Mais le terme de "Paradis" en soi ne peut pas être associé à quelque chose de terrestre. C'est pourquoi, instinctivement, j'ai commencé mon post en partageant un élément fréquent de mon imagination comme de mes rêves inconscients : "voler" !
Bon je me suis rattrapé en développant, mais aucunement je ne pourrais imaginer, aspirer à voir, ces éléments dans notre monde matériel et tangible. Je le précise même.

Pour ce qui est des aspects sociaux et visiblement plus concrets soulevés par plusieurs membres dans leurs posts, c'est déjà plus terre à terre; ce n'est pas du paradis, mais plutôt la définition d'un monde idéal, voir utopie concrète. On considère ce monde idéal comme projection d'une conception personnelle du bien dans des éléments concrets du quotidien. Le "mal" serait éventuellement le résultat circonstanciel d'une négligence vis à vis de l'aptitude de tout un chacun à suivre un tel idéal faisant avant tout appel à des aspects trop particuliers de la psychologie humaine (comme l'empathie ou bien encore l'improvisation). Par exemple, certaines personnes ont besoin de règles et de cadres clairs pour se réaliser, pour se sentir stimulés et s'épanouir. C'est toute une diversité psychologique qui doit se refléter dans les fonctionnements structurels d'une société dont le rôle serait de produire des espaces pour la puissance d'agir et de penser des personnes, permettant ainsi à la multitude de se chercher elle-même, sans être mise au ban par l'application de conceptions trop particulières que des groupes de personnes et d'intérêts objectiveraient/projetteraient dans ces structures et ces lois.


Du coup, outre cette tolérance sociétale et sociale, il y aurait en somme une tolérance psychologique, où se meuvent les qualités et les défauts des gens; et évidement, ces qualités et défauts seraient moins amenés à être déformés dans des relations de domination puisque les structures laisseraient les espaces nécessaires à la canalisation de toute cette énergie positive et négative, encourageant les qualités, transformant en circonstances constructives les énergies amenées par les défauts.

Quant à l'allégorie du Mal, comme celle ici bien pratique du diable chassé du Paradis, c'est ni plus ni moins l'histoire de l'échec du Bien à demeurer. Le diable est un ange corrompu par une mauvaise connaissance, pas une personne de mauvaise essence.
Par extension, traiter comme autant d'essences abstraites les gens, sans l'entièreté de la substance (donc aussi substance matérielle, extérieure et intérieure), nous amène plus facilement à nous risquer dans la projection et l'imposition à tous d'une connaissance trop partielle, trop particulière; et ainsi nous obtenons le mal, sous quelque forme que ce soit qui réduit la puissance d'agir et de penser d'un être.


what the, Kiwi ton paradis c'est Second Life ?? ^^

Luna, je verrai plus le développement de ton Ni dans ces petites nuances que tu rends "essentielles" et que tu soulèves.


EDIT: j'ai oublié de préciser mais on pouvait le déduire, que dans cette conception de toutes les hypothèses sociales que l'on peut émettre hors du cadre de l'utopisme et d'une supposée perfection à atteindre et imposer à tous indépendamment de ce que les gens ont en eux, cela me fait m'éloigner tout autant des délires ultra-individualistes (où la conception de l'individu est très "particulière", abstraite (ces pseudo-anti-conformistes peuvent même être de très bon défenseurs de normes, involontairement ou non), et où la société est considérée comme une sorte d'option que cet individu précède) ainsi que des versions uniformisantes (celles sans notion d' "individualité") de certaines sociétés collectives. Pour autant, dans cette conception des choses, des gens pourraient très bien concevoir l'individu ou la société comme quelque chose d'essentiel, comme décrit ci-dessus, mais reconnaître les capacités et besoins des autres et leurs représentations, ainsi que ce qu'elles apportent au monde, et en déduire donc la multitude de ce qui convient d'être défendu pour que tout ce monde puisse continuer à vive sans être aspiré absolument dans une de ces conceptions; j'ai beaucoup de respect pour les gens de cette sorte qui peuvent même être très retranchés au quotidien mais qui sont disposés à venir occasionnellement au milieu des foules pour faire nombre dans la défense d'une infrastructure (un hôpital, une école, ... ), d'un dispositif utile ou d'un secteur d'activité. C'est la distance qu'ils ont sur leur représentation des choses, l'altérité dont ils sont capables, qui va produire une société viable, selon moi.

Greenbat85 a écrit:

Luna, je verrai plus le développement de ton Ni dans ces petites nuances que tu rends "essentielles" et que tu soulèves.

Je ne sais pas, je me suis projeté pour savoir quel sorte de "paradis terrestre" me plairait.

Ce que je fais toujours, lorsqu'il faut que je fasse un choix ou que je m'imagine comment j'aimerais qu'une chose soit.

Je sais que l'on associe la projection au N, mais je ne sais pas si s'en est vraiment , on peut aussi se pojeter sans forcément faire appel à l'intuition selon moi. je perçois mieux le Te par contre, réaliste.

En fait l'idée était surtout de parler de manière décontractée et subjective d'un cadre où vous vous sentiriez bien, à l'aise, sans pression ni stress. Au naturel, sans enjeux et avec la possibilité d'évoluer comme bon vous semble. Le cadre pour vivre la vie idéale, "parfaite", "paradisiaque".

M'est avis que le conflit, les jeux d'égos et la vantardise devrait rentrer dans votre paradis.

Au delà de cette punchline à deux ronds, (oui, je m'auto-casse et celui qui rebondira sur mon agressivité sera un con et traité comme tel <3) pour ceux qui ont joué le jeu (merci d'ailleurs) l'influence de la tierce est aussi observable chez certains, un peu plus discrète chez d'autres voir écrasant l’inférieur pour d'autre. Il est possible que l'âge et la période vécue joue beaucoup dans les réponses. Je pense qu'en soit, on aura tendance à se projeter selon les grands enjeux de notre vie au moment où on effectue la projection. Ce qui fera varier pas mal les réponses d'un âge à un autre, d'un moment de vie à un autre.

Par exemple :
D'imaginer sa vie avec certaines personnes dans notre paradis et puis, plus tard avec du recul, se dire qu'il serait mieux de ne pas les inclure fixement dedans, afin de ne pas les enfermer dans notre dépendance d'eux.
Plus concrètement, on peut notamment voir l'illustration de cette évolution dans la relation parents-enfants.

Mon paradis serait de vivre des épopées telle que celle de Harry Potter, Zelda, One Piece, Pokémon...
Avec une seule chose en plus... La promesse de toujours revenir dans le monde réel en vie à tous moment.

Comment ça je parle comme un gamin de 9 ans ?

Stuffedbeer a écrit:

En fait l'idée était surtout de parler de manière décontractée et subjective d'un cadre où vous vous sentiriez bien, à l'aise, sans pression ni stress. Au naturel, sans enjeux et avec la possibilité d'évoluer comme bon vous semble. Le cadre pour vivre la vie idéale, "parfaite", "paradisiaque".

Eh bien justement, mon paradis serait de vivre sans pression ni stress. Avec la liberté de vivre en accord avec ma personnalité, sans contrainte extérieure (personnalité qu'ainsi je découvrirai d'ailleurs). Ça se résumerait ainsi.
Je ne sais pas à quoi ressemblerait ce cadre à vrai dire, et comme Titi je n'ai jamais vraiment pensé à un monde à moi ou tout serait magnifique et merveilleux selon mes critères. D'autant plus que je trouve que finalement, les paradis dépeints par les membres se ressemblent : un environnement serein, la paix, la sécurité, un épanouissement personnel tellement abouti qu'il nous ferait atteindre le nirvana... C'est je pense ce que tout être humain recherche finalement, ce pour quoi il se lève et vaque à ses occupations. Mais le monde n'est pas parfait.

En y réfléchissant, une composante de mon paradis serait certainement que l'Humanité parvienne à trouver un consensus sur les grandes questions, que l'incertitude ne demeure plus

Citation :

Je ne sais pas à quoi ressemblerait ce cadre à vrai dire, et comme Titi je n'ai jamais vraiment pensé à un monde à moi ou tout serait magnifique et merveilleux selon mes critères. D'autant plus que je trouve que finalement, les paradis dépeints par les membres se ressemblent : un environnement serein, la paix, la sécurité, un épanouissement personnel tellement abouti qu'il nous ferait atteindre le nirvana...

Ça va un brin plus loin que ça. Il s'agit d'exploration de la psyché par la visualisation, mettre en image des choses qui composent cette psyché. Il peut y avoir peu de représentation par image (comme le post de Sylph), ou énormément (comme le poste de Moeghan), mais ça renseignera sur les même points : Quels points de tension/ enjeux/ problématique qu'il y a dans ta vie tu cherches à résoudre ? Et comment ? Et pourquoi ?

Le mot et sa définition sont des choses strictes et importantes, que l'on se doit de prendre en considération. Mais nier la vibration subjective qu'il provoque en soi c'est se privé d'une partie de son sens qui, de toutes façons, nous influencera quoiqu'il arrive, consciemment ou non.
On a tous une vision de la "perfection", du "paradis" et on tend tous vers celle-ci. Chacun de nos actes tend vers le fait d'atteindre et vivre la perfection. Il est évident qu'on ne parle pas de ce qui est parfait dans l'absolu, du paradis absolu ou de ce genre d'Utopie. On parle de votre jardin de rêve, de vos aspirations, si petites et insignifiantes puissent-elles vous sembler.

Citation :

what the, Kiwi ton paradis c'est Second Life ?? ^^

même pas, juste la puissance de mon Ne-Si

.

Le beurre et l'argent (Edit) du beurre.

Je dois avouer que comme d'autres ici, je suis réticente à toute notion de "paradis".

Il y a quelque chose de totalitaire dans toutes ces utopies, et elles me paraissent peu crédibles car elles impliquent toutes des humains plus ou moins parfaits. C'est d'ailleurs pour ça qu'on ne vit pas dans l'une d'entre elles à l'heure actuelle, et c'est aussi pour ça que la notion de "paradis" ou de "nirvana" en religion implique un certain élitisme (tous n'y ont pas accès).

Or pour moi une telle société ne serait pas "parfaite", elle serait juste chiante. Ne remettez pas mon imagination en question : des mondes, j'en ai inventé, mais aucun d'eux n'était parfait.
Je rejoins largement Luna sur ce point. Quand j'aime quelque chose ou quelqu'un, c'est aussi pour ses imperfections.

(d'ailleurs, je vois beaucoup de N se gausser des soit-disant S qui ne mènent pas la réflexion conformément à ce qui est demandé... or c'est supposé être peu N, de rester sagement dans le cadre proposé sans rien remettre en perspective)

Je peux vaguement décrire à quoi ressemblerait une vie idéale selon moi, encore qu'imaginer trop de détails serait absurde car je demande à être surprise.

Une vie idéale serait probablement pour moi menée à l'écart de toute société (ou celle-ci ne pourrait être là qu'accessoirement, sans que j'y sois mêlée de façon profonde). Elle serait faite d'errances et de vagabondage, parfois seule, mais dans l'idéal j'aurais un compagnon (qui peut changer avec le temps), puis quand même quelques personnes marquantes et récurrentes. J'aurais probablement plusieurs maisons (quand un endroit me plaît, j'aime à m'imaginer y avoir un habitat), beaucoup, peut être, à travers le monde. On peut imaginer qu'il y aurait beaucoup à découvrir en ce monde, des choses qui ne seraient pas d'ici, comme dans un univers de fantasy.

Et j'aimerais une vie remplie ! Une qui ait du sens. Où les nécessités matérielles ne m'accapareraient pas autant (pourquoi pas imaginer de la magie pour ça) et ne me contraindraient pas à m'enfermer dans une routine frustrante.
J'aimerais beaucoup de liberté. Probablement y apporter une pierre aussi tant qu'à faire. J'ai peu évoqué mon rapport à l'esthétique et à l'art qui tiendrait là une place prépondérante. Ne pas être née en vain.

Donnons à Kys le beurre et le cul de la crémière.

Wesh Luno:

Je comprends pas trop les critiques. On parle de paradis, donc le fantasme d'une vie idéale. Dans mon post je parlais d'immortalité et d'empathie "surnaturelle", pour réconforter un peu Luna ça serait pas justement un monde de bisounours. Imaginez un monde où vous vivez pour toujours mais où le bonheur n'est jamais garanti, où l'individu immortel n'est pas invincible, la perte d'une seule personne serait immense. L'amour de votre vie par exemple, ou celui du type que vous croisez dans la rue, et dont vous ressentez les émotions par le regard... D'ailleurs c'est un monde tout à fait possible, il suffit d'inventer une technologie qui empêche la destruction des télomères lors de la duplication des chromosomes.

Sinon quelque chose de plus concret et réalisable ça serait plutôt de tomber très profondément amoureux, avec toutes les conséquences que ça entraîne.

Cela n'a pas sens, même lorsque l'on parle de paradis.
Les relations se basent sur l'échange, tout se base sur l'échange.
Vouloir se servir, prendre, c'est juste de l'ignorance.
Le problème des rêves/fantasmes c'est que l'on pense
«  je veux ceci » « je veux cela » et non « je veux ceci, que dois-je donner pour cela »

Le "monde idéal", ce serait de longues étendues, des lumières froides et une température maximale de vingt degrés. Très peu de gens. Quelques amis qui passent de temps en temps à proximité - pas trop souvent. Très peu de désirs, un mode de vie le plus minimaliste possible. Pas nécessairement beaucoup de temps "libre", travailler à quelque chose ne me dérange pas. Possibilités d'explorer des forêts ou des villes fantômes, des anciens bâtiments délaissés par une civilisation morte, recueillir des données sur leur mode de vie, synthétiser le tout pour raconter leur histoire aux autres. La technologie ne saurait être utilisée majoritairement à des fins divertissantes. Plus besoin de se nourrir. Aucune envie de séduire chez les individus. Une entraide cordiale pour la survie du groupe par la mise en commun des différentes compétences propres à chacun, quelques sympathies ; rien de plus. Une ère post-humaine où les survivants tentent de rebâtir quelque chose, à très petite échelle. Plus jamais les sept milliards. La qualité primerait invariablement sur la quantité, en toute chose.

intéressant, j'aurais jamais cru que ce serait les Fi-dom les plus réticents à l'idée de paradis, bien au contraire ou alors c'est dû au Te-inf

en fait ça rejoint le but de l'auteur : donner la parole à nos fonctions d'ombre

J'aimerais bien un monde parfait. Sans imperfection. Que la gentillesse y règne aussi.

Je vois toujours les défauts chez les filles. Même un "canon" a des défauts. Et ça me répugne. Que ça soit du niveau physique ou mental. (Pour les mecs, c'est pareil aussi... On peut généraliser pour tout le monde.)

Voilà. Je dis ça parfaitement de façon sérieuse. Aucun but de trollage. Je pense ce que je dis.

Bon, je ne m'attendais pas vraiment à toute cette histoire autour de la possibilité ou non de faire du monde un paradis. Et même si c'est un sujet intéressant, ce n'est pas celui que j'ai voulu vous soumettre. Manifestement, le terme Paradis vous a induit en erreur. Je n'entendais pas par là un lieu externe à vous à projeter sur le monde entier. J'ai employé le terme Paradis en espérant que vous vous figuriez le summum du bonheur à partir de ce que vous connaissez, ce que vous côtoyez ou souhaiteriez côtoyer.

Je vais m'expliquer davantage, même si Stuff l'a très bien fait à ma place. Je vous parle de pure subjectivité, de votre idéal, avec ce qu'il implique comme fantasmes. Qu'ils soient réalistes, réalisables, on s'en contre-fiche un peu, parce que c'est justement cette fantaisie qui est intéressante. C'est elle en l’occurrence qui permet de mettre en évidence des mécanismes de pensée, des fonctions. Le focus est à faire sur l'individu en tant qu'humain, en tant qu'être avec ses paradoxes, ses absurdités, ses logiques.
J'ai parlé de critères terrestres pour éviter de déborder sur des sujets type "lieu de séjour après la mort".

Dernier point : Il ne s'agit pas de juger le rêve/le fantasme, mais d'étudier ce qu'il révèle chez un individu.

Ce dont je parle, ce sont des posts comme celui de Gui ou Pi. Et pliz mdr lol tmtc, si débat il doit y avoir, ça serait sympa pour une fois d'instaurer autre chose qu'une guerre de gros charismes. Pensez échanges, pensez libertinage, pensez...oh wait.

En espérant être plus claire !

D'accord, fantasmons.

Mon idéal, une société composée de personnes aspirant à évoluer, progresser, ou le but de chacun serait de devenir « ultime », « grand », "suprême ».
Il y aurait un engouement social à cela, une rivalité constructive, ça serais une « bataille » pour la vie.

Au lieu de souligner les faiblesses comparatives entre individus, l'on s'encouragerait ( par de la rivalité) à exploiter nos capacités à leur maximum, à faire avec ce que l'on a plutôt que d'imaginer ce que l'on pourrait faire avec ce que l'on ne possède pas, une société dans laquelle chaque individu serait poussé à se connaître réellement, qui connaîtrait ses forces et faiblesses tout en composant avec, cela, sous un régime démo…monarchique...

Le régime me reste flou cependant

ah, bon ben j'étais dans le juste alors, cool

Le juste au-dessus de 18 ans oui

En mode fantasme:

J'aimerai une vie paisible parce que jusqu'à maintenant ça n'a pas était le cas même si depuis 1 an ça s'améliore alors ça me ferait beaucoup de bien un monde digne d'un Disney avec des gens empathiques! Genre un monde enfantin comme Kingdom Hearts, sans gros enjeux, empreint d'un peu de mélancolie (parce que sinon je m'ennuierai, ça me ressemblerait pas) sauf que tout le monde serait adultes.

Exemple:

Spoiler:

Je trouverais pas ça ennuyeux, perso mais reposant. C'est comme si t'avais passé ta vie à vivre dans le stress, bah là, enfin, tu te repose.

En mode "réaliste":
Je me contenterai de l'immortalité pour tout le monde.

Dans mon Paradis, il y aurait beaucoup de régions différentes, je serais dans celle où les maisons sont faites en barbapapa, bonbons et biscuit, où la rivière est du chocolat et ect. Il n'y aurait pas beaucoup de monde et les immeubles dégueux n'existeraient pas. Mais pour ne pas que je risque au bout d'un moment de m'en lasser, il y aurait tout un tas d'autres régions avec ses spécificités.
Une sera le portrait de notre monde d'aujourd'hui (je suis nostalgique )

Dans ma région, la magie existerait et on pourrait croiser sur son chemin des Dieux et des Deesses, des nymphes et tout un tas de créature de la mythologie.
Chose importante aussi, il n'y aurait que des personnes que j'aime.
Il y aura par contre dans mon Paradis, une région infestée de zombies, et ce sera une menace dont on devra se protéger et combattre.
Ce serait un moyen de mieux apprécier nos habitats et de resserer les liens entre les personnes de la communauté.

La vie ne serait pas éternelle, mais chaque mort se ré-incarnerait en humain ou en animal. Il n'aurait plus de souvenir de sa vie antérieur, mais si son entourage arrive à l'identifier, on pourrait lui transmettre des biens lui ayant appartenu et des informations sur sa(ses) vie(s) passée(s).
On'aurait parfois des réminescences de nos vies antérieures.
Et on'aurait tous une chronologie de nos vies inscrit sur un fichier, avec toutes celles que l'on a vécu, elle fera partie de notre fiche d'identité. Si on vie bien notre vie, ça permettra d'évoluer dans la prochaine ou à l'inverse de régresser.
Lorsque la mort approchera, on'aura plus peur, on sera content d'avoir vécu notre vie et on sera excitée par la perspective d'une nouvelle ré-incarnation.

C'est le genre de monde dans lequel j'aimerais vivre, un peu comme dans le Seigneur des anneaux
Avec cependant beaucoup moins de monstres.

Mon paradis,

Pas de faim.
Nous pourrions boire une eau qui est à l'image de nos gouts du moment.
Nous aurions accès à une biblitothèque de sensation terrestre, celle ci serait basée sur toutes nos vies dans le plan matériel.
Nous pourrions échanger cette bibliothèque avec autrui.
Si une ou plusieurs des sensations nous interessent nous pouvons choisir de la vivre dans le plan matériel.
En s'incarnant nous oublions cette vie idyllique.
A notre mort, nous nous retrouvons avec la bibliothèque enrichie des nouvelles sensations.
Nous pourrions utiliser cette bibliothèque pour matérialiser, l'evenement ou le paysage qui induit la sensation, à la façon d'un reve réaliste.
Si plusieurs entités imaginent le meme lieu, ils se retrouvent ensemble, et peuvent alors échanger leur bibliothèque partiellement ou en totalité.
Si nous ne abreuvons pas à la source, nous perdrions notre envie d'etre. Si en plus nous ne revons pas, l'esprit se dissout par manque de sensation.