Depuis que je m'intéresse au MBTI, je sais que la fonction dominante est "alimentée" par la secondaire. Chez l'INFP, la fonction Ne amplifie les intuitions qui passent le crible des valeurs du Fi tandis que chez l'ENFP, la fonction Ne est amplifiée par le Fi qui donne du "relief" aux intuitions.

Y a t'il des mécanismes qui lient la secondaire à la tertiaire ? Si oui, lesquels ?

Aïkido a écrit:

Depuis que je m'intéresse au MBTI, je sais que la fonction dominante est "alimentée" par la secondaire. Chez l'INFP, la fonction Ne amplifie les intuitions qui passent le crible des valeurs du Fi tandis que chez l'ENFP, la fonction Ne est amplifiée par le Fi qui donne du "relief" aux intuitions.

Y a t'il des mécanismes qui lient la secondaire à la tertiaire ? Si oui, lesquels ?

En fait, je vais te donner un lien d'exil sa devrait répondre à tes questions


https://mbti.forumactif.fr/t345-peut-on-ameliorer-une-fonction


essaye de faire quelque recherche sur les posts de exil d'ailleurs ont devrait crée sur ce forum une rubrique que l'on appellerait les posts de exil et ou regrouperait tout sa je pense que sa peut être intéressant.

Ok, merci. C'est très intéressant.

L'auxiliaire et la tertiaire sont parfois autant l'une que l'autre des « fonctions de soutien ». Il y a beaucoup d'introvertis qui négligent leur fonction introvertie et exploitent précocement ou avec excès leur tertiaire (à défaut parfois d'agir dans le monde ou d'être connecté à d'autres personnes).

De la même façon, des extravertis très liés ou engagés, aux emplois du temps bien remplis, au mode de vie actif et épanouissant, peuvent négliger leur fonction introvertie. Ils seront éventuellement plus ''immatures'' ou plus ''étouffants'', mais ce sera mieux validé socialement.

Je pense que la secondaire et la tertiaire peuvent ''presque'' être sur un pied d'égalité pour beaucoup de personnes, à un certain âge ou selon certaines conditions. La fonction moins différenciée (E-x-E ou I-x-I) peut venir donner un appui et on s'en accommode. On peut aussi, comme c'est l'auxiliaire, avoir plus de recul sur elle et ses bénéfices ; un EFP est sans doute plus apte à départager Fi-Te et à l'exploiter harmonieusement et intelligemment qu'un IFP et un ETJ, et à jongler entre ces deux manières d'envisager les choses. Alors qu'avec leur Se ou Ne, ils sont incapables de se dépêtrer de sales manies, de réflexes limitant.

En fait, les deux fonctions de soutien sont capitales parce c'est elles qui permettent de cerner tous les « dysfonctionnements » essentiels. On se rend compte que quelqu'un d'impossible à calculer est en fait un INFP très classique par exemple, mais réprimé : Fi-Si, mais avec un Ne à la fois manifeste et compressé.