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| Vous êtes trop quoi vous ? | |
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Auteur | Message |
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Zogarok Co-administrateur
Type : INfJ-Ti 1μ ou 5μ, 1w9_5w6_4, Melancholic/Choleric Age : 33 Lieu : L'automne Emploi : Troll repenti Inscription : 01/11/2012 Messages : 1591
| (#) Sujet: Re: Vous êtes trop quoi vous ? Mar 06 Nov 2012, 01:36 | |
| - Exil a écrit:
- Le simple fait que la plupart des gens semblent parler de la culture ou de la société comme d'une entité autonome atteste de ces à-priori matérialistes, comme si l'individu était une tabla-rasa entièrement conditionné par des facteurs environnementaux qui n'auraient rien à voir avec la psyché qui les réfléchit, et l'immense fond d'inconscient archaïque qui s'y niche.
Sur cet aspect, je crois qu'il faut nuancer : la plupart des gens au contraire "assimilent" que tout est interdépendant, mais ne le conscientise pas tout à fait. Je crois aussi que lorsqu'on le nie (comme Jicky, mais pour prendre un exemple issu du contexte présent), on en a tout à fait conscience en vérité, mais qu'on s'y soustrait, qu'on évite de le mesurer ; parce qu'on a l'intention de le dominer ou d'y substituer un idéal, une projection de soi. Ca va être le cas des "dogmatiques" et des intégristes en tous genres. Sur le fond je suis donc complètement d'accord, simplement préciser: je crois que même celui qui ne le voit pas le sait, de toute façon il déborde, à moins d'être vraiment "dissocié", ce qui est extrêmement rare. |
| | | Invité Invité
| (#) Sujet: Mar 06 Nov 2012, 02:04 | |
| - Exil a écrit:
- Jicky a écrit:
- Sortez-vous de la tête qu'il y a un caractère homme ou un caractère femmes. Ces caractères sont généralisés parmi un genre ou un autre dans la mesure où on a été conditionné par des données externes : culture, éducation, parents, etc.
... et surtout de ne pas pointer du doigt des comportements parce qu'ils seraient jugés trop "féminins" ou "masculins", choses qui ne sont que culturelles. Ce discours de castration me fait froid dans le dos... Alors quoi, les hommes ne sont pas assez virils ? Les femmes pas assez féminines ? De quel droit on imposerait un carcan à un individu à cause d'une norme stupide ? Il n'y a pas de castration, il n'y a que des frustrés pour invoquer ce principe idiot.
Quand je pense que tu te crois lucide, bienfaitrice et libérée en disant ça... C’est à se taper la tête contre les murs ma pauvre Jicky...
Dans la logique absurde de ton appréciation (qui n’est que grossière projection de tes frustrations personnelles justement, sur fond d’inconscience généralisée), il faudrait donc croire qu’à l’aube de l’humanité, d'une certaine façon, hommes et femmes se confondaient. Ils étaient des êtres parfaitement hermaphrodites, de valeur indissociable, et que c’est l’avènement inexplicablement chaotique de la culture qui, par le pouvoir coercitif des représentations qu’elle propage, a différencié arbitrairement les deux genres, érodant l'excroissance phallique de certains au profit d’une érogènéité retroussée vers l’intérieur, tandis que dans un même temps, cette coercition conditionnait chez d’autres un processus inverse, caractérisé par l’hypertrophie du phallus originel, jusqu’à l’extériorisation totale des organes génitaux... J'insiste sur la plasticité car tu sembles complétement omettre l'immense influence conjointe qu'ont le corps (de part sa forme) et l'inconscient (de part les archétypes) sur l'orientation de la psyché, tout deux en tant qu'expression canalisée des lois du vivant. . Exil alors la désolé mais j'ai sursauté à ton post en lisant tant de bêtises (magnifiquement écrites il est vrai). Le pire c'est que même le sarcasme de tes interprétations délirantes des propos de Jicky mettent en relief tout ce que tu oublies par ta soif de symbolisme et de "vérité cachée" : Je supprime la notion de culture dans ton premier paragraphe, et à quelques termes près on met le doigt sur ce que tu semble occulter : Oui les deux sexes dans le cadre de l'homme, tout comme la plus part des caractères physiques de toutes les espèces vivantes, se sont développés par des phénomènes d'évolution : mêlant une part d'aléatoire et une part d'évolution que l'on appelle sélection naturelle. Et je pense que tu ne me contredira pas si en remontant assez loin (à l'aube des temps comme tu dis) nous nous trouvions des souches communes avec des espèces hermaphrodites ou ayant tout simplement des comportements "physiques" ou "psychiques" sexués opposées aux notres car ayant du évoluer dans un environnement différent. Mais où est donc cette belle loi des contraire et opposé à ce moment ? - Citation :
tout ça ne t’apparait-il pas comme porteur en soi de toute une symbolique hautement déterminante sur le plan psychologique, et par ailleurs largement transposable à la dynamique de la vie dans sa globalité (loi des contraires), tel que l’humanité à toujours eut le bon-sens de le remarquer ?...
Non, ça ne te dis rien ? Le Yin et le Yang ? A aucun moment il ne t’effleure l’esprit que ce que l’on conçoit communément comme relevant du féminin et du masculin est à la fois : intuition du principe de complémentarité à l’origine même de toute vie, et constat empirique de ses manifestations au sein de la matière (boucle Ni/Se), la convergence des deux nourrissant des idées axiomatiques de la plus haute importance pour orienter l’entendement humain, et que nier l’évidence de cette réalité, c’est nier l’état de nature Comment peux tu insinuer que d'autres genres de pensé nie la nature alors que c'est toi qui à l'audace de prendre tes appréciations subjectives, culturelles et surtout "humaine" pour la réalité de la nature. Cette symbolique que tu es si fier de si bien capter, ne l'ai que par notre prisme déformé d'"humain" au sens d'un maillon ridicule dans la chaîne de la diversité de la vie et du temps. Toutes ces lois et ces principes que tu ériges en vérité le sont également et ne sont pas du tout transposables à la dynamique globale de la vie comme tu aimerais le penser. Exil désolé mais tu savais bien qu'un post comme ça révolterait mon (Ne) Sinon Apo +10 000 j' adhère complétement ta vision des choses. Pour en revenir également au sujet, à mon avis je suis trop bordélique, relativiste, ambitieux, joueur, confiant, libertaire, naïf, pressé, innovant mais surtout distrait et gaffeur |
| | | Invité Invité
| (#) Sujet: Re: Vous êtes trop quoi vous ? Mar 06 Nov 2012, 12:46 | |
| Trop indécise, trop contradictoire, trop procrastinatrice par périodes, trop exigente, trop méfiante, trop empathique, trop introvertie, trop en décalage avec ce qui m'entoure... Je ressens trop les ambiances... Il m'arrive aussi d'être trop colérique et trop grincheuse... Et je prends trop les choses à coeur (dans certains domaines.) |
| | | Invité Invité
| (#) Sujet: Re: Vous êtes trop quoi vous ? Mar 06 Nov 2012, 12:50 | |
| J'avais parlé de faire quelque chose de plus construit, je m'y attèle. - Exil a écrit:
- Quand je pense que tu te crois lucide, bienfaitrice et libérée en disant ça... C’est à se taper la tête contre les murs ma pauvre Jicky...
C'est un peu immature et mal placé de ta part. Lucide je pense l'être. Bienfaitrice non, libérée est un concept où tout est relatif pour moi. Je n'ai jamais prétendu avoir une vérité suprême ni être universelle, j'ai conscience que ma perception est une perception possible parmi tant d'autres, conscience que tu devrais toi même posséder parfois, ça ne te ferait pas de mal je pense. - Exil a écrit:
- Dans la logique absurde de ton appréciation (qui n’est que grossière projection de tes frustrations personnelles justement, sur fond d’inconscience généralisée), il faudrait donc croire qu’à l’aube de l’humanité, d'une certaine façon, hommes et femmes se confondaient. Ils étaient des êtres parfaitement hermaphrodites, de valeur indissociable, et que c’est l’avènement inexplicablement chaotique de la culture qui, par le pouvoir coercitif des représentations qu’elle propage, a différencié arbitrairement les deux genres, érodant l'excroissance phallique de certains au profit d’une érogènéité retroussée vers l’intérieur, tandis que dans un même temps, cette coercition conditionnait chez d’autres un processus inverse, caractérisé par l’hypertrophie du phallus originel, jusqu’à l’extériorisation totale des organes génitaux...
J'insiste sur la plasticité car tu sembles complétement omettre l'immense influence conjointe qu'ont le corps (de part sa forme) et l'inconscient (de part les archétypes) sur l'orientation de la psyché, tout deux en tant qu'expression canalisée des lois du vivant. De quelles frustrations au juste parles-tu ? Les seules frustrations que je connais à ce sujet sont celles de mon impuissance face à un caractère dogmatique qui n'a pas lieu d'être et qui demande à mon sens à être modifié pour que règne l'harmonie entre êtres humains, ni plus ni moins. Au fur et à mesure que j'ai avancé dans ta réponse, je me suis rendue compte d'une chose : tu n'as absolument pas compris à mon propos, ou tu l'as interprété à ta façon poussé par ce que tu penses être une aberration. Ai-je nié les différences ? Je sais être une femme biologiquement parlant, et culturellement parlant. Dans ma tête, les différences existent entre les différents sexes et sont bel et bien réelles. Ce que je nie et ce que je rejette, ce serait tout ce pan de la société qui attendait un comportement précis d'un être parce qu'il est un homme et d'un autre parce qu'il est une femme. Je ne parle pas à un niveau biologique encore une fois, ne me fais pas dire ce que je n'ai pas dit. Mais pour prendre un exemple tout bête, je parlerai de virilité pour un homme et de féminité pour une femme. Hommes et femmes ne possèdent pas tous les attributs que l'on veut leur donner, est-ce que pour autant qu'ils doivent être marginalisés, mis de côté jusqu'à rentrer dans un moule conforme aux normes ? Je ne le crois pas. - Exil a écrit:
- Et c’est marrant, en poussant ta logique à fond, on aboutit à une réalité qui s’apparente à celle du développement fœtal, elle même vestige d’une réalité qui nous renvoie aux bombardements météoritiques des vastes vallées inondée du précambrien... (histoire d'en rajouter une couche dans l'allégorie masculin/féminin)
Peut-être existe t-il un mythe qui irait dans le même sens ?..
Mais restons en aux bases, et allons droit à l’essentiel: - que l’organe génital de l’un se distingue par son intériorité diffuse, et celui de l’autre par son extériorité canalisée, - que la forme concave de l’un appel d’elle même à être rempli, et celle convexe de l’autre à remplir, - que l’un soit souple et humide, l’autre rigide et sec... tout ça ne t’apparait-il pas comme porteur en soi de toute une symbolique hautement déterminante sur le plan psychologique, et par ailleurs largement transposable à la dynamique de la vie dans sa globalité (loi des contraires), tel que l’humanité à toujours eut le bon-sens de le remarquer ?...
Ne vois-tu pas comme un parallèle entre la rectitude pénétrante d’un pénis pointé vers les cieux, et les traits de caractère que l’on associe universellement à la polarité masculine (fermeté, clarté univoque, assertivité, esprit de conquête, de domination, ect), de même que les rondeurs féminines et le mystère abyssal que renferme le creux vagino-utérin sont inextricablement liés au caractère dont on revêt la dimension féminine (passivité, rétention affective, douceur, souplesse, ambiguïté, indétermination, versatilité, ect...) Non, ça ne te dis rien ? Le Yin et le Yang ? A aucun moment il ne t’effleure l’esprit que ce que l’on conçoit communément comme relevant du féminin et du masculin est à la fois : intuition du principe de complémentarité à l’origine même de toute vie, et constat empirique de ses manifestations au sein de la matière (boucle Ni/Se), la convergence des deux nourrissant des idées axiomatiques de la plus haute importance pour orienter l’entendement humain, et que nier l’évidence de cette réalité, c’est nier l’état de nature ainsi que les conditions nécessaires à la préservation de l’espèce. Quelque part, le symbole stérile que tu t’offres d’incarner (par delà l’homme et la femme) est très symptomatique de la confusion nihiliste inhérente au renversement des valeurs. Il préfigure bien les périls auxquels se condamne l’Homme moderne, dans cet élan qui le pousse aveuglement à s’affranchir toujours plus de sa bestialité intrinsèque, jusqu’à prétendre à la dignité d’un Dieu auto-érotique, réformateur d’univers... On sent bien tout ce qu'il y a d'instinctivité Se réprimée chez toi. Même problème que précédemment, j'ai eu comme l'impression de lire un cri du coeur d'une personne qui s'emballe complètement. Je n'ai pas nié (et je ne le nierai pas) la complémentarité sexuelle d'un homme et d'une femme, comme la formation d'un tout. D'ailleurs, la nature est bien faite à ce sujet. Je ne pense pas que ce que je veuille incarner (qui a parlé d'incarner d'ailleurs ?) soit si stérile que cela. Ce qui me dérange profondément, c'est avant tout l'intolérance, les présupposés et les préjugés, si je reste focaliser sur ce sujet bien sûr. C'est une chose que tu n'as pas comprise chez moi par ailleurs je pense : je ne souhaite absolument pas diriger un courant de conscience, une idée ou un concept ni m'en faire le porte-parole. Mes idées n'ont pour but encore une fois que d'introduire un peu plus d'harmonie. Ai-je raison, ai-je tort ? Si je les suis, pense bien que j'y ai longuement réfléchi avant de les embrasser. Mais je ne suis pas un gourou, ni un chantre des gender studies. Il n'y a rien de symbolique là dedans, bien au contraire : tout est rejet du symbole de l'asservissement de l'individu à des normes, leur ancienneté n'étant pas une justification plausible à mon sens, et encore une fois au mien. Pour ta dernière phrase, j'affirmerai une seule chose : n'oublie pas que l'on ne connait pas les personnes simplement en discutant avec elles sur un forum. Je pense avoir exploré mon Se par bien des domaines, que récemment certes et avec quelques balbutiements mais mon côté control freak ne m'a jamais empêché de laisser ce côté-là prendre parfois le dessus lorsque la nécessité s'en fait sentir. - Exil a écrit:
- Maintenant, si tu en est encore à croire trouver une parade à cette réalité immanente en arguant « oui, mais il y a des féminités conquérantes, et des virilités sensibles », ne vient surtout pas t’indigner après coup si tout dans mon attitude envers toi nie effrontément la légitimité que tu aurais de traiter pertinemment de ces questions. Ton "féminisme", tu le crois original et subversif, mais c’est un leitmotiv qui t’es offert sur un plateau par "l’air du temps" comme tremplin pour satisfaire tes pauvres revendications égotiques de femme frustrée. Un peu de décence merde !
Le but, suivant une visée humaniste, c’est d’offrir aux individus d’optimiser leurs potentialités par la transcendance des contraires, et non pas prétendre complaisamment à l’un au détriment de l’autre, qu’il s’agisse d’une pouffiasse qui laisse sa féminité entièrement conditionnée par ce qu’elle présuppose des attentes masculines, ou suivant le processus inverse, d’un bourrin macho, ou bien encore d’un nounours émasculé ou d’une amazone castratrice... Tu te trompes encore. Je n'ai jamais prétendu être originale, subversive, je n'ai jamais rien prétendu du tout d'ailleurs. Je suis fière de mes idées, d'avoir eu des réflexions là dessus et des discussions à ce sujet avec pas mal de personnes (tout sexe confondu d'ailleurs) mais ça s'arrête là. Je ne comprends pas pourquoi tu as une visualisation assez prétentieuse de moi dans ton esprit, je dis prétentieuse parce que c'est ce que je ressens à la lecture que tu dépeins de ce que je peux écrire. Je ne le prends pas personnellement parce que je ne me sens pas touchée par quelque chose que je crois erroné, mais ça me dépasse. Pour "l'air du temps", tu as raison. J'aime ressentir les changements, les changements que je crois bons et sains bien sûr. J'aime sentir que je suis dans une atmosphère, une place ou un pays changeant. J'accepte le changement s'il vient, je cherche à le comprendre et s'il est mauvais, je cherche à le désagréger. Et "l'air du temps" me pousse à croire que l'époque se fait changeante et que ce qui n'est qu'une bise pourrait se transformer en ouragan avec les forces adéquates pour le faire. Tiens d'ailleurs, sur le mot féminisme je me souviens avoir eu une conversation à ce sujet avec une INFP. Elle avait raison en soi et je l'admettais, ce mot est trop étroit et trop mal connoté à cause des dérives qu'il a entraîné et qui ont fini par marquer les esprits. Les mots ont du sens, et celui-ci en possède un qui me plaît mais d'autres auxquels je ne souhaite pas me confronter ou être rattachée. Oh et sinon hier assise sur mon lit, j'ai tenté de lire à voix haute le texte que tu as écrit en y mettant du ton, le rendu était assez bon ! |
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| (#) Sujet: Re: Vous êtes trop quoi vous ? Mar 06 Nov 2012, 21:19 | |
| - Ayahuasca a écrit:
- Trop grand, enfin parfois je me demande, ça me rend timide.
tu fais quel taille ? moi en tant que bon intp qui se respecte, on m'a déjà dis que je réfléchis trop je m'en rend compte lorsque j'essaye de faire des trucs artistiques, j'ai du mal à lâcher prise |
| | | Invité Invité
| (#) Sujet: Re: Vous êtes trop quoi vous ? Mar 06 Nov 2012, 21:33 | |
| - Glurp! a écrit:
moi en tant que bon intp qui se respecte, on m'a déjà dis que je réfléchis trop je m'en rend compte lorsque j'essaye de faire des trucs artistiques, j'ai du mal à lâcher prise Je rencontre le même problème en art appliqué ! Mais moi c'est avant tout dû à la peur de mal faire :S, et de manière général, moi la peur ne me motive pas elle m'inhibe ! |
| | | Glurp! Aucun rang assigné
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| (#) Sujet: Re: Vous êtes trop quoi vous ? Mar 06 Nov 2012, 21:39 | |
| - Luna2 a écrit:
- Glurp! a écrit:
moi en tant que bon intp qui se respecte, on m'a déjà dis que je réfléchis trop je m'en rend compte lorsque j'essaye de faire des trucs artistiques, j'ai du mal à lâcher prise Je rencontre le même problème en art appliqué ! Mais moi c'est avant tout dû à la peur de mal faire :S, et de manière général, moi la peur ne me motive pas elle m'inhibe ! c'est dans le cadre de tes études ? si oui j'imagine que la peur du jugement et de l'évaluation doit être assez gênante en effet |
| | | Invité Invité
| (#) Sujet: Re: Vous êtes trop quoi vous ? Mar 06 Nov 2012, 22:04 | |
| - Glurp! a écrit:
- Luna2 a écrit:
- Glurp! a écrit:
moi en tant que bon intp qui se respecte, on m'a déjà dis que je réfléchis trop je m'en rend compte lorsque j'essaye de faire des trucs artistiques, j'ai du mal à lâcher prise Je rencontre le même problème en art appliqué ! Mais moi c'est avant tout dû à la peur de mal faire :S, et de manière général, moi la peur ne me motive pas elle m'inhibe ! c'est dans le cadre de tes études ? si oui j'imagine que la peur du jugement et de l'évaluation doit être assez gênante en effet Oui dans le cadre de mes études, mais même en dehors j'ai du mal à me lâcher par rapport à avant ! Ce qui fait d'ailleurs que je dessine pratiquement plus. |
| | | Invité Invité
| (#) Sujet: Re: Vous êtes trop quoi vous ? Mar 06 Nov 2012, 22:35 | |
| Moi, c'est le contraire en art, je suis très (trop ?) freestyle Dès que j'en ai la possibilité, je vais au-delà de la consigne qu'on me donne. |
| | | Invité Invité
| (#) Sujet: Re: Vous êtes trop quoi vous ? Mar 06 Nov 2012, 22:37 | |
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| | | Invité Invité
| (#) Sujet: Re: Vous êtes trop quoi vous ? Mar 06 Nov 2012, 22:40 | |
| - Kaelune a écrit:
- Moi, c'est le contraire en art, je suis très (trop ?) freestyle
Dès que j'en ai la possibilité, je vais au-delà de la consigne qu'on me donne. Ta de la chance, moi je suis bloqué par ma peur d'échouer, ce qui donne moins d'âme et de créativité à mes dessins. Enfin de toute façon je ne comptais pas devenir peintre ou autre dans le même genre hein ! ^^ |
| | | Apocalypse Déléguée aux smileys
Type : INFP 4w3 Sp/Sx Age : 35 Lieu : - Emploi : - Inscription : 22/09/2012 Messages : 2559
| (#) Sujet: Re: Vous êtes trop quoi vous ? Mar 06 Nov 2012, 22:46 | |
| J'aimerais avoir plus d'inspiration en art. Je ne suis jamais satisfaite de ce que je fais, maintenant chaque fois que je dessine quelque chose je le déchire juste après. Je n'ai jamais pris de cours aussi (à part ceux d'arts plastiques au lycée), ça n'aide pas. J'ai vraiment du mal avec l'aspect technique de la chose. |
| | | Invité Invité
| (#) Sujet: Re: Vous êtes trop quoi vous ? Mer 07 Nov 2012, 20:53 | |
| Guineapig: Non, je ne lui ressemble pas du tout en plus lol Juste une photo que j'aime beaucoup (mais de qui, je ne sais pas, malheureusement) N'empêche que ça traduit pas mal une attitude que j'ai souvent Luna: Peur d'échouer ? Par rapport à quoi ? La note, le sujet, le décalage entre ce que tu imagines et ce que tu produis... etc ? Apocalypse Please: Qu'est-ce que tu recherches quand tu crées ? Tu aimes expérimenter, pour le plaisir de s'exprimer, peu importe si c'est beau ou tu cherches à faire du "beau", du propre, du lisse, de l'académique ? Se laisser aller, ne pas se donner d'objectif précis, ça donne beaucoup d'inspiration et d'idées Est-ce vraiment important de s'y connaître techniquement ? L'art, dans l'absolu, je vois ça comme un échappatoire à toutes ces limites et règles qu'on nous impose au quotidien, justement ^^ |
| | | Apocalypse Déléguée aux smileys
Type : INFP 4w3 Sp/Sx Age : 35 Lieu : - Emploi : - Inscription : 22/09/2012 Messages : 2559
| (#) Sujet: Re: Vous êtes trop quoi vous ? Mer 07 Nov 2012, 20:59 | |
| Non, surtout pas de l'académique! Rien de plus chiant. Je veux faire du beau, mais j'arrive rarement à reproduire ce que j'imagine dans ma tête... Après, il faut dire que j'aime bien dessiner des personnages aussi. Et j'ai des problèmes au niveau des proportions. J'aime tout dessiner d'un trait et spontanément, pas comme les gens qui ne font que recopier en faisant des traits tout kiki... N'empêche qu'à force de persevérance, beaucoup de ceux qui procèdent comme ça s'en sortent mieux que moi. |
| | | Myst Prophète du Ne aux
Type : INFP Age : 34 Lieu : . Emploi : . Inscription : 20/12/2009 Messages : 887
| (#) Sujet: Re: Vous êtes trop quoi vous ? Mer 07 Nov 2012, 21:20 | |
| - Citation :
- Non, surtout pas de l'académique! Rien de plus chiant. Je veux faire du beau, mais j'arrive rarement à reproduire ce que j'imagine dans ma tête...
Après, il faut dire que j'aime bien dessiner des personnages aussi. Et j'ai des problèmes au niveau des proportions. J'aime tout dessiner d'un trait et spontanément, pas comme les gens qui ne font que recopier en faisant des traits tout kiki... N'empêche qu'à force de persevérance, beaucoup de ceux qui procèdent comme ça s'en sortent mieux que moi. Tu as essayé l'écriture ou la musique ? Je pense que chaque art nécessite une adaptation à des règles d'usages et des systèmes (solfège, techniques de peinture etc); peut être faut-il développer son Se + Te pour la mise en pratique, les plans et la perception des détails ? (c'est aussi un problème pour moi quand je veux exprimer précisément ce que j'imagine dans ma tête) |
| | | Invité Invité
| (#) Sujet: Re: Vous êtes trop quoi vous ? Mer 07 Nov 2012, 21:34 | |
| - Kaelune a écrit:
Luna: Peur d'échouer ? Par rapport à quoi ? La note, le sujet, le décalage entre ce que tu imagines et ce que tu produis... etc ?
Entre le décalage de ce que j'imagine et produit, d'ailleurs il y en a toujours un, c'est toujours moins bien que ce que l'on s'imagine, ce qui fait que moi pour que j'apprécie réellement un de mes dessins ou autre production, il me faut prendre du recul ! C'est lorsque je redécouvre ma production, que je peux l'apprécier à sa juste valeur ! (lol) Mais bon ce n'est pas non plus toujours, que l'on est plus satisfait après coup. |
| | | Invité Invité
| (#) Sujet: Re: Vous êtes trop quoi vous ? Mer 07 Nov 2012, 23:36 | |
| Apo: Et si, tu essayais de créer sans but précis, sans te dire que tu dois faire du beau ou respecter des proportions ? Juste te lâcher, te défouler, quitte à peindre avec un balai sur un mur recouvert de papier ? A tester ^^ C'est... libérateur, jouissif , et on arrive à voir le beau là où on ne s'y attend pas, c'est très inspirant Luna2: Si tu acceptes l'imprévu, l'erreur et la surprise comme un cadeau, un heureux "hasard" et une opportunité de rebondir dessus, tu seras davantage satisfaite |
| | | Chase El Pacificator ChasingStarlight, le Besancenot de l'Ego
Type : INFP Age : 31 Lieu : Higher Emploi : J'bicrave des rimes Inscription : 10/01/2012 Messages : 3253
| (#) Sujet: Re: Vous êtes trop quoi vous ? Mer 07 Nov 2012, 23:38 | |
| Le Ne c'est pas mal pour dessiner. Pour les dessins je suis une brêle, surtout quand j'ai l'idée de l'image dans la tête avant de la dessiner, ça donne pas ça du tout, par contre si je part de rien pour avancer au fur et à mesure, des fois j'arrive à des trucs symboliques un peu, et même un peu joli. |
| | | Invité Invité
| (#) Sujet: Re: Vous êtes trop quoi vous ? Mer 07 Nov 2012, 23:42 | |
| j'aimais bien dessiner des bites quand j'tais ado. ça faisait flipper ma mère. |
| | | Invité Invité
| (#) Sujet: Re: Vous êtes trop quoi vous ? Mer 07 Nov 2012, 23:45 | |
| - Kaelune a écrit:
Luna2: Si tu acceptes l'imprévu, l'erreur et la surprise comme un cadeau, un heureux "hasard" et une opportunité de rebondir dessus, tu seras davantage satisfaite Oui et puis c'est souvent d'après une petite erreur que l'on dessine un dessin avec une âme et singularité, si c'est trop parfait, il n'y a plus le charme et la touche personnel ! C'est aussi parfois d'après des erreurs que l'on crée de nouvelles choses, je le sais bien, mais plus facile à dire qu'à faire (accepter) |
| | | Invité Invité
| (#) Sujet: Re: Vous êtes trop quoi vous ? Mer 07 Nov 2012, 23:45 | |
| Les oeuvres les plus spontanées sont les plus touchantes Je m'émerveille plus devant une peinture d'un môme qui s'est éclaté à créer sans réfléchir, que devant une oeuvre hyper carrée, réfléchie, structurée, bien proportionnée, mesurée..... Ouais, ça peut être beau à l'oeil, la plupart du temps, oui mais... je m'ennuie devant, je ne ressens rien... ;_; Ce n'est pas l'art que j'aime. L'art que j'aime a quelque chose d'authentique et de profondément humain Quand on se laisse vraiment aller, en effet, après coup, il y a comme des pensées sur ce qui nous préoccupent qui ressortent, pas mal de symbolisme... |
| | | Invité Invité
| (#) Sujet: Re: Vous êtes trop quoi vous ? Mer 07 Nov 2012, 23:48 | |
| - Luna2 a écrit:
- Kaelune a écrit:
Luna2: Si tu acceptes l'imprévu, l'erreur et la surprise comme un cadeau, un heureux "hasard" et une opportunité de rebondir dessus, tu seras davantage satisfaite Oui et puis c'est souvent d'après une petite erreur que l'on dessine un dessin avec une âme et singularité, si c'est trop parfait, il n'y a plus le charme et la touche personnel ! C'est aussi parfois d'après des erreurs que l'on crée de nouvelles choses, je le sais bien, mais plus facile à dire qu'à faire (accepter) Pourquoi se mettre des barrières là où il n'y en a presque pas, si on le décide ? Guineapig: je dessinais des femmes en lingerie très sexy (haha), des sirènes, le contour de mes mains, et des voitures, petite, je ne suis pas mieux O.o |
| | | Invité Invité
| (#) Sujet: Re: Vous êtes trop quoi vous ? Mer 07 Nov 2012, 23:53 | |
| Oui normalement l'art c'est la liberté justement !
Sinon moi aussi petite j'ai dessiné des femmes en lingerie sexy ! J'en ai même des traces dans mon journal intime, par contre je n'ai jamais dessiné de porno ! lol Je me rappel petite dans ma classe il y avait une autre fille qui dessinait bien (oui parce que elle est moi on'était réputé pour bien dessiné, mais je préviens je dessine pas non plus super bien), et bien des garçons (en plus elle était un peu folle et nymphomane, je crois qu'elle l'a fait), lui avaient demandé de dessiner des scènes de sexe ! |
| | | Invité Invité
| (#) Sujet: Re: Vous êtes trop quoi vous ? Jeu 08 Nov 2012, 00:01 | |
| - Kaelune a écrit:
- Je m'émerveille plus devant une peinture d'un môme qui s'est éclaté à créer sans réfléchir
ouais en dessin ça peut-être sympa. mais t'imagines tu donnes une guitare électrique à un enfant ? il va juste te percer les tympans quoi. |
| | | Invité Invité
| (#) Sujet: Re: Vous êtes trop quoi vous ? Jeu 08 Nov 2012, 00:04 | |
| Je crois que j'ai déjà posté ce même lien par ici tout à l'heure, mais ça peut donner des trucs cools.
Sinon moi je suis un frustré du dessin, et j'aime bien fixer mes délires au fil de la plume de temps en temps. |
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| (#) Sujet: Re: Vous êtes trop quoi vous ? | |
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| | | | Vous êtes trop quoi vous ? | |
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