Je lui ai déjà envoyé un mp pour des explications. Je suis donc au courante du pourquoi de son post, qui est complètement illégitime, gratuit et mesquin.

Je voulais m'en assurer avant de poster ici.

Sinon, c'est Dodie et moi les victimes, on se défend et maintenant ce sont nous les bourreaux ?
On dirait la justice française.

Sinon, ne t'inquiètes pas on ne comptait pas continuer à parler de lui.


@Dodie, humm j'irais pas jusqu'à le comparer à un pervers narcissique, mais du genre à chercher à détruire psychologiquement autrui oui.

Luna a écrit:

@Dodie, humm j'irais pas jusqu'à le comparer à un pervers narcissique, mais du genre à chercher à détruire psychologiquement autrui oui.

Bah le pervers narcissique cherche à détruire psychologiquement non ?

M'enfin je suis pas une pro sur le sujet j'ai dis ça sur le coup de la colère évidemment.

Pour revenir au mbti on peut trouver ça bizarre de rapprocher ça au syndrome d'asperger / tsa-sdi mais qu'on soit d'accord ou pas c'est un fait : j'ai vu sur des groupes asperger que des centaines de membres était en grande majorité INxx.

Oui sauf que les intentions du pervers narcissiques ne sont pas les mêmes, et ses attaques sont souvent plus subtiles.
Stuffedbeer, balance juste une phrase mesquine sans se soucier si ça peut blesser quelqu'un. Au moins on peut dire qu'il dit ce qu'il pense. Ca n'a pas l'air d'être très beau chez lui.

Mais bref, Sylphira a raison on ne va pas se mettre à notre tour à lyncher.

Juste comme ça, pour reprendre les premières lignes d'un article sur psychologie.com :

Citation :

On les appelle manipulateurs ou encore, pervers narcissiques. Ils peuvent être un conjoint, un proche, un patron, un(e) collègue, un(e) ami(e). Séduisants, sympathiques, parfois réservés, ils plaisent par leur côté charmeur et flatteur. Mais très vite, à leur contact, un malaise s’installe. Et leurs victimes entrent dans une spirale infernale de culpabilisation et de dévalorisation.

Le mec qui vient et qui t'insulte gratos n'entre pas vraiment dans cette définition.
Pour avoir rencontré des gens qui pourraient rentrer dans cette catégorie (même si je pense que c'est un truc à la con, et que les mecs pouvaient plus être des "connards égoïstes" ou des purs sociopathes pour qui l'autre est un objet, mais passons) c'est un peu abusif d'employer le terme à tort et à travers à mon sens. Tu as plutôt l'impression de te faire aspirer ta substance par l'intérieur et de t'effondrer sur toi-même. Bref, mieux vaut faire attention quand on manie des étiquettes. Sinon on se retrouve à psychoter rien qu'en prenant le métro, ce serait dommage.

Et puis oui tu as le droit d'être blessée, maintenant, insulter en retour non. Tu te prives toi-même de la légitimité de ta défense. Le mec te bouscule dans le métro, tu le condamnes pour harcélement sexuel?

@Luna : tout est une question de proportions je pense. C'est tout.

Pour en revenir aux aspies, moi ce qui me gêne, c'est l'effet de mode qui pousse les professionnels, confrontés toute la journée à des personnes qui viennent se revendiquer fièrement "aspies" pour justifier une certaine originalité peut-être, à ignorer certains signaux de personnes en souffrance qui pourraient l'être vraiment. C'est comme pour la dépression ou les migraines. Et puis il y a cette tendance un peu malsaine des parents qui poussent leurs bambins chez les docs dans l'espoir qu'ils soient un peu plus originaux, spéciaux, intelligents que leurs petits camarades. Ou qui cherchent à justifier une certaine paresse avec un pseudo-diagnostique d'hyper activité. Ca prive les mômes qui en souffrent vraiment de poser un diagnostic viable parce que ça pousse le praticien à un certain scepticisme lorsque les parents viennent exposer ce qui semble problématique chez ou à un enfant.

Au temps pour moi je suis tout à fait d'accord qu'utiliser des étiquettes sans préciser que ce n'était pas la vrai définition est maladroit. Sinon des gens pourrait se mettre à l'utiliser sérieusement sans en connaitre la signification.

Sylphira a écrit:

Et puis oui tu as le droit d'être blessée, maintenant, insulter en retour non. Tu te prives toi-même de la légitimité de ta défense. Le mec te bouscule dans le métro, tu le condamnes pour harcélement sexuel?

Non franchement j'insulte pas pour insulter, c'était une façon de le faire réagir parce que je trouve que ça effrayant de savoir qu'il pourrait agir comme ça avec n'importe qui, pour avoir déjà eu à faire à ce genre de comportement je pense qu'ignorer ça pousse à réitérer jusqu'à avoir la réaction désiré par le provocateur. J'ai donc voulu dire le fond de ma pensée. Même si les chances qu'il se remette en question suite à ça sont proches de zéro parce que l'égo fait mal les choses.

Sylphira a écrit:

Pour en revenir aux aspies, moi ce qui me gêne, c'est l'effet de mode qui pousse les professionnels, confrontés toute la journée à des personnes qui viennent se revendiquer fièrement "aspies" pour justifier une certaine originalité peut-être, à ignorer certains signaux de personnes en souffrance qui pourraient l'être vraiment. C'est comme pour  la dépression ou les migraines. Et puis il y a cette tendance un peu malsaine des parents qui poussent leurs bambins chez les docs dans l'espoir qu'ils soient un peu plus originaux, spéciaux, intelligents que leurs petits camarades. Ou qui cherchent à justifier une certaine paresse avec un pseudo-diagnostique d'hyper activité. Ca prive les mômes qui en souffrent vraiment de poser un diagnostic viable parce que ça pousse le praticien à un certain scepticisme lorsque les parents viennent exposer ce qui semble problématique chez ou à un enfant.

Je n'ai jamais entendu parler de ce genre d'acte je suis choqué. Des parents qui amènent volontairement leurs gosses pour espérer qu'ils aient des troubles autistique ??? S'ils savaient ce que c'était vraiment... Si ça arrive vraiment c'est malheureux. Où tu as appris qu'il y avait cette tendance ? Des reportages ? Des témoignages ?

Tu as raison Dodie de réagir, je le faisais aussi à mon arrivé sur le forum, jusqu'à ce que je me rende compte que le majorité du forum fonctionnait comme ça. Ca m'a découragé que ça finisse toujours par se retourner contre moi, mais dans la vrai vie, je ne le tolérerais pas. Sur un forum, on peut facilement partir. Et on pardonne à tout les aigris qui ont besoin de se défouler.

Sinon, je ne sais pas pourquoi, sur ce forum on pense souvent que l'on cherche à être différent lorsqu'on sort de la norme par un diagnostique ou un re typage par exemple 0_o. Sans doute beaucoup de projection de la part de ces personnes qui voudraient elles mêmes être différentes et qui ne savent pas qu'est-ce ça fait réelleemnt de l'être. (bien sûr je précise, je ne me trouve pas spécialement différente, mais je peux comprendre ce que peut ressentir une personne qui vit avec une différence qui est handicapante, et comment ça peut être vexant pour elle de s'entendre dire qu'elle cherche simplement à être différente. Et l'incompréhension qu'elle peut ressentir)

http://seriouscat.com/

Stuffy tu devrais passer le pervers narcissique quizz on sait jamais, t'es peut-être dans la merde gros.

rappel du quizz http://www.rdos.net/fr/

mon résultat

Spoiler:

Salut ! Je me permet de laisser un message ici, car ça peut peut-être aider des personnes qui sont asperger ou qui sont en cours de diagnostique. Je souhaite vraiment aider le maximum de personnes comme j'aurai aimé être aidé, pour éviter à des personnes de souffrir comme j'en ai souffert.

J'ai fait pas mal de chemin depuis mes derniers messages sur ce topic. Depuis mon diagnostic du syndrome d'asperger au centre expert asperger de créteil (plusieurs rdv, des heures et des heures d'analyses diverses par des psychologues, psychiatres, et neuropsychologue), j'ai aussi été diagnostiqué de gille de la tourette (sous une forme légère) et du trouble du déficit d'attention. C'est fréquent d'avoir d'autres troubles quand on a un TSA. Pour ceux que ça intéresse vous pouvez vous renseigner sur la "comorbidité".

Bref, cela m'a menée à effectuer des séances de remédiation cognitive et des séances d'habilités sociales (toujours au centre expert asperger). J'ai pu rencontrer plein d'asperger et participer à des associations : asperger amitié notamment. Il y a plein de choses auxquels je me rendais pas compte à cause de mon syndrome et que j'ai pu découvrir et appréhender grâce aux suivis dont j'ai pu bénéficier. Et surtout, ma phobie sociale est définitivement derrière moi.

J'ai pu observer chez d'autres aspie diagnostiqués une manifestation de leur spectre autistique tous aussi différent les un que les autres. J'ai compris qu'il y avait beaucoup de clichés sur le syndrome et qu'un autiste ou un aspie n'est pas forcément comme ci ou comme ça. ça tient plus à du "il sont fréquemment comme ça" que du "ils sont tous comme ci, ils fonctionnent comme ça". C'est l'accumulation de plusieurs facteurs qui permet de valider un diag. Donc n'écoutez pas aveuglement une personne quelconque, même les professionnels de santé peuvent faire des erreurs (des études et contre études sont toujours en cours sur le sujet). Même les aspies eux même peuvent se tromper ! En effet le spectre se manifeste différemment et certains aspie ne se réfèrent qu'à leur vécu et font de leur cas une généralité. Il faut se renseigner sur les études, auprès de psy, et connaitre plusieurs aspies diag différents pour réellement comprendre le TSA.

J'ai pu, sur les conseils de ma psy, me lancer dans l'improvisation théâtrale et m'y épanouir dedans. ça m'a beaucoup aider pour développer ma communication non-verbale (ce qui fait souvent défaut aux aspies).

C'est parce que j'ai pu être guidée et rencontrer d'autres aspies que j'ai pu m'épanouir et me connaitre (faire la différence chez moi sur ce qui dépend du TSA et ce qui dépend de moi même, faire la part des choses pour ne pas s'identifier à un trouble, nous sommes bien plus que ça). C'est au gré des rencontres que je ne me suis plus senti seule, je me sentais comprise. J'ai aussi compris que mes problèmes n'étaient pas éternels, je pouvais les surmonter.

Je souhaite créer une association tenu par des aspies et pour les aspies (principe de la "pair-aidance"), avec des activités diverses pour nous aider à nous épanouir. J'aimerai proposer aussi une aide aux personnes en errance médicale, c'est à dire ne sachant pas qui consulter pour effectuer un diagnostique ou obtenir une aide après un diag validé ; en leur conseillant des adresses de professionnels de santé habilités.

Voilà donc n'hésitez pas à m'envoyer un message si vous êtes aspie, ou si vous pensez que ça peut intéresser un de vos proches qui l'est, ou juste si vous avez des questions.

Pas très étonnant!
Par contre il m'a semblé reconnaître quelqu'un dans beaucoup de questions auxquelles j'ai répondu "non" (quasiment toutes), mais je peux pas lui dire "eh! tu serais pas autiste, toi, par hasard?"

Diantre !

Je refais ce test régulièrement depuis mon auto-diagnostique de 2006.
A chaque fois, je mets des "un peu" voir "non" sur des trucs qui ont été flagrant dans mon enfance, et qui le sont beaucoup moins maintenant.
Et pourtant, le graphique laisse peu de doute :
J'ai développé une capacité relationnelle à peu près ordinaire (tout en gardant mes caractéristiques NA), et pour le reste, je fais comme je peux.

Citation :

Je refais ce test régulièrement depuis mon auto-diagnostic de 2006.

Citation :

le graphique laisse peu de doute

après ton auto-diagnostic tu as cherché à obtenir un diagnostic officiel?

Oui ! et heu...... comment dire.... bon.
alors,
Je ne suis pas handicapée : l'informatique qui fait que quasi toutes mes interactions professionnelles passent par un écran me sauve de beaucoup de situation.
Dans les situations perso, ça fait longtemps que j'ai fait le tri autour de moi pour ne conserver que les personnes qui me font du bien.
Il y a bien pire que moi comme aspie (niveau hypersensibilité, par exemple, je m'en sors assez bien)
Et enfin les aspies apprennent. Alors, j'ai appris, et je m'en sors pas trop mal aujourd'hui. Je suis capable de mentir par omission maintenant et sans me faire gauler

Sur ce, un jour que des proches remettaient en questions mon auto-diagnostique, je suis allée trouver un pro (un contact pris sur le site de aspergeraide dont j'ai beaucoup fréquenté le forum en 2006), avec l'idée de parler de ma vie (ça fait toujours bien d'avoir quelqu'un à qui raconter ses élucubrations) et de faire ce diagnostique.
La spy m'a demandé "Voulez-vous vous déclarer handicapé ?", j'ai répondu non, car je sais qu'il y a d'autres aspies qui ont vraiment besoin de ce papier et je vais pas leur passer devant.
Donc, on a pas fait les tests les plus aboutis. C'était même pas multi-professionnel. C'était juste elle qui me posait des questions et prenait des notes.
Quand je me suis rendue compte qu'elle ne m'apportait pas grand chose en tant que psy, et qu'il n'y avait rien d'autre que ce questionnaire, j'ai fais au plus court pour finir les séances.
A la fin, elle m'a confirmé mon autodiagnostique (même si j'ai de l'imagination)

Mais, comment dire... Je l'ai pas trouvée très sérieuse ( INTP style ! )
Globalement, j'ai plus confiance dans la connaissance que j'ai de moi que dans ce qu'elle a vu en quelques séances  
Et j'ai eu honte aussi, de ne pas oser donner le questionnaire à mes parents pour juger comment j'étais enfant. Mais ma mère est de celles qui ont déjà dit un jour "les autistes, c'est leur mère qui s'occupe pas d'eux" (elle est psychanalyste), alors je peux pas. Et mon père... C'est à cette époque qu'il est entré en soins palliatifs, donc j'ai pas pu non plus. J'aurais du avec ma sœur (5 ans de plus que moi), mais j'ai trouvé un prétexte pour la disqualifier... Bref : ce truc, le regard extérieur, qui aurait vraiment pu peser dans le diagnostique, visiblement, je n'ai pas osé m'y confronter...
Donc je n'ai que l'avis de cette spy et pas d'autres personnes, et je trouve ça un peu court.

Sur ce, on peut dire aussi que, quand je suis passée en phase "allez, j'en ai marre, on expédie ce truc", j'ai retiré mes filtres de sociabilité (puisque je ne tenais pas à rester en contact psy avec elle après), et que si j'avais été NT, j'aurais expédié façon NT. Mais là, au contraire, ça a peut être fait sortir des manières NA (elle m'a raconté après comment elle avait été frappée que je puisse lui raconter une de mes expertise sans la regarder, sans vérifier qu'elle comprenait : bah oui, on était dans un exercice, et elle n'était pas quelqu'un qui s'intéressait pour de vrai à ce que je racontais, donc j'ai pas appliqué les codes sociaux que je sais faire quand il y a besoin, mais qui ne sont pas innés chez moi de toute façon)

En tout cas, en venant sur ce forum, je pensais venir avec mes caractéristiques INTP et 9, qui étaient celles qui me travaillaient en arrivant, et finalement, le plus saillant, ce sont mes caractéristiques aspies, et je suis à nouveau à un moment de ma vie où je me considère vraiment étrangère au monde (alors que à d'autres moments dans ma vie, je considère que tout le monde est unique, et ça peut marcher aussi)

Oui, moi aussi il me semblait que l'intérêt principal du diagnostic officiel était le statut d'handicapé

Citation :

Mais ma mère est de celles qui ont déjà dit un jour "les autistes, c'est leur mère qui s'occupe pas d'eux" (elle est psychanalyste)

je pensais que c'était dépassé
enfin ça fait des décennies qu'on sait que la relation mère-enfant, quelle qu'elle soit, n'est pas une cause de l'autisme!!

Ta mère fait quel métier à part psychanalyste? (si c'est pas indiscret)

Citation :

En tout cas, en venant sur ce forum, je pensais venir avec mes caractéristiques INTP et 9, qui étaient celles qui me travaillaient en arrivant, et finalement, le plus saillant, ce sont mes caractéristiques aspies, et je suis à nouveau à un moment de ma vie où je me considère vraiment étrangère au monde (alors que à d'autres moments dans ma vie, je considère que tout le monde est unique, et ça peut marcher aussi)

je me demandais si les autistes se sentaient étrangers au monde pck ils étaient autistes dans un monde très majoritairement non-autiste, ou si un autiste se sent par nature étranger au monde

Par exemple, est-ce que dans un groupe d'autiste avec des conditions semblables aux siennes (je sais que l'autisme a des formes très variées, je parle donc d'un groupe d'autistes avec des formes d'autisme très semblables), un autiste ne se sentirait plus tant étranger au monde?

Ma mère est une mutante.
Après avoir été des années médecin généraliste + psychanalyste pour particuliers, elle est retournée sur les banc de l'université, elle a passé sa spécialité psychiatrie à 50 ans, elle est devenue PH en hôpital, et elle a géré plein de projets sur plein de sites, etc...
Là, elle a 70 ans, on l'a mise à la retraite mais elle continue à bosser pour l'hôpital et pour son asso de psychanalyse.
Je l'admire !

Oui, la citation que je te donne est très vielle, c'était vers 1995 je pense. Je pense qu'elle a changé d'avis depuis. Mais ça me bloque quand même.
A l'époque, je sors de l'adolescence, j'ai lu des trucs sur l'autisme, je m'y reconnais partiellement (mais pas complètement non plus), et avec cette phrase, elle coupe complètement la communication entre elle et moi sur le sujet, et me force à faire mes découvertes toute seule (il faudra que mon père entre à l'hôpital pour comprendre que je lui ressemble et que j'aurais pu en parler avec lui, mais c'était un peu tard. )
Alors que quand j'en ai parlé à ma sœur, elle m'a dit "ah oui, je comprends que tu te poses des questions"

Je suis non-binaire. Sur beaucoup de sujet. L'autisme aussi.
Je pense que c'est un continuum, qu'on est "plus ou moins" autiste (au sens handicapant) en fonction des domaines et des apprentissages effectués.
Mon compagnon aussi se pose des questions des fois, sur les bizarreries de son frère... et les siennes.

Sur la question des groupes d'autistes, je peux pas t'en dire grand chose : les seuls que j'ai bien connu, c'était au travers d'un forum, et on sait bien que c'est un média qui donne l'impression de connaître les gens alors qu'en fait, pas vraiment.
L'autisme a des formes très variées : tout à fait.
Il y a des aspies avec lesquels je m'entends très bien, et d'autres qui me génère un malaise par leur seule présence car je ne comprends rien de leur attitude.
Je me sens moins "une étrangère" quand je suis entourée d'INTP comme moi. ça aide aussi.

Je rêve d'un monde où être différent ne soit pas un handicap, mais juste une particularité.
Ma politique est la suivante : Je fais des efforts pour ne pas blesser les gens autour de moi, merci d'en faire de même.
Et des fois, ça rate, on le sait.
Mais si c'est ni régulier ni méchant, on peut faire avec.

Oh, et dernière découverte sur le sujet : Je vous conseille le jeu TothoMoon. (je vais faire un post spécifique)

"Votre résultat Aspie: 115 de 200
Votre score neurotypique (non autistique): 76 de 200
Vous êtes très probablement Aspie"

Mouais....Perso je pense pas mais bon.

Pour moi j'ai eu : Votre résultat Aspie: 89 de 200
Votre score neurotypique (non autistique): 116 de 200
Vous semblez présenter des traits à la fois Aspie et neurotypiques.
Pour le plaisir de faire le test ^-^
Je ne pense pas que le test soin vraiment valable mais quand même pour le plaisir, cela peut être amusant niveaux du petit graphique de comparé les membres.



Au plaisir de n'e pas passé trop inaperçus.
En voyant mon résultat il y a une catégorie qui plus élevé que les autres dans le test, le coté Talent aspergere intellectuelle est la courbe la plus proche de tout les divers mot, mais as un trouble obsessionnel compulsif (TOC).
8.9 sur 10 (supérieur à la moyenne normal).

Le plus élevé est le talent Aspie.

Puis neurotypique pour la perception en 7.5 des chose.


Talent Aspie
Le résultat de votre groupe : 8.9 sur 10 (supérieur à la moyenne).

Talent neurotypique
Le résultat de votre groupe : 6.2 sur 10 (moyen).

Perception Aspie
Le résultat de votre groupe : 3.0 sur 10 (inférieur à la moyenne).

Perception neurotypique
Le résultat de votre groupe : 7.5 sur 10 (supérieur à la moyenne).

Communication Aspie
Le résultat de votre groupe : 3.0 sur 10 (inférieur à la moyenne).

Communication neurotypique
Le résultat de votre groupe : 6.0 sur 10 (moyen).

Relations Aspie
Le résultat de votre groupe : 4.9 sur 10 (moyen).

Relations neurotypiques
Le résultat de votre groupe : 2.8 sur 10 (inférieur à la moyenne).

Aspect social Aspie
Le résultat de votre groupe : 4.6 sur 10 (moyen).

Aspect social neurotypique
Le résultat de votre groupe : 4.3 sur 10 (moyen).

neurotypique  Trois moyen, un supérieur et un faible. 6+3+1 = 10
aspie Deux moyen, un supérieur et deux faible. 4+3+2 = 9

XNTJ (plutôt INTJ), quasi sure d’être autiste (on utilise plus le terme Asperger)

Score 159 sur 200
Très probablement Autiste