Bonjour,
Lors de soirée, un peu alcoolisée, je suis soit un moulin à parole soit complètement fermé. En général, si je me sens bien, en confiance avec les gens, je parle. Dans des soirée avec beaucoup de personne différentes de moi, je suis fermé...
Et vous ?
Thom

Exactement pareil ! L'alcool ça aide quand même, par contre je régule beaucoup ce que je bois, histoire d'avoir un "taux suffisant", juste assez pour être bien quoi, un peu désinhibé mais sans gerber partout. Sinon oui je suis assez fermé si les gens parlent que entre eux ou si je sens que je peux pas aller vers eux, je repère toujours les gens vers qui je peux aller et je les colle un peu après ^^. Sinon oui je peux être complètement un moulin à parole !

Et de la beuh aussi.

Mais chut.

Autant je peux être très sociable et expansif en privé, en soirée je suis souvent très mal à l'aise, même avec des gens que j'apprécie et dans un cadre peut-être trop artificiel ? C'est quand il faut adopter un "comportement de soirée" – même cordiale – que j'ai du mal à passer le cap... En général je reste du côté du bar ou des gens avec qui j'ai pu nouer contact – bien sûr, ça dépend pas mal de l'ambiance et de mon humeur... C'est dès que ça redevient plus intime que je récupère mon assurance.

Mais je ne suis pas INFP.

Ca dépend, si c'est des gens que je ne connais pas, je ne dirai pas un mot. Si c'est des gens que je connais un peu de vue, je parlerai très peu et si c'est des gens que je connais assez je parlerai déjà beaucoup plus .
Ca c'était sans alcool.

Avec... bah ya pas plus extraverti et heureux que moi je pense :P

Pareil que Desdinova, sauf pour l'alcool, qui a plutôt tendance à m'endormir.

Je serais plutôt comme zizania. Très peu à l'aise.. Des fois je bois un peu histoire de voir si j'arrive à me sortir de cette prison qui m'empêche de parler mais ça ne marche jamais très longtemps! Même avec des "amis", si des groupes se forment, j'ai du mal à me mettre en avant.
En gros, j'appréhende avant (il y aura qui, qu'est-ce que je vais faire, comment être), pendant (vite il faut que je trouve un sujet de conversation, aah mais pourquoi rien ne me vient, je sais pas quoi dire! je vais encore finir par ne faire que sourire et avoir l'air idiote..), et après (personne n'a vu que j'étais là, je ne suis qu'un fantôme, tout le monde s'en fout de moi, j'y arriverai jamais).

Vive les soirées

Si la musique est trop forte (ou pourrie au choix), si les gens parlent trop fort, trop dans tous les sens, ou si tout ça se combine (la torture quoi ^^) c'est impossible que je passe une bonne soirée.
En règle générale je ne suis pas non plus à l'aise. Souvent, au moment où je me sens mieux (si j'ai survécu pendant un bout de temps) c'est l'heure que tout le monde choisit pour partir
Pour que l'alcool me fasse raconter un peu "n'importe quoi", il faut que je me sente vraiment bien avec les gens et dans l'environnement. Si tel n'est pas le cas, ça ne peut qu'accélérer ma fuite.

Je suis très joyeux mais je ne me laisse pas complètement aller. Je garde un certain contrôle sur ce que je fais, très "cérébral".

Delilah a écrit:

Je serais plutôt comme zizania. Très peu à l'aise.. Des fois je bois un peu histoire de voir si j'arrive à me sortir de cette prison qui m'empêche de parler mais ça ne marche jamais très longtemps! Même avec des "amis", si des groupes se forment, j'ai du mal à me mettre en avant.
En gros, j'appréhende avant (il y aura qui, qu'est-ce que je vais faire, comment être), pendant (vite il faut que je trouve un sujet de conversation, aah mais pourquoi rien ne me vient, je sais pas quoi dire! je vais encore finir par ne faire que sourire et avoir l'air idiote..), et après (personne n'a vu que j'étais là, je ne suis qu'un fantôme, tout le monde s'en fout de moi, j'y arriverai jamais).

Vive les soirées

A peu près pareil sauf le passage "sourire et avoir l'air idiote" : moi je ne souris pas ^^.

J'ai besoin d'avoir au moins une ou deux personnes que je connais bien en général, sinon j'ai un peu de mal à parler aux gens.
Mais quand il y a une bonne ambiance, et que des personnes viennent vers moi par elles-même, j'ai pas trop de mal à faire la conversation (l'alcool aidant pour moi aussi, INxP, bandes d'ivrognes).

J'ai le souvenir d'une ou deux soirées bien longues dans lesquelles je ne connaissais personne, et j'avais du mal à aller vers les gens. Surtout quand il y a un kéké qui monopolise la conversation alors qu'au fond il est inintéressant ( ).

Mais en règle générale, j'apprécie bien les soirées, pour peu que j'ai au moins un ou deux proches (qui sont aussi souvent des piliers de bar) pour m'entourer donc.

OdonDeSaintAmand a écrit:

Delilah a écrit:

Je serais plutôt comme zizania. Très peu à l'aise.. Des fois je bois un peu histoire de voir si j'arrive à me sortir de cette prison qui m'empêche de parler mais ça ne marche jamais très longtemps! Même avec des "amis", si des groupes se forment, j'ai du mal à me mettre en avant.
En gros, j'appréhende avant (il y aura qui, qu'est-ce que je vais faire, comment être), pendant (vite il faut que je trouve un sujet de conversation, aah mais pourquoi rien ne me vient, je sais pas quoi dire! je vais encore finir par ne faire que sourire et avoir l'air idiote..), et après (personne n'a vu que j'étais là, je ne suis qu'un fantôme, tout le monde s'en fout de moi, j'y arriverai jamais).

Vive les soirées

A peu près pareil sauf le passage "sourire et avoir l'air idiote" : moi je ne souris pas ^^.

Pareil qu'Odon

Hé hé, je relis ce qu'on a écrit ici, ça va être sympa samedi

Aucun extraverti de prévu ?
(sauf Arkansas qui compte à moitié comme telle)

Personnellement, j'évite beaucoup l'alcool, je préfère rester conscient (ça fait partie de mes principes d'idéaliste on va dire!) mais il n'y a qu'en groupes restreints (une dizaine de personnes) que je me sens à l'aise. Sinon je suis de ceux qui, dès que l'occasion se présente, fument une clope dehors en discutant avec la musique en bruit sourd derrière (sauf que je ne fume pas xd)

Ca oui, j'imagine que la pose cigarette doit pas mal aider : tu te retrouves en plus petit groupe, c'est plus intimiste et tu peux davantage discuter avec une ou deux personnes. Ca rapproche, et c'est un bon point pour repartir dans le groupe ensuite.
Seulement je fume pas non plus

En fait ca dépend vraiment de mon état d'esprit. Je suis très bon pour feindre l'extraversion et l'assurance (alcool aidant...), mais ca me gruge énormément d'énergie. Je ne supporte pas les gros rassemblements, et lorsque je suis obligé d'y être, je m'eclipse souvent en quête d'un endroit calme où me remettre les idées en place avant de repartir au combat!

En situation de groupe, j'ai souvent du mal à m'immiscer dans les conversations, je ne trouve rien à dire... Un peu comme écrivait Delilah. Il y a comme un vaste mouvement qui me met automatiquement à l'écart du groupe, assez systématiquement. En général, ça va mieux quand mon champ se limite à une ou à quelques personnes, et encore, je dirais plutôt une. Vous savez quand on est 3, il y a toujours deux personnes qui ont une discussion passionnée et une autre qui tient la chandelle... Et bien celle qui tient la chandelle, c'est moi. Systématiquement.

L'alcool, à condition d'avoir assez mangé avant, ça peut pas mal me désinhiber par contre, dans ces moments-là je deviens beaucoup plus expansive, et les gens se sentent moins repoussés par moi aussi probablement. Dans ces moments je deviens beaucoup plus flamboyante (ce qui m'arrive aussi sobre, mais beaucoup moins). Jusqu'à ce que la fatigue me rattrape.
MAIS si j'ai pas ou peu mangé avant, je vais au contraire avoir tendance à devenir dépressive, et à m'enfermer plus que jamais dans mes compulsions de 4, résultant généralement en un départ discret et des crises de larmes particulièrement douloureuses et souvent incomprises.
(je précise au cas où, vu que j'étais assez discrète et que je suis partie tôt: samedi je n'étais pas dans cet état du tout!)

Ce que tu dis Apocalypse me parle beaucoup !

Quelle partie?...

La partie où on se sens mise l'écart, que l'on arrive pas à réellement s'insérer dans une conversation, en faire partie, et qu'au final on sens très mal, on'a envie de pleurer, ce que l'on fait parfois une fois rentré chez nous ! Ce genre de mauvaises expériences, ne donnent pas envie de la renouvelé, ce qui fait que l'on développe pas son côté sociale.

Apocalypse Please a écrit:

En situation de groupe, j'ai souvent du mal à m'immiscer dans les conversations, je ne trouve rien à dire... Un peu comme écrivait Delilah. Il y a comme un vaste mouvement qui me met automatiquement à l'écart du groupe, assez systématiquement. En général, ça va mieux quand mon champ se limite à une ou à quelques personnes, et encore, je dirais plutôt une. Vous savez quand on est 3, il y a toujours deux personnes qui ont une discussion passionnée et une autre qui tient la chandelle... Et bien celle qui tient la chandelle, c'est moi. Systématiquement.

Il m'arrive une la même chose quand je suis dans un groupe de personnes que je ne connais pas ou peu ... et pour peu que leur conversation ne m’intéresse pas ou me laisse indifférente, je ne fais presque jamais d'effort pour y participer ... c'est là que généralement les gens y voient de la timidité ... alors que juste j'abandonne parce que j'y trouve pas d’intérêt !!

Vous devriez faire une IRL, juste Apo, Luna, Delilah et HongNguyet. De préférence dans un restau pour pouvoir manger avant de boire ^^.

Si vous insistez, je veux bien faire le 5eme ^^.

HongNguyet a écrit:

Apocalypse Please a écrit:

En situation de groupe, j'ai souvent du mal à m'immiscer dans les conversations, je ne trouve rien à dire... Un peu comme écrivait Delilah. Il y a comme un vaste mouvement qui me met automatiquement à l'écart du groupe, assez systématiquement. En général, ça va mieux quand mon champ se limite à une ou à quelques personnes, et encore, je dirais plutôt une. Vous savez quand on est 3, il y a toujours deux personnes qui ont une discussion passionnée et une autre qui tient la chandelle... Et bien celle qui tient la chandelle, c'est moi. Systématiquement.

Il m'arrive une la même chose quand je suis dans un groupe de personnes que je ne connais pas ou peu ... et pour peu que leur conversation ne m’intéresse pas ou me laisse indifférente, je ne fais presque jamais d'effort pour y participer ... c'est là que généralement les gens y voient de la timidité ... alors que juste j'abandonne parce que j'y trouve pas d’intérêt !!

Oui, il y a des deux pour moi aussi: de la timidité, ou de l'indifférence. Il peut y avoir de la frustration, aussi. Quand des filles parlent de leur "chéri" et de leur vie commune, par exemple, il y a une part d'indifférence (parce que c'est pas forcément intéressant), mais aussi de frustration et d'envie, qui me donne juste envie de pleurer, parce que je m'en sens privée (même si mon envie est auto-entretenue, je suis pas vraiment ce qu'on peut appeler une "célibattante" non plus... ), et que je me sens complètement étrangère et aliénée à ce sujet. Mais après, quand les gens racontent leur vie sur des trucs ordinaires et pas drôle, ça peut vraiment m'ennuyer aussi. C'est frustrant de ne pas trouver de terrain de discussion. Après, des fois, ça m'intéresse mais j'ai rien à dire aussi.

Odon: Haha, pourquoi pas!