en gros, ça devient un peu le contraire. je crois. proche du shadow. ou il devient carrément le shadow.

par exemple : un esfp enthousiaste peut se montrer pessimiste. donc un mauvais intj.


ou un Ne peut se monter Ni. si il est pas aider par l'extérieur.

Exact, mais il faut que le stress soit chronique. Sur une courte durée, la personne ne fonctionne que sur sa fonction dominante.

C'est assez perturbant d'ailleurs...

sur une courte durée, ça peut être un moteur.

Je ne crois pas que tous les types expriment les mêmes tensions : le "T" sera sensiblement rationnel et donc insensible au stress irrationnel, caractéristique des sentimentaux.

The-Architect a écrit:

Je ne crois pas que tous les types expriment les mêmes tensions : le "T" sera sensiblement rationnel et donc insensible au stress irrationnel, caractéristique des sentimentaux.

Euh, les T ont des sentiments hein

C'est justement ça la nuance. Par exemple un stress émotionnel pour un INTP (désolé, mais c'est la seule personnalité que je connais bien) , s'il est ponctuel, il va répondre de manière rationnelle (donc avec son Ti) et plus ça dure, plus son Fe va essayer de sortir, jusqu'à que son Ti n'arrive plus à contenir son T, et hop là boom badaboom. Pleure, larme, cri.

A l'inverse, sur un stimuli rationnel (genre exam) un S, sera d'abord émotif, et après utilisera autre chose.

Je suis souvent sous stress, et je n'ai pourtant pas l'impression d'avoir recours à mon shadow ENTJ 0_o, c'est fou ça, j'ai l'impression de ne jamais fonctionner comme les autres...

Luna2 a écrit:

Je suis souvent sous stress, et je n'ai pourtant pas l'impression d'avoir recours à mon shadow ENTJ 0_o, c'est fou ça, j'ai l'impression de ne jamais fonctionner comme les autres...

En gros, il existe deux dynamiques typiques en situation de stress :

Ou bien les propriétés de la fonction dominante sont exacerbées, ce qui renforce la répression de l'inférieure dans l'inconscient. (par exemple un IFP exagérément anxieux, qui lors d'un examen oral fait l'expérience d'un blocage intellectuel. Tout d'un coup, il se sent la tête vide, n'arrive plus à raisonner logiquement, ne comprends pas les questions de l'examinateur, voudrait répondre quelque chose mais ne parvient plus à parler, ect...)

Ou bien, par un renversement de vapeur, les propriétés habituelles de la dominante sont sacrifiées au profit d'une libre expression de la personnalité d'ombre (par exemple un IFP orgueilleux qui, tout d'un coup, semblant piqué par une mouche, se montre agressif, dominateur et cassant, s'entête à avoir raison, cherche à se justifier en avançant un argumentaire qu'il voudrait implacablement logique, allant parfois jusqu'à tout intellectualiser à outrance, ect...)

Dans les deux cas, et de façon générale, la fonction inférieure est le domaine d'un certain complexe d'infériorité.
Dans le premier, il est subit passivement (manque), dans le second, il est sur-compensé activement (excès).

Exil a écrit:

En gros, il existe deux dynamiques typiques en situation de stress :

Ou bien les propriétés de la fonction dominante sont exacerbées, ce qui renforce la répression de l'inférieure. (par exemple un IFP exagérément anxieux, qui lors d'un examen oral fait l'expérience d'un blocage intellectuel. Tout d'un coup, il se sent la tête vide, n'arrive plus à raisonner logiquement, ne comprends pas les questions de l'examinateur, voudrait répondre quelque chose mais n'arrive plus à parler, ect...)

Ou bien, par un renversement de vapeur, les propriétés habituelles de la dominante sont sacrifiées au profit d'une libre expression de la personnalité d'ombre (par exemple un IFP orgueilleux qui, tout d'un coup, semblant piqué par une mouche, se montre agressif et cassant, s'entête à avoir raison, cherche à se justifier en mettant en avant un argumentaire qu'il voudrait implacablement logique, allant parfois jusqu'à intellectualiser à outrance, ect...)

Dans les deux cas, la fonction inférieure est le domaine d'un certain complexe d'infériorité.
Dans le premier, il est subit passivement (manque), dans le second, il est sur-compensé activement (excès).

Ah je suis dans le premier cas alors, mais j'espère avec le temps réussir à devenir plus active, mon ombre ENTJ est trop refoulé...

Si j'ai bien compris, les fonctions d'ombre (type ENFJ dégénéré dans mon cas) s'activent sous stress après la phase de renforcement du fonctionnement naturel. Qu'en est il de l'anima (pour les hommes) ou de l'animus (pour les femmes) qui correspond au renversement de l'ordre des fonctions ? Dans quelles conditions s'active t'il ?

J'y connais rien mais... il semblerait que cela soit pendant les rêves, non ?

Oui, effectivement, mais je me demandais si d'autres situations peuvent le faire émerger.