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 PROFIL MBTI & TENDANCES POLITIQUES : POLITEST POUR TOUS

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Noumenie
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Message(#) Sujet: Re: PROFIL MBTI & TENDANCES POLITIQUES : POLITEST POUR TOUS PROFIL MBTI & TENDANCES POLITIQUES : POLITEST POUR TOUS - Page 17 Icon_minitimeVen 08 Mai 2015, 06:46

Dat test que ma prof d'histoire en Term nous avait proposé, et qu'on s'était tous retrouvé au centre. Lol.


Manque de pot, vu mon parcours et mes idées, je suis plutôt libertarienne Very Happy
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SmoothJohn
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Message(#) Sujet: Re: PROFIL MBTI & TENDANCES POLITIQUES : POLITEST POUR TOUS PROFIL MBTI & TENDANCES POLITIQUES : POLITEST POUR TOUS - Page 17 Icon_minitimeDim 10 Mai 2015, 20:56

Noumenie a écrit:
Manque de pot, vu mon parcours et mes idées, je suis plutôt libertarienne Very Happy

Ouf ! Tu viens donc agrandir ce cercle minoritaire mais peu discret sur le forum. Très bien silly
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Noumenie
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Type : 8w7
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Emploi : un truc compliqué
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Message(#) Sujet: Re: PROFIL MBTI & TENDANCES POLITIQUES : POLITEST POUR TOUS PROFIL MBTI & TENDANCES POLITIQUES : POLITEST POUR TOUS - Page 17 Icon_minitimeDim 10 Mai 2015, 21:21

Ha bon ? Very Happy
Coool Cool
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Lauterwasser
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Lauterwasser

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Message(#) Sujet: Re: PROFIL MBTI & TENDANCES POLITIQUES : POLITEST POUR TOUS PROFIL MBTI & TENDANCES POLITIQUES : POLITEST POUR TOUS - Page 17 Icon_minitimeDim 10 Mai 2015, 21:53

bienvenue Cool
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GBat
L'Anté Types
GBat

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Message(#) Sujet: Re: PROFIL MBTI & TENDANCES POLITIQUES : POLITEST POUR TOUS PROFIL MBTI & TENDANCES POLITIQUES : POLITEST POUR TOUS - Page 17 Icon_minitimeLun 11 Mai 2015, 18:00

Apocalypse a écrit:

Nietzsche dit "On peut être anti progressiste sans tomber dans le conservatisme un peu chiant.", j'ai envie de dire un peu l'inverse aussi : "On peut être progressiste sans être le chantre stupide du politiquement correct".
J'ai tendance à me méfier de ça, de toute cette mentalité grégaire (type "Je suis Charlie" intégriste) qui finit par aboutir à l'opposé de ce qu'elle prône. C'est oppressant. Et ça fourvoie un peu ces valeurs (tolérance, liberté) dans ce qu'elles devraient être. On en a encore le nom, les apparences, mais l'essence n'est plus là : on a comme un reflet inverse (mais finalement identique) de cette intolérance et de ce traditionnalisme si honnis.
Oui  Smile ... enfin, mouais, à l'origine le terme "politiquement correct" est quand-même vachement connoté. Maintenant utilisé dans le sens de "conformisme", mais surtout pour viser certaines idées, ... et moins d'autres au potentiel pourtant tout à fait dogmatique.  scratch
Pour ce qui est de la tolérance contredite ou renversée dans certains milieux progressistes, à vrai dire je suis complètement d'accord. Du moins si je parle bien de la même chose, j'ai beaucoup de mal avec les manifestations d'hostilité envers des hommes précis (le fait même de viser des hommes, fait s'éloigner le militant de l'Humanité en tant qu'objectif, en admettant que ce soit le sien); tout le tralala transcendant en fait, qui va suggérer que le progrès s'obtient de l'extérieure contre l'Humanité elle-même, comme s'il y avait un extérieur, alors que ce devrait être uniquement contre des systèmes et non contre des hommes. Elle ne devrait pas blâmer le prêtre, ni même le nazi tiens (je vais loin), parce que ce sont des hommes et qu'il n'y aura pas d'Humanité sans eux; ... exception faite des individus non-conscients des méfaits qu'ils propagent (criminels dégénérés malades) c'est autre chose et cela nécessite un contrôle du corps par la société ... mais alors là encore, il faut éviter le renforcement des circonstances en évitant les conditions faussement morales de détention inhumaines.
Mais c'est un fait, j'ai horreur de ces effusions d’ocytocine (encore des hormones, sociales celles-ci) consistant à dire j'aime l'Humanité, je suis contre la barbarie, alors je déteste les barbares, qui se trouvent donc en dehors de l'Humanité, et qui méritent la mort (Humanité moins un, ok bravo!).
Ou la moquerie en général (coté spinozien pour une bonne référence) si du moins on n'a pas d’abord cherché à comprendre les gens puis trouvé des solutions constructives à un problème.
"Ni rire, ni pleurer, mais comprendre". Ce dernier point n'est pas toujours facile à atteindre cependant, et évacuer l'anxiété peut parfois s'allier à l'appel du groupe, le besoin d'être avec les autres et de prendre les choses de façon légère;
donc avoir produit quelque chose de constructif avant de s'employer à la moquerie me paraît un bon compromis; l'idéal serait même que les gens que l'on auraient pu contempler de loin en se moquant mais que l'on a finalement tiré vers le haut soient à présent en train de rigoler avec nous.


Ceci nous amène à la question de la liberté.
La liberté est une puissance d'agir et de penser, et cette puissance implique un pouvoir: celui qui peut l'anoblir, la limiter, ou l'annuler (et ce qui rend même un esclavagiste libre, ce n'est pas l'esclavage mais le produit positif issu de la relation de coexistence cachée par la relation de domination elle-même; l'esclave n'en profite pas ou pas assez, c'est là toute la différence). Du fait de l'aspect interactif, expansif, des relations humaines, cela implique que la liberté est dans la puissance mais n'est pas garantie dans le pouvoir qui l'accompagne; la puissance est du droit, le pouvoir est du devoir; d'où la nécessité de règles, de régulation, des aspects des relations humaines qui contiennent du pouvoir. Mais ces devoirs devraient se déterminer en fonction de droits.
Les gouvernements (les structures de pouvoir donc) ne sont donc pas seulement les institutions démocratiques parlementaires, les Républiques et les Monarchies dont le monde est parsemé, mais aussi les institutions économiques et financières, règles abstraites et concrètes; et les structures de langage assimilés (liés ou non à des modes de vie concrets).
En soit, Spooner a montré que des gouvernements privés pouvaient former des États dans les États, employer des armées et des polices, et asservir des populations; en somme, produire les mêmes horreurs que celles que l'on a pu reprocher à des institutions plus visibles et grossières dans l'Histoire, Histoire qui est fortement relatée sous cet angle de vue limité des gouvernements et des États au sens classique du terme, ce qui ne facilite pas notre compréhension. Et ceci peut s'effectuer tout à fait avec le concours d’États ("classiques" dirons-nous) qui se parent d'une robe de noble régaliens limitant leur propre pouvoir d’État ... mais moins celui de leurs amis (ex typique en Irak, disais-je). La question de la liberté, dans un monde où chaque acte a des déterminations, conséquences, paraît donc plus ambiguë que la réduction gentil marché méchant État ou gentil État/méchant marché, et on peut également considérer toutes les structures politiques intermédiaires entre ces deux grandes thématiques (cultures d'entreprise etc).


Apocalypse a écrit:

Je trouve un peu dur de me qualifier de "politiquement correcte" parce que je suis au centre. Ce que je disais sur le fait d'être incomprise était ironique. Et de fait, je ne me reconnais dans aucun parti français actuellement. La tendance libérale à l'Américaine me conviendrait probablement mieux.
Le mot est un peu facile, d'autant plus que la réalité est en mouvement et que l'on peut se demander comment l'auteur de cette appellation la percevrait si un jour il accédait lui-même au pouvoir pour mettre en valeur les normes et les conventions auxquelles il tient. C'est un peu comme certains politiciens qui blâmaient les manifestations et la désobéissance durant leur mandat, pour subitement se rendre compte qu'ils manifestent eux-même pour la première fois de leur vie lorsqu'ils sont dans l'opposition (pour ne citer aucun nom). Le schéma fonctionne aussi pour le dissident qui accède au pouvoir.
Cependant, les progs américains dans l'actualité sont tout aussi pieds-main liés que le sont les français ou d'autres, aussi modérés ou radicaux qu'ils soient. Les liens entre politique et intérêts particuliers sont croissants lorsque soit le peuple est trop économiquement écarté des affaires (secteur d’État faible devant quelques grandes sociétés influentes, mais aussi intérêts privés sur les ressources vitales: eau, énergie, ...), soit quand les pouvoirs ne sont pas assez distincts ou ne reconnaissent pas assez chaque citoyen.
Je crains vraiment que l'action politique et aussi l'économie n'aient atteint leurs limites tant que nous ne porterons pas à nouveau notre regard sur les paradigmes mathématiques abstraits qui nous servent de météo et de règles pour nos échanges dans la vie courante.


D'ailleurs on parle beaucoup de "politiquement correct", mais on a jamais évoqué ce que l'on pourrait appeler "économiquement correct". On en a après l'intervention de l’État (parfois à raison) dans une économie sur laquelle on n'a plus aucun recul, une économie que l'on se contente de décrire comme on décrirait les humeurs d'un Dieu dans l'Antiquité, en espérant de pouvoir se procurer un jour le dernier gadget technologique, le statut social qui fait baver x, ou encore la place de politicien gestionnaire. C'est ce qui m'effraie, cette assimilation d'une mentalité marchandiste, d'une conception de la liberté elle-même réduite et déformée, restreinte à un seul type de mode de vie et de mentalité;
individualiste? Non, même pas, du moins, juste en apparence. L'individu n'est même pas une fin, juste quelque chose de prétendument acquis, et ce sont en réalité tout un tas de normes optimales qui importent le plus, normes abstraites issues d'un pythagorisme qui voit la récurrence de formes ou de chiffres dans la nature, et rigoureusement appliquées sur le tangible, au sein duquel les individus sont non seulement remplaçables mais considérés à tort comme dotés d'une liberté pleine et acquise. (l'affluence privilégiée de profils NT dans les études commerciales et la finance, mais aussi la recherche croissante de mathématiciens me paraît d'ailleurs tout à fait aller dans ce sens). Sauf que maintenant, nous allons même vers la conception de logarithmes automatiques, spéculant sans autre intervention de l'homme que la programmation initiale. Oui, bah on va l'avoir le laissez-faire, sauf qu'on est encore l'initiateur de ces normes et il ne s'agirait pas de l'oublier si on tient vraiment à ce que la responsabilité et la liberté aient encore un sens, et ne deviennent pas de simples instruments de punition comme une tribu ferait des sacrifices humains en l'honneur de phénomènes naturels auxquels ils attribuent une volonté indépendante. Le fait EST que nous sommes part active de ces phénomènes naturels.

Ceci étant dit, je doute que l'on laisse un tel tableau arriver dans des proportions quasi-absolues. Ce n'est qu'une tendance dans notre époque, et comme le dit Nietzsche (le membre, pas le philosophe):
Citation :
L'état c'est toi Wink

C'est vrai. Et c'est même la cause de l'application impossible du libertarianisme et de l'anarcho capitalisme. Si je suis le PDG d'une entreprise du cac40 j'ai beaucoup plus d'intérêt à du capitalisme de copinage qu'a un pur libre marché.
Le marché tel qu'il est aujourd'hui conçu ne sera pas l'autorité exclusive, l'arbitre exclusif, des relations sociales entre les hommes.
Et l’État n'est en effet pas prêt de disparaître, et ce n'est même probablement pas souhaitable. De gauche à droite, ça a été la grande erreur au XXième siècle. Les anarchistes ont voulu la dissolution miraculeuse de l’État sous l'action illuminée des individus organisés de façon autonome, mais sont toujours restés dépendants d'un système qui ne leur est jamais extérieur. Les marxistes se sont fait avoir, la disparition de l’État devait être l’avènement du communisme, et en composant avec les événements ils ont obtenu l'inverse: une caricature d'autoritarisme. Les libéraux (sur le plan économique) de l'école classique ont voulu réduire l’État à des fonctions régaliennes, ils ont obtenu des Etats police ou corporatistes (comme aux USA) souvent plus préoccupés des plus grandes richesses que l'intégralité d'un peuple ne peut de toute façon pas se répartir, et de leur influence à travers les continents: État régalien, État règle rien.
Et à chaque fois, ils ont justifié leur position en  arguant que l'Etat était essentiellement un instrument de répression contre leurs compagnons prolétaires, ou contre leur business.
Il est à noter d'ailleurs, que les plus grands défenseurs du marxisme ou de l'économie de marché ont tout deux eu pour point de vue "pragmatique" que les relations entre les hommes étaient de l'ordre de la lutte (lutte des classes ou compétition, renversement de hiérarchie ou chasse au succès dans des statuts inaccessibles au plus grand nombre); dans les deux cas, paradoxalement, les rapports de domination sont préservés (Marx n'a pas été assez pragmatiste, et VonMises pas assez ... libéral). Il y a pour eux les valeurs d'égalité et de liberté mais elles s'obtiennent toujours contre un "autre". C'est un cercle vicieux qui finit d'ailleurs par déteindre tout autant sur les institutions politiques lorsqu'elles s'emploient à l'appliquer. Dans les exemples les plus concrets, Marx a justifié la dictature du prolétariat, notamment après les événements tragiques de la Commune de Paris (en 1871), et Hayek des dictatures tout aussi transitoires en faveur du marché, citant même le Chili des années 70.
La véritable question qu'il me semble nécessaire de se poser, ne serait donc pas, est-ce que l’État et le marché sont compatibles, mais quel État et quel marché voulons nous?
Et de là, seulement de là, émettre éventuellement des lignes d'évolution pour cette société:
Un Etat qui ne soit ni un Etat police préservant l'ordre d'une société de semi-sociopathes.
Un marché qui ne soit pas non plus un paradigme virtuellement rationnel, mais qui reconnaît et augmente le potentiel d'action des "individus"*.

*Je m'adapte au langage, parce que sinon on ne va pas s'en sortir (pour me comprendre). Sinon j'aurais parlé de "personnes", de "monades", mais pas "d'individu"s, parce que c'est une entité qui en tant qu'unité substantielle ne peut correspondre qu'au concept de Substance universelle, c'est à dire celui qui ne peut pas être défini par un autre concept que lui-même; hors nous nous définissons par tout un tas de relations perçues et réinterprétées (la respiration, la nutrition, la communication, l'échange, etc); ce qui rejoint notre réflexion sur la liberté définie en tant que puissance et aussi liée à du pouvoir sur des terrains que nous partageons avec les autres "personnes". Il y a un aspect particulier et un aspect universel dans la "personne", tous deux immanents en cet Individunivers. La domination (qui s'oppose à la liberté) et que le pouvoir peut amener est universelle, elle se traite et se règle dans le paradigme universel; et l'identité se construit et s'émancipe jusque dans le particulier où l'interprétation, les croyances, les ressentis et les pensées les plus retravaillées de la personne sont primordiales sans n'être plus dégradée par la domination qui se déroule dans l'universel où elle baigne tout autant.


Sans chercher un idéal ou une perfection utopique qui ne sera jamais aussi pertinente qu'elle ne l'est dans la littérature, le point de vue pragmatique que j'ai voulu mettre en valeur tout en tenant compte du décalage vers la droite économique dans le paysage politique contemporain consisterait donc, soit en un FrontPopulaire élargi sur la droite, soit en une gauche américaine élargie sur la gauche, qui, encouragée dans ce sens, ferait également la part belle aux innovations économiques, sociales, et technologiques locales comme il en pleut ici et là mais nous ne parvenons pas à surmonter notre complaisance à l'égard d'un paradigme économique théorique qui est bien loin de rendre compte de toutes les lois de la Nature.
Augmentons le potentiel, la puissance d'agir des individus de façon réaliste, tout en donnant un sens à l'harmonisation des relations humaines que l'on prétend obtenir sous l'aspect actuel du marché, à l'aide d'une séparation ou en tout cas complémentarité des pouvoirs jusque dans la sphère économique, et non pas en se contentant d'orienter les regards sur des gouvernements conçus en termes d'institutions politiques et démocratiques à bout de souffle ou trop "correctes" (ce dernier point de vue me semblant surtout correspondre à une image que l'on se fait d'une culture, exclusive centraliste et parisienne "bourgeoise", y compris médiatique).




J'aurais encore plein de choses à aborder qui sont toutefois assez subtiles, sur la façon de percevoir des "normes", des "conventions", sur comment nous situons un opinion selon ou sans contexte avec ce que ça implique pour quelqu'un qui l'analyse dans notre époque et quelqu'un qui l'analyserait dans le futur, le fait que l'anticonformisme en soi et aussi producteur de structures et parfois de conventions dans une autre époque, ce que ça change pour notre regard et nos habitudes de comportement, etc, mais ça serait peut-être pour un autre topic.
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Message(#) Sujet: Re: PROFIL MBTI & TENDANCES POLITIQUES : POLITEST POUR TOUS PROFIL MBTI & TENDANCES POLITIQUES : POLITEST POUR TOUS - Page 17 Icon_minitimeMar 29 Sep 2015, 21:34

Vous vous situez tantôt à droite, tantôt à gauche selon les thèmes abordés.

Désolé, le test ne parvient à trouver aucun parti qui corresponde à vos opinions.

L'économique et le social
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Les manières de vivre
PROFIL MBTI & TENDANCES POLITIQUES : POLITEST POUR TOUS - Page 17 23

L'identité et la responsabilité
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Message(#) Sujet: Re: PROFIL MBTI & TENDANCES POLITIQUES : POLITEST POUR TOUS PROFIL MBTI & TENDANCES POLITIQUES : POLITEST POUR TOUS - Page 17 Icon_minitimeDim 10 Jan 2016, 23:42

.


Dernière édition par Aeldan le Ven 10 Fév 2023, 16:11, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: PROFIL MBTI & TENDANCES POLITIQUES : POLITEST POUR TOUS PROFIL MBTI & TENDANCES POLITIQUES : POLITEST POUR TOUS - Page 17 Icon_minitimeMar 19 Jan 2016, 13:06

En refaisant le test j'obtiens ceci :

Vous vous situez à droite.

Aucun parti ne correspond exactement à vos opinions.
Cependant, le parti dont vous êtes le plus proche :

Les Républicains (tendance libérale)
mais vous êtes plus ouvert sur les questions liées à l'évolution des moeurs.


L'économique et le social
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Les manières de vivre
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L'identité et la responsabilité
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The Dovah Ken
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Message(#) Sujet: Re: PROFIL MBTI & TENDANCES POLITIQUES : POLITEST POUR TOUS PROFIL MBTI & TENDANCES POLITIQUES : POLITEST POUR TOUS - Page 17 Icon_minitimeMar 25 Avr 2017, 23:38

PROFIL MBTI & TENDANCES POLITIQUES : POLITEST POUR TOUS - Page 17 Captur11

Assez ENTJ d'après moi.
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Message(#) Sujet: Re: PROFIL MBTI & TENDANCES POLITIQUES : POLITEST POUR TOUS PROFIL MBTI & TENDANCES POLITIQUES : POLITEST POUR TOUS - Page 17 Icon_minitime

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