueil se base sur ce qu'il a conceptualisé sous le nom de "philosophie non oedipienne". On peut deviner à peu près de quoi il est question sans être vraiment sûr, parce que l'ouvrage où il en parle de façon plus exacte (sans seulement y faire allusion en fond) a été apparemment perdu.
La mort morte, la seconde partie du recueil raconte l'histoire d'un homme qui tente de se suicider de plusieurs façons, toujours plus intenses et qui échoue à chaque fois. Le cheminement est assez similaire à ce qu'a fait Herman Hesse dans sa "trilogie" (Loup des steppes, Demian, Siddharta). Sans en dire plus, la fin est très drôle.

Autre précision : le recueil est édité chez une maison d'édition qui laisse les pages collées, le lecteur doit les déchirer lui-même au fur et à mesure de son avancée.

Gherasim Luca est aussi connu pour avoir fait des lectures orales de poésie assez inoubliables. S'il y a des candidats au typage (INF quelque chose, encore un 4 vu le contenu de ses écrits):

Gherasim Luca lit sa poésie:

Dans les choses beaucoup moins intéressantes (sur lesquelles je passerai peu de temps):



Si on a la sensibilité exacerbée, ce n'est pas la peine. Bret Easton Ellis à côté peut aller se rhabiller. Sous prétexte de vouloir démontrer l'horreur de la guerre, tout y passe : viol, pédophilie, sang, morts absurdes, zoophilie avec des enfants. C'est à la fois un tableau sombre, absurde et un non sens complet, puisque à part vouloir choquer on y trouve pas grand chose d'autre. Pour les amateurs de dégueulasseries à haut niveau.



Un essai anecdotique sur la culture, qui veut mettre à mal des institutions pour les remplacer par d'autres, sans finalement se poser la question de l'existence même des institutions culturelles. Il y a cette fameuse valorisation et idéalisation du monde ouvrier propre à l'individu né dans des conditions favorables. C'est un texte où une chose énorme est dite qui vient en remplacer une autre, dans une diatribe finalement assez vaine et gratuite. Bref ça vaut rien.

Prochainement, prévus (après avoir terminé Psychologie des foules):



Je voulais le lire depuis un moment, après avoir écouté des lectures audios mises en scène de certains passages.



Pour en savoir un peu plus sur le jeu de Go, et changer des essais.

Pour le reste de l'année, j'ai deux recueils d'ouvrages, ceux de Virginia Woolf et de Albert Camus, auxquels je m'attaquerai après ceux cités ci-dessus.

  







Le Allen Carr du Ne  


Pour les pannes de Te

 

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Je suis repartie sur un petit cycle géopolitique asiatique:

-Avec un excellent livre de Luttwak sur la montée en puissance de la Chine qui entraîne le paradoxe stratégique suivant: Plus elle monte en puissance, plus elle coalise de pays contre elle et donc plus elle risque de voir sa puissance relative baisser. Le livre en profite pour critiquer Sun Tzu et la pensée stratégique chinoise qui n'a jamais vraiment marchée.




-Puis un livre sur le Japon, puissance méconnue et unique en son genre. Cela complète naturellement le livre sur la Chine.




-Puis un cycle biographique sur des personnalités qui ont influencé leur temps

-Avec ce funeste génie de la politique étrangère américaine



-Puis nos 2 célèbres Cardinaux :

-Mazarin



-Richelieu

j'ai beaucoup aimé la série de Robin Hobb Mélos, t'es pas le seul ! mais j'ai un peu décroché, la série est vraiment longue...

j'ai un peu du mal à me remettre à la lecture en ce moment mais je vous partage un échantillon de mes coups de coeur de cette année :

L'Assassin Royal, livre d'adopter attardé j'avais pas vu ça...
J'ai limité envie d'abuser de mon pouvoir d'administratrice et de censurer

J'vais débuter Critique de la raison pratique, de Kant.

Jud, pareil. Je n'ai pas réussi á le finir
Je reprendrai sûrement la lecture l'été prochain.

Apocalypse, je voulais dire "adolescent". J'avais fait cette remarque par rapport au fait que mon livre était l'un des seuls livres de fiction-fantasy mentionné. ^^

Sinon, coup de coeur de l'année décerné au roman "Je suis une Légende" de Richard Matheson, á "Fondation" d'Isaac Asimov et á "Frankenstein" de Mary Shelley.

c'est pas parce que c'est de la sf/fantasy que c'est nécessairement pour ados... que dire de la cohorte de fans de Star Wars ou de Game of Thrones dans ce cas ? C'est pas moins gamin (surtout le 1er)