Luna a écrit:

avez vous du mal à passer à l'action (agir) ? Si oui, comme vous y prenez vous pour sortir de votre passivité ?

Oui pas mal jusqu'à mes 18 - 20 ans, vraiment moins depuis.

Un truc qui, avec le recul, m'a pas mal aidé:
J'ai fait 2 années de cours de théâtre d'impro au lycée (un comédien vraiment cool et passionné donnait des cours presque gratos au lycée et la fille que je convoitai à l'époque y était  )
Déjà pour un bon introverti comme j'étais ça à pas été facile de jouer devant un groupe / public mais très bon exercice...
D'autre part pour l'impro plus spécifiquement: il faut impérativement se mettre dans un espèce de 'mode' à la fois attentif et réactif aux autres mais surtout presque 'instinctif', 'impulsif', 'rebondir' assez rapidement, sans réfléchir ou en tout cas presque pas et au contraire laisser aller les associations, l'imagination. En quelque sorte ça oblige à se lâcher: voire carrément exagérer ses attitudes, gestes... à force ça devient de plus en plus 'naturel' de se mettre dans ce mode.
C'est un peu difficile d'expliquer je suis pas vraiment prof d'impro et ça date de bien 10 ans ces cours mais je crois que ça m'a aidé. Parfois si je me sens un peu 'inhibé' je peux (pas toujours avec succès...) retrouver ce 'mode de fonctionnement' un peu plus centré sur mes sensations présentes, mon environnement et sans 'sur-analyser' ou chercher trop à anticiper comme j'ai salement tendance à faire pour, au contraire agir beaucoup plus facilement. Après dans mon expérience ça varie aussi énormément en fonction du contexte notamment les gens présents (un proche, connaissance, groupe de pairs, + jeunes, + vieux, inconnus, etc...)

En fait en me relisant je crois que le plus important c'est le fait de ne pas chercher (trop) à anticiper.
Le fait de trop vouloir anticiper les possibilités (on peut énumérer ^^) est complètement paralysant et inhibant... évidemment quand on cherche à prédire le futur et les probabilités infinies. Oui ce truc complètement con que je fais tout le temps
Par principe même, en impro on peut décider et connaître quelques trucs à l'avance (suivant le type d'impro) mais tout le reste est impossible à anticiper donc il faut vraiment travailler à ne pas chercher à anticiper, pour au contraire réagir (et laisser cours à autre chose que le personnage 'refuge' derrière lequel on se cache tous instinctivement...)

Greenbat : comme je te l'ai dit pour le moment je m'emmêle encore avec les Te, Ne, Fi. Je sais juste que mon Ne est un peu en veilleuse.
Pour apprendre, j'ai avant tout besoin d'un climat rassurant. Là, je peux me permettre d'être moi même sans réfléchir et d'agir naturellement. Il suffit qu'on me guide, des fois j'aurais des questions ou des doutes totalement absurdes aux yeux des autres, mais faut pas m'enfoncer dans ces cas là! Quand je travaille avec les enfants, je sais que je suis moi. Un enfant entre 6 et 9 ans (ma tranche d'âge favorite!) ça juge, ça critique, ça se moque. Mais ça ne me perturbe pas, je m'occupe de tout ce petit monde avec aisance. Mes collègues? ils sont dans le même bateau. On est là pour encadrer, jouer, proposer, amuser,apprendre et en général tout se passe très bien!

Je suis absolument incapable de me dire que chaque instant écoulé est parfait! Au contraire, tout instant dans lequel j'entre en jeu, sur lequel je peux influer ne sera ps parfait! Il aurait pu être tellement mieux autrement. Et quand il est passé, je me rend compte de tout ce que j'ai fait de travers, ce qu'il faut que je retienne pour ne pas reproduire ça. En plus, il va falloir vivre avec maintenant. Je me rend compte que ça ne donne pas envie d'agir.

Luna : tu peux me MP quand tu veux, si besoin. J'ai eu 21 ans, et c'est marrant parce que c'est entre 20 et 22 ans que j'ai le plus pensé à mon corps. Une amie également au même âge a développé une véritable hypocondrie. Et même si c'était pas une vraie,de toutes manières elle en était persuadée!
Je vois ce que tu veux dire : par exemple (je préfère tellement les exemples) quand j'ai voulu aller me teindre les cheveux chez le coiffeur. J'ai attendu des mois avant de me décider. Une fois sure, au lieu d’appeler pour prendre rendez-vous, j'ai passé 2 jours à faire des recherches sur les méthodes de teintures, toutes les nuances qui existent, la décoloration, etc...J'ai failli ne jamais aller chez le coiffeur...
Il n'y a pas besoin d'avoir le nez dans les bouquins pour avoir un cerveau intellectuel, la curiosité ça suffit

Klay : c'est marrant, en te lisant je me suis rappelée mon année de théâtre. J'avais 10 ans. J'ai été une enfant bille de clown, très extravertie, j'adorais faire des spectacles. En 6ème on te fait faire un peu de théâtre aussi, j'avais bien aimé jouer! Le chant pareil en 6ème, j'aimais ça.
Et puis l'année d'après tout à basculé. Je suis devenue hésitante, impopulaire, introvertie. Impossible d'ouvrir la bouche en musique, tout le monde se moquait de moi, ma gorge se bloquait, je tremblait.
Plus tard, vers 15 ans j'ai commencé le jeu de rôle. Suivant avec qui je jouais, je pouvais être paralysée et ne presque pas jouer de la partie...
A 18 ans, j'ai fait du jeu de rôle grandeur nature Vampire. Moyenne d'âge 25 ans environ, j'étais la plus jeune, on me chouchouttait ^^ L'expérience a été plutôt bonne, même si je restait très très insatisfaite de mon jeu, trop d'hésitations dans l'incarnation de mon personnage.
Le jeu de rôle c'est entièrement de l'impro, il y a juste le cadre et le personnage qui sont définis.
Le théâtre et moi, une longue histoire de "je t'aime, moi non plus" affaire à suivre.

"Est-ce que vous aussi vous êtes les cibles favorites des STJ ? (pour rigoler ou non)".
"Est-ce que vous aussi vous prenez plus de temps que votre entourage avant de ressentir de la colère intérieur ? (Moins colérique/nerveux que les autres, à ne pas confondre avec les "faux-calmes" qui énervent facilement mais font semblant de ne pas être énervé)" (plus remarqué chez les 9 ?).

Sambre a écrit:

Luna : tu peux me MP quand tu veux, si besoin. J'ai eu 21 ans, et c'est marrant parce que c'est entre 20 et 22 ans que j'ai le plus pensé à mon corps. Une amie également au même âge a développé une véritable hypocondrie. Et même si c'était pas une vraie,de toutes manières elle en était persuadée!
Je vois ce que tu veux dire : par exemple (je préfère tellement les exemples) quand j'ai voulu aller me teindre les cheveux chez le coiffeur. J'ai attendu des mois avant de me décider. Une fois sure, au lieu d’appeler pour prendre rendez-vous, j'ai passé 2 jours à faire des recherches sur les méthodes de teintures, toutes les nuances qui existent, la décoloration, etc...J'ai failli ne jamais aller chez le coiffeur...
Il n'y a pas besoin d'avoir le nez dans les bouquins pour avoir un cerveau intellectuel, la curiosité ça suffit

Je crois me souvenir que c'est vers 21 que l'on développe notre tertiaire.
J'ai l'impression moi que je l'ai développé avant mais j'y suis peut être plus à l'écoute en ce moment ou elle se fait de plus en plus forte.

Sinon pour ton exemple, c'est exactement ça

Sinon, ok je note pour le mp, merci.

Pour la colère, c'est très rare que j'en ressente, et ce qui est encore plus rare : la vengeance.
En fait, ce qui me met le plus en colère je pense que c'est l'injustice et la méchanceté gratuite, la manipulation des plus faibles.

Est-ce que vous aussi quand vous regardez quelqu'un, en fait vous regardez sa façon de vous de regarder?

Sambre a écrit:

Est-ce que vous aussi quand vous regardez quelqu'un, en fait vous regardez sa façon de vous de regardez?

Non, quand je regarde quelqu'un, je regarde regarde en faite juste de façon "symbolique", je ne réfléchis pas beaucoup sur la personne regardée, mais je peux sentir par contre l'humeur et l’énergie qu'il/elle essaye de me faire voir.

Sambre a écrit:

Pour la colère, c'est très rare que j'en ressente, et ce qui est encore plus rare : la vengeance.
En fait, ce qui me met le plus en colère je pense que c'est l'injustice et la méchanceté gratuite, la manipulation des plus faibles.

Est-ce que vous aussi quand vous regardez quelqu'un, en fait vous regardez sa façon de vous de regardez?

Moi je ressens souvent de la colère, je peux être facilement irritable surtout lorsque je déprime, mais j'intériorise beaucoup. A part avec mes proches, mais je redeviens aussi rapidement gentille

Sinon ce que tu as cité, me met aussi très en colère. Lorsque c'est moi même qui en suis victime, j'essaye de prendre de la distance, pour ne pas donner satisfaction et tomber dans ce jeux là. Les choses n'ont d'importance que si on leur en donne. Par contre je conserve un profond mépris, un peu de pitié aussi.

Sinon oui, c'est une chose que je me suis rendu compte. Lorsque je suis timide, je suis seulement focalisé sur ma personne, "Qu'est-ce que l'autre pense de moi ?", "Quelle image je renvois ?", parfois je n'arrive même pas à suivre toute la conversation (bon ça c'est sous le coup de l'émotion)
J'essaye maintenant d'un peu plus m'oublier pour m'intéresser à l'autre.

SInon je précise que je suis une égocentrique, je l'assume complètement mais j'ai du coeur aussi, j'en ai pas rien à foutre des autres même si je suis beaucoup focalisé sur ma personne. J'ai plus souvent été gentille que des personnes tournées vers les autres, et contrairement à ce que l'on a pu me dire ici, ce n'est pas pour me donner une bonne image. Du moins ce n'est pas du tout ma première motivation.

D'ailleurs, je suis souvent touché par les personnes T, pour ces raisons là. Ils ont souvent une grande carapace émotionnelle, et peuvent donner l'impression d'être complètement insensible aux autres, alors que c'est rarement le cas. Ca me rappelle un peu moi.


Est-ce que vous aussi, vous préférez parler de vous que des autres ?

Luna a écrit:

Est-ce que vous aussi, vous préférez parler de vous que des autres ?

Je suis du genre à parler de personne.
Je n'engage jamais de sujet sur les gens et souvent, quand mes potes de fac font du commérage, je deviens fantôme. Je ne donne jamais mon avis. Je suis neutre. Récemment, une pote EXFJ (hypocrite qui s'assume ) m'a demandé pourquoi je ne critiquais jamais. Bah tous simplement parce que je n'ai pas d’opinion le plus souvent. 

Parfois, c'est lorsque qu'on me demande mon avis sur quelqu'un que je commence à penser que je n'y avais jamais pensé (vous m'avez compris ?).

Je parle de moi par contre quand le contexte est posé.

Quand je suis triste, je n'aime pas exposer et extérioriser ma tristesse, je préfère m'isoler et me soigner par introversion.

Pour revenir à ta question, on peux donc dire que je préfère également parler de moi que des autres mais bon, même si je parle de moi parfois, je n'aime pas spécialement ça. 

Par contre, quand je me sens proche d'un I, Il m'est déjà arrivé de l'inviter à se confier mais ça reste occasionnel, en général mes discussions sont plus orientées chose et fait que personne et relation interpersonnel.

Est-ce que vous aussi vous évitez volontairement ou non de juger précocement les gens (je ne suis pas entrain de sous-entendre qu'un oui veut forcément dire P et un non veut forcément dire J) ?

Est-ce que vous aussi quand vous ne mangez pas, vous avez faim ?
Est-ce que vous aussi quand vous ne vous douchez pas vous sentez bon ?

Bref, effet barnum, inutilité totale

Kyslegion a écrit:

Est-ce que vous aussi quand vous ne mangez pas, vous avez faim ?
Est-ce que vous aussi quand vous ne vous douchez pas vous sentez bon ? 

Oui pour le premier, Non pour le 2nd.


Non plus sérieusement  

Kyslegion a écrit:

Bref, effet barnum, inutilité totale

Mon poto Intello (Wikipedia) a écrit:

L'effet Barnum, « effet Forer », « effet puits », « effet de validation subjective » ou « effet de validation personnelle », désigne un biais subjectif induisant toute personne à accepter une vague description de la personnalité comme s'appliquant spécifiquement à elle-même.

Ce topic n'a jamais eu pour vocation de valider quoi que ce soit.

Gecko (Mélos) a écrit:

Bonjour !
Alors aujourd'hui je lance un topic.
Le concept est simple:

Faite une liste de vos tendance en commençant par "Est-ce que vous aussi,..." Pour voir si nous avons des tendances, comportement en commun à certaines occasions.
Principalement les INFP mais aussi les ISFP,ENFP,ESFP,INTP,ENTP avec qui nous avons des fonctions en commun.

Prenez comme modèle ma liste si vous n'avez pas compris.

-"Est-ce que vous aussi, il vous arrive souvent de "gober" un certain temps en fixant quelque chose sans le savoir avant de vous en rendre compte par l’intermédiaire d'un ami ?"
-"Est-ce que vous aussi, on vous dis souvent que vous semblez encore être un gamin ?"
-"Est-ce que vous aussi, vous faite souvent des phrases maladroites, vous ne vous exprimez pas toujours bien à l'oral ?"
-"Est-ce que vous aussi, vous vous perdez souvent, vous avez aucune notion d'orientation ?" (moi perso' tous le temps )

PS : Apocalypse, si tu vois ce message, sans le faire exprès, hier, tu avais aussi déplacé ce topic sur celui des rêves lucides. Voila pourquoi je le remet ici. Pas de problème, je te pardonne xD

Je tiens à inciter plus précisément sur la phrase que j'ai faites d'entrer : 
"Pour voir si nous avons des tendances, comportement en commun à certaines occasions."
(Bon, ok j'ai fais 1 ou 2 fautes d'orthographes comme d'habitude.)
Ce topic n'est donc là ni pour servir de "validation subjective" ni pour servir de "validation personnel" et ni pour "désigner un biais subjectif induisant toute personne à accepter une vague description de la personnalité comme s'appliquant spécifiquement à elle-même".
Donc n'a rien avoir avec l'effet barnum.




C'est juste un topic "expérimental", "Pour voir si nous avons des tendances, comportement en commun à certaines occasions".

Le besoin de savoir si autrui agir de façon similaire à soi démontre une quête de « normalité » justifiant ses propres comportements, sinon, quel intérêt ? « Si l'on agit comme moi cela me rassure, je suis normal »,

Même si tu n'y vois pas d'effet Barnum, il est évident qu'il y à une quête de validation « objective » au sujet de sa propre personne, mais même là, il n'y pas de réel intérêt, il y à et aura toujours un manque d'objectivité.
L'objectivité étant impossible à atteindre que ce soit à l'échelle de sa propre personne ou travers les « données » reçues de tes semblables humains, il est je trouve, plus intéressant de définir soi-même sa propre réalité que de laisser les autres le soin de l'établir à ta place, en acceptant ses « données » tu prends le risque d'être façonné par ses dernières.

Le topic aurait été plus neutre s'il avait concerné tous les types.

L'intention est louable, mais un trait humain veut que lorsqu'on cherche des points communs avec ceux sensés nous ressembler (par exemple, du même type MBTI) on cherche, consciemment ou non, à se prouver et à prouver qu'on rentre bien dans la case qu'on est sensé "occuper" par logique inductive. C'est-à-dire en multipliant les correspondances entre les autres individus occupant la case et soit même.
Le soleil se lève tout les jours depuis plusieurs millions d'années, donc, il se lèvera demain.
Ici on aurait
J'ai tels, tels et tels intérêts/occupations/traits communs avec d'autres INFPs, ce qui me conforte dans l'idée que je suis INFPs.

Le biais existe seulement parce qu'on réunit pèle mêle divers itérations du comportements, sans prendre en comptes d'autres facteurs, notamment leur origine. Plus précisément, on ne cherche pas à trouver l'origines de ces traits qui peuvent provenir du fait que vous soyez humains, que vous ayez x fonctions qui produisent ça, ou que c'est bien l'ensemble "INFPs" qui produit ce résultat.

Donc, il y a indirectement effet barnum.

Donc Kys a raison sur ce point.

Ceci étant, le topic peut vous êtres amusant, et même instructifs à divers niveaux, que ce soit vrai ou non n'y enlèvera rien, et donc n'enlèvera pas la légitimité du topic pour ses participants actuels.

Kyslegion a écrit:

Le besoin de savoir si autrui agir de façon similaire à soi démontre une quête de « normalité » justifiant ses propres comportements, sinon, quel intérêt ? « Si l'on agit comme moi cela me rassure, je suis normal »,

Même si tu n'y vois pas d'effet Barnum, il est évident qu'il y à une quête de validation « objective » au sujet de sa propre personne, mais même là, il n'y pas de réel intérêt, il y à et aura toujours un manque d'objectivité.
L'objectivité étant impossible à atteindre que ce soit à l'échelle de sa propre personne ou travers les « données » reçues de tes semblables humains, il est je trouve, plus intéressant de définir soi-même sa propre réalité que de laisser les autres le soin de l'établir à ta place, en acceptant ses « données » tu prends le risque d'être façonné par ses dernières.

Je trouve ce que tu dis est perspicace mais si on s'en tient à ta logique, le MBTI lui même est une quête de "normalité"  justifiant ses propres comportement. Le MBTI auquel nous tenons tous tant ici dans ce forum. Il y'a donc également une quête de validation "objective" au sujet de sa propre personne. 

Comme tu le dis bien, et je suis d'accord avec toi, l'objectivité est impossible à atteindre. Nous sommes noyés dans les "données" reçues de nos semblables, ce qui n'est pas forcément problématique.

Après, je comprend ce qui te dérange c'est plus en surface, le fait que chacun raconte un peu sa vie, ... Et je comprend que ça puisse avoir l'air d'un topic pour INFP qui se flatte mais dans le fond, ce n'est pas si différent du concept même du MBTI je pense.

Maintenant, que ce soit ce topic où le MBTI tous court, la problématique est la même, de ne pas se laisser les autres le soin d'établir à notre place la définition que nous avons de nous même. Le plus important, c'est de prendre conscient de cela, ce topic n'est pas à viser particulièrement.

StuffedBeer a écrit:

Le topic aurait été plus neutre s'il avait concerné tous les types.

L'intention est louable, mais un trait humain veut que lorsqu'on cherche des points communs avec ceux sensés nous ressembler (par exemple, du même type MBTI) on cherche, consciemment ou non, à se prouver et à prouver qu'on rentre bien dans la case qu'on est sensé "occuper" par logique inductive. C'est-à-dire en multipliant les correspondances entre les autres individus occupant la case et soit même.
Le soleil se lève tout les jours depuis plusieurs millions d'années, donc, il se lèvera demain.
Ici on aurait
J'ai tels, tels et tels intérêts/occupations/traits communs avec d'autres INFPs, ce qui me conforte dans l'idée que je suis INFPs.

Le biais existe seulement parce qu'on réunit pèle mêle divers itérations du comportements, sans prendre en comptes d'autres facteurs, notamment leur origine. Plus précisément, on ne cherche pas à trouver l'origines de ces traits qui peuvent provenir du fait que vous soyez humains, que vous ayez x fonctions qui produisent ça, ou que c'est bien l'ensemble "INFPs" qui produit ce résultat.

Donc, il y a indirectement effet barnum.

Donc Kys a raison sur ce point.

Ceci étant, le topic peut vous êtres amusant, et même instructifs à divers niveaux, que ce soit vrai ou non n'y enlèvera rien, et donc n'enlèvera pas la légitimité du topic pour ses participants actuels.

Bien vue.

Effectivement tu as raison au sujet du mbti, l'utilité se retrouve réellement dans la pratique, c'est à dire que le MBTI propose une vision erronée et imparfaite, à défaut de la cécité.

Il y a quelque post, où je voulais vraiment voir si d'autres vivaient la même chose, sinon pour le coup, c'était vraiment pour "m'amuser". Je trouve que c'est bien d'avoir des topic détentes. Je le trouve mignon ce topic, et puis ça permet réellement de voir des tendances chez certains types, même si bien sûr blabla, comme l'ont expliqué Stuffeedbeer et Kyslegion. (ça fait vraiment rabat joie, surtout comme si on ne se doutait pas que la plupart des choses que l'on cite sont partagées par bcp de monde. Moi ce genre de topic j'aime bien, ça met de bonne humeur)

Sinon, on a le droit de continuer quand même ou pas?!

Sambre a écrit:

Sinon, on a le droit de continuer quand même ou pas?!

"Est-ce que vous aussi vous adopter un comportement d'indifférencié en groupe (groupe de collègue, de camarade de classe...) pour ne pas prendre le risque d'être dessus/blessé  ?" 
(les gens qui le font me comprendront )
(On sens le vécu lol)

J'appelle ça simplement l'effet camouflage..."je suis passivement le groupe, j'appartiens au groupe, j'approuve extérieurement le groupe, je fais des efforts pour ça, pour m'intégrer, alors laissez-moi tranquille."

Mélos a écrit:

Sambre a écrit:

Sinon, on a le droit de continuer quand même ou pas?!

"Est-ce que vous aussi vous adopter un comportement d'indifférencié en groupe (groupe de collègue, de camarade de classe...) pour ne pas prendre le risque d'être dessus/blessé  ?" 
(les gens qui le font me comprendront )
(On sens le vécu lol)

Ca m'arrive, mais lorsque je veux passer inaperçu et me fondre dans la masse, mais à ce moment là, je ne m'intègre jamais au groupe. Je reste fermer et aucun lien ne se crée.

Est-ce que vous aussi, vous préférez vous porter préjudice que nuire à quelqu'un d'autre ? (qui ne vous a rien fait je précise)

Luna a écrit:

Est-ce que vous aussi, vous préférez vous porter préjudice que nuire à quelqu'un d'autre ? (qui ne vous a rien fait je précise)

Ça dépend à partir de quel moment, à quelle niveau on peut commencer à dire "se porter préjudice".
Par exemple je n'aime pas demander au gens de me rendre un service, un peu un idéal d'autonomie. 
Je crois même que c'est une compulsion, des fois je me rend compte qu'il y'a des choses que je ne paux inévitablement pas faire seul. 

Donc je dirai que si se nuire = se déranger et nuire autrui = déranger autrui, je dirai que oui.


Après si j'ai divagué, je pense comprendre ta question mais je ne pense pas pouvoir répondre convenablement faute de me souvenir de situations où je devais concrètement choisir entre me nuire et nuire l'autre. Je dirai que souvent des alternatives sont possible pour que tous le monde soit content, dont moi.

G.Mélos a écrit:

"Est-ce que vous aussi vous adopter un comportement d'indifférencié en groupe (groupe de collègue, de camarade de classe...) pour ne pas prendre le risque d'être dessus/blessé  ?"

Me fondre dans la masse est précisément ce que je ne fais jamais.
Je ne suis pas miscible et je fais tout pour être remarquable (du moins dans un contexte ou je me sens bien, ceci dit, les contextes ou je ne me sens pas bien, j'y fous le moins possible les pieds)

Citation :

Est-ce que vous aussi, vous préférez vous porter préjudice que nuire à quelqu'un d'autre ?

Il est tout simplement hors de question que je me porte préjudice et que je porte préjudice à l'autre. tu peux me donner un exemple? je suis pas sur de bien cerner.

Lauterwasser a écrit:

Citation :

Est-ce que vous aussi, vous préférez vous porter préjudice que nuire à quelqu'un d'autre ?

Il est tout simplement hors de question que je me porte préjudice et que je porte préjudice à l'autre. tu peux me donner un exemple? je suis pas sur de bien cerner.

Par exemple, si je suis en face d'une personne et que je sens que je l'intimide, je vais faire en sorte de la mettre à l'aise et de me diminuer.
Il peut aussi m'arriver d'accepter des choses qui sont contre mes intérêts, mais qui le sont pour l'autre personne.

Luna a écrit:

Il peut aussi m'arriver d'accepter des choses qui sont contre mes intérêts, mais qui le sont pour l'autre personne.

Ah du genre par exemple aller à la bibliothèque pour étudier avec un camarade alors que tu sais très bien que c'est encore toi qui va tous lui expliquer et que tu vas rien y gagner ?

Hum... C'est vrai que j'ai tendance à ne pas regarder mes intérêts quand je fais quelque chose mais étant donné que je suis ne suis pas en contact d'ingrat en général, ils me le rendent bien.

Citation :

Ah du genre par exemple aller à la bibliothèque pour étudier avec un camarade alors que tu sais très bien que c'est encore toi qui va tous lui expliquer et que tu vas rien y gagner ?

je te propose une autre vision des choses : quand tu expliques à quelqu'un, tu renforces tes propres connaissances, en stimulant ta mémoire et le restituant. donc c'est tout bénèf.