Citation :

L'"étiquette" précède-t-elle le comportement ?
(En en discutant avec ma famille, ça a débouché sur une explication de "l'existence précède l'essence".)

Alias Sartre et son existentialisme... Un très bon livre d'ailleurs : "L'existentialisme est un humaniste" de Sartre lui-même...

Je ne pense pas qu'appartenir à un "type" que ce soit en MBTI comme en ennéagramme, fait de nous des êtres influencés par ces étiquettes qui nous poussent à agir et à nous comporter comme ils le sont définis.

D'ailleurs, on ne peut certes être qu'un seul type, mais on ne peut pas être un type-même à 100%. Ce n'est pas parce qu'on a une dominante Ne dans son fonctionnement cognitif que l'on utilise jamais Ni, la dominante Ne étant comme elle se définie, une dominante.

Je pense qu'il faut avoir une vision plus globale. Le MBTI et l'ennéagramme sont des outils qui permettent de mieux se connaître et quelque part de se rassurer aussi du pourquoi nous agissons ainsi.

Avant de connaître le MBTI, je me trouvais bizarre, cette sensation d'être partout et nul part à la fois, d'avoir pleins de projets tous aussi utopiques les uns que les autres, commencer les choses et jamais les terminer, être lunatique et trop sensible, tout cela me rendait malade psychologiquement, je ne comprenais pas pourquoi j'étais ainsi et pourquoi j'agissais ainsi, jusqu'à ce que je découvre le MBTI et les fonctions cognitives qui m'ont, quelque part, rassurer sur mon mode de fonctionnement (sans pour autant en être fier et heureux d'être ainsi...).

Ayant une fonction auxiliaire Ne, j'ai toujours eu tendance à m'éparpiller dans mes loisirs et mes goûts. Le MBTI m'a aussi permis de re-centraliser se qui résonnait le plus en moi en matière de goûts personnels, par exemple, et ce en ayant découvert des auteurs, des artistes et mouvements artistiques qui portent également ce type où je me sens vraiment en osmose avec eux.