nous vivons dans une société ou nous sommes en pertes de repère mais paradoxalement, nous avons axé à plus de connaissance que toute l'humanité réunit.

Nous pouvons avoir n'importe qui?

donc qui est votre mentor et pourquoi l'avoir choisit et comment l'avez rencontré ?


a oui et combien en avez vous ?

personnellement j'en ai je dirais aux moins 2 .

Bon allez je donne leur nom phil galfond et David de angelo..


Bizaremment 2 juif INTP.

Durant mes études, mon mentor a été mon prof de magmatisme de la licence à la fin du Master. INTJ typique avec un I et un Te très prononcés, il parlait comme un livre et je trouvais ses cours passionnants, à l'inverse des autres.

Maintenant, c'est surtout des maîtres 7ème dan d'Aïkido qui me servent de référence, plutôt ESTJ.

tu me déçois random123...


Je vais le dire pour toi alors:


"NI DIEU, NI MAITRE!"

Aïkido a écrit:

Durant mes études, mon mentor a été mon prof de magmatisme de la licence à la fin du Master. INTJ typique avec un I et un Te très prononcés, il parlait comme un livre et je trouvais ses cours passionnants, à l'inverse des autres.

Maintenant, c'est surtout des maîtres 7ème dan d'Aïkido qui me servent de référence, plutôt ESTJ.

Tien c'est très intéressant que tes mentors et un profil parfaitement opposés aux tien ^^.

Personne, pour ma part ... :| Ou alors, ceux qui arrivent à gérer sans trop de souci leur vie en fonction de leurs passions (voyages, art, musique, social...)

@Random

Oui, je pense que ça participe à la tendance au rééquilibrage des fonctions entre elles.

@ Kaelune

Ca m'évoque la liberté de vivre sans contrainte les sentiments.

OdonDeSaintAmand a écrit:

tu me déçois random123...


Je vais le dire pour toi alors:


"NI DIEU, NI MAITRE!"

haha !!

Absolument personne. Je ne rêve plus à ça depuis longtemps.

Par contre, j'ai une admiration infinie pour beaucoup de catégories de personnes, notamment ceux qui savent être heureux tout en étant honnêtes avec eux-mêmes (pas besoin de tricher - ni de projeter une image sociale, puisqu'ils sont déjà eux-mêmes), sans besoin d'autorité extérieure, mais sans se comporter en destructeurs non plus.

Oui, les individualistes intègres et pourtant épanouis, de façon générale. Je n'en connais pas, j'en ai vu pas mal de parodies. Je suis loin d'en être encore ; simplement un bohémien psychorigide et mélodramatique (colérique ?) un peu trash.

Aucun mentor, et je n'ai jamais voulu en avoir. Je reste très réservée d'ailleurs sur ce concept-là, et j'admire difficilement autrui.

Qu'entends tu par mentor ?

Sinon comme ça à froid : Claude Bernard & Spinoza.

Mersault a écrit:

Qu'entends tu par mentor ?

Sinon comme ça à froid : Claude Bernard & Spinoza.

quelqu'un dont tu te nourrie de ses paroles qui te permet d'ateindre tes objectifs dans la vie en général.
C'est obligatoirement une référence dans un domaine précis, je pense que les gens qui refuse d'avoir un mentor ne comprennent pas la chance que c'est.Ceci te permet de comparer toute tes connaissances avec se qu'il dis dans ses livres vidéos ou autre médias.Il est évident qu'il vaux mieux avoir qu'une seule référence que plusieurs car sinon tu t'embrouille, il arrive que 2 personnes dans un domaine ce contre disent et si tu ne connais pas la pensé profonde d'un comment peut tu les comparer ?

Tu progresse beaucoup plus vite de cette façon.


Je préfère prendre des gens vivant car bon avoir un mentor mort c'est un peu con, le mec tu as 0 chance de le rencontrer et surtout, il ne peut plus te surprendre en créant encore quelque chose.


j'ai hésité à mettre Soral dans la catégorie mentor mais je ne le suis de moins en moins donc c'est plus sa.

Je pense aussi qu'il ne faut pas hésiter à changer de mentor, je pense en prendre d'autre plus tard quand j'aurais maitriser leur enseignement.

Alain Soral ???
C'est une blague ?

remarque Galfond et DeAngelo c'était déjà une blague...

Quel farceur ce Random!!!

Alain Soral en mentor... Je ne donnerai pas mon opinion, Gilgamesh va me massacrer sinon :P

c'est quoi ton opinion ? que c'est un gros beauf raciste et homophobe ?

Un imposteur. Ni plus, ni moins. Et les imposteurs convaincus d'être dans le vrai sont les plus dangereux.

random123 a écrit:

Mersault a écrit:

Qu'entends tu par mentor ?

Sinon comme ça à froid : Claude Bernard & Spinoza.

quelqu'un dont tu te nourrie de ses paroles qui te permet d'ateindre tes objectifs dans la vie en général.
C'est obligatoirement une référence dans un domaine précis, je pense que les gens qui refuse d'avoir un mentor ne comprennent pas la chance que c'est.Ceci te permet de comparer toute tes connaissances avec se qu'il dis dans ses livres vidéos ou autre médias.Il est évident qu'il vaux mieux avoir qu'une seule référence que plusieurs car sinon tu t'embrouille, il arrive que 2 personnes dans un domaine ce contre disent et si tu ne connais pas la pensé profonde d'un comment peut tu les comparer ?

Tu progresse beaucoup plus vite de cette façon.


Je préfère prendre des gens vivant car bon avoir un mentor mort c'est un peu con, le mec tu as 0 chance de le rencontrer et surtout, il ne peut plus te surprendre en créant encore quelque chose.


j'ai hésité à mettre Soral dans la catégorie mentor mais je ne le suis de moins en moins donc c'est plus sa.

Je pense aussi qu'il ne faut pas hésiter à changer de mentor, je pense en prendre d'autre plus tard quand j'aurais maitriser leur enseignement.

Je ne m'attendais pas à ça de toi Random, c'est curieux ce besoin d'avoir des idoles.

Un mentor pour le rencontrer... Mais c'est avoir envie d'être "fan", chercher la dépendance, ça.

On peut sans doute "progresser" en évaluant ce qui se passe en-dehors de soi ; mais là tu parle de "confession", tu offre ta conscience à une autorité extérieure, tu reconnaît ses commandements... Ca m'étonne d'un ENTP (enfin, qu'il l'identifie clairement et le confie).

En gros, des "maîtres à penser" par intermittence ; par période. Une consommation de maîtres à penser... (très "Ne" somme toute)

Ce n'est pas si aberrant.

Le meilleure apprentissage reste le mimétisme.

J'ai du mal à mettre et donne mes pensées à quelqu'un. Comparer mes connaissances avec quelqu'un qui est sensé en avoir plus. Je vois toujours ce genre de personne comme une étape, et non une entité supérieur. Je n'ai plus aucune figure idéalistique depuis de nombreuses années.
Pourtant, j'aimerai. Me sentir fier, me dire que j'ai dépassé le "grand maître".

Zogarok a écrit:

On peut sans doute "progresser" en évaluant ce qui se passe en-dehors de soi ; mais là tu parle de "confession", tu offre ta conscience à une autorité extérieure, tu reconnaît ses commandements... Ca m'étonne d'un ENTP (enfin, qu'il l'identifie clairement et le confie).

En gros, des "maîtres à penser" par intermittence ; par période. Une consommation de maîtres à penser... (très "Ne" somme toute)

Je ne trouve pas ça étonnant. Cette "consommation de maitre à penser" comme tu dis, est un phénomène que j'observe souvent chez les ENxP. En compensation de l'éparpillement profane et de l'incertitude nihiliste que génère leurs excès de Ne, ils tendent à s'attacher compulsivement - sous l'effet de leur ombre - à certaines personnes ou à certain courant d'idées, allant parfois jusqu'à témoigner d'un alignement et d'une dévotion digne d'un ISxJ.
On retrouve souvent cette dialectique dans les contes ou les films, avec la figure du jeune ExxP impétueux, présomptueux et profanateur, qui trouve dans la figure morale du sage IxxJ, quelqu'un pour le recadrer et le discipliner. S'en suit souvent un transfert qui fait que le jeune ExxP se montre étonnamment loyal, fidèle et respectueux à l'égard de son maitre, exactement comme le serait au naturel un ISxJ.


Personnellement, je partage plus ou moins la réticence de Jicky et Zogarok à l'idée de me laisser ouvertement influencer par un mentor (peut-être parce que les NFJ ont vocation à l'être justement), mais sans l'avoir chercher, il est clair que la pensée de Jung a si décisivement bouleversée ma conception des choses qu'il est le seul auquel je puis reconnaitre la dignité d'un maitre.

En fait, c'est la notion de "maître" qui me dérange dans le concept de mentor, parce que je considère que l'on est maître de soi-même avant que qui que ce soit ne le soit avant notre propre personne.

Maintenant, je ne rejette absolument pas les influences que telle personnalité peut avoir sur mes idées, mes conceptions, mes notions... Mais je n'appellerai pas ça un mentor, plutôt un "inspirateur". C'est pas très joli comme mot, mais l'idée est là : une personne ou un groupe de personnes qui nous apporte un souffle nouveau, un ensemble d'idées que l'on juge novatrices et inédites, suffisamment du moins pour pouvoir les embrasser, mais toujours avec une réflexion derrière. Je me refuse à dire "il a raison !" sans réfléchir.

Ce thread et c'est réponse montre un peu le manque de conscience de soit et du monde.

Je connais dans le désordre des ENTP,INTP, ISFJ, INFJ,ENFP, ISTJ, INFP, ENTJ, ISTP, ENFJ,

qui ont eu un mentor. En gros, dire que c'est un truc de fonction ne c'est complétement débile car sa touche tout le monde mais surtout cest mal comprendre mbti, car le mbti c'est pas genre une fonction plus une autre mais un équlibre. Ca montre juste le déséquilibre de certaine personne.


D'ailleurs même toi exil, tu te contre dis en disant que JUNG est ton mentor.

Je suis vraiment content d'avoir évoluer quand je lis les réponses, je suis content vraiment, en si peut de temps.

Enfin, bref . J'aime bien ta réponse Aikido.

Jicky a écrit:

En fait, c'est la notion de "maître" qui me dérange dans le concept de mentor, parce que je considère que l'on est maître de soi-même avant que qui que ce soit ne le soit avant notre propre personne.

Maintenant, je ne rejette absolument pas les influences que telle personnalité peut avoir sur mes idées, mes conceptions, mes notions... Mais je n'appellerai pas ça un mentor, plutôt un "inspirateur". C'est pas très joli comme mot, mais l'idée est là : une personne ou un groupe de personnes qui nous apporte un souffle nouveau, un ensemble d'idées que l'on juge novatrices et inédites, suffisamment du moins pour pouvoir les embrasser, mais toujours avec une réflexion derrière. Je me refuse à dire "il a raison !" sans réfléchir.

Je te plussoie.

Beaucoup de choses intéressantes dans ce sujet.

J'ai été un peu vite, je ne doute pas que chacun soit disposé à se trouver un "mentor" ; effectivement, les "Ne" seront moins prompts à en chercher, du moins en apparence (comme dit dans le message, ça m'étonne, mais pour de faux, parce que c'est tellement révélateur). Je suis d'accord avec ça, je l'ai déjà évoqué justement en parlant de façon plus générale des ENFP, qui sont souvent de véritables dévots ; des défenseurs acharnés d'une cause ou d'un dogme, mais surtout qui récitent parfois des tables de lois, des "théories" empruntées (et vous aurez plus de facilités à convaincre un ESTJ qu'une réputation prestigieuse -pour un chercheur, un "spécialiste"- n'est pas gage d'omniscience). On sent chez eux qu'ils ont l'impression de se "compléter" de cette manière-là ; pour ce que tu (EXIL) évoque entre EP/IJ, ça m'évoque effectivement l'attitude de certains ENP à mon égard (toutes proportions gardées, et ça n'empêche pas bien des lacunes de mon côté par rapport à eux, à commencer par la capacité d'adaptation à un groupe, l'attitude "optimiste" face à la vie, etc) ; voir ESP, mais là c'est entre attrait et condescendance mutuelle (surtout ESFP), d'une certaine façon.

En revanche, avec Ni ou Ti/Te dom, il y aura plus de réticences. En même temps, on peut chercher des attachements par compensation ; se servir d'une idéologie ou d'un modèle pour plaquer ce qu'on veut soit-même exprimer, mais en se "rangeant" néanmoins sous une égide arbitraire. En général, les NT et ISTP/INFJ me paraissent moins disposés à recourir à cette quête de "mentors", même s'ils peuvent poursuivre d'autres choses qui pourraient s'y substituer.

J'ai bien conscience de cette "consommation" et je la pointais finalement parce qu'elle me contrarie un peu, pour être tout à fait honnête.

Par contre, je veux bien reconnaître du génie à beaucoup de monde ; et je ne nie pas qu'il y a des influences, au contraire elles sont partout, mais on s'y mesure aussi (sans forcément vouloir "dépasser un maître" - ça, ça ne me plait pas). Je ne crois pas qu'on se "fait tout seul", même si on (peut) se fabrique(r) grâce à ses efforts, on est pas sa seule source. Mais il y a des attitudes, des modes de vie, qu'en revanche je reconnaît, qui pourraient, eux, être mes "mentors".

Mersault a écrit:

Ce n'est pas si aberrant.

Le meilleure apprentissage reste le mimétisme.

Ce n'est pas aberrant, mais ce n'est pas la meilleure méthode pour "grandir" - ça doit plutôt être un moyen, un appui, une ressource (sinon, ça signifie qu'on a un maître et même choisi, ça reste un maître irradiant vers toi, mais sans réciprocité). Et pour beaucoup, c'est le moyen de s'enchaîner ou de se décharger.

Tout dépend de ce qu'on estime "devoir" "apprendre". Un mentor pour moi, ce serait celui qui me permet d'arriver à mes fins et de me libérer de certaines ornières ; je ne vais pas le déifier pour autant, au moins pas du point de vue mental.

random123 a écrit:

D'ailleurs même toi exil, tu te contre dis en disant que JUNG est ton mentor.
.

Tu as du mal interpréter mon propos.
Bien entendu qu'on a tous besoin de modèles et d'inspirations pour éveiller sa conscience au monde, ainsi qu'à soi même. Potentiellement, nous somme tous le maître ou l'élève d'un autre, et la légitimité de tout maître suppose nécessairement l'humilité de continuer à apprendre des autres, notamment de ses élèves.
En ce qui me concerne, ayant développé avec le temps des critères de sélections toujours plus affinés, je suis devenu peu suggestible à l'influence extérieure, que j’accueille d'un regard très critique, si bien que seuls les plus vertueux et les plus irréprochables d'entre les Hommes sont à même de susciter en moi cette adhésion qui fait qu'on se reconnait une figure d'exemplarité (pour ma part, Jung en particulier).
Par ailleurs, il y a clairement des profils qui ont d'avantage vocation à s'épanouir dans le rôle de mentor, et d'autres dans le rôle de loyaux serviteur, indépendamment de leur légitimité à l'être. Par exemple, de part leur inclinaison psychologique, les NFJ sont plus enclin que d'autres à professer, éduquer, influer sur la vie des gens, quand bien même ils se révéleraient incompétents. Naturellement, on peut retrouver cette même propension chez un STP d'âge mûr, en contact avec ses inférieures.

Moi je préfère trier les informations de moi même, me renseigner à différentes sources et me forger ma propre opinion. Mais bon je ne sais pas toujours chercher, et me renseigné correctement, ni n'ai spécialement l'envie.
Peut être bien qu'avoir un mentor, peut nous emmené plus loin qu'on serait allé seul, et surtout plus rapidement, mais de toute façon personnellement je ne pourrais jamais allé très loin, alors autant que je suive ma propre direction.

En fait c'est peut être narcissique, mais je n'aime pas reprendre les pensées des autres, je préfère avoir les miennes, c'est d'ailleurs sans doute pour ça que l'on me trouve souvent singulière... Je suis original, car je recopie autrui le moins possible. (mais sans même m'en rendre compte, ce n'est que depuis peu, que j'en prend réellement conscience)