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Les vrai intj ont un résultats comme celui la :

Bonjour ô Nantais!

Rapidos en passant: si tu hésites entre ENTJ et ENFJ, c'est que tu n'est ni l'un ni l'autre...

Si tu ne t'es pas encore intéressé aux fonctions sus-jacentes, c'est le moment c'est l'instant!
ENFJ = Fe en dominante (très mal contre-balancée par Ti)
ENTJ = Te en dominante (... par Fi)
--> Un Fe ou Te-dom hésitera peu probablement sur le fait d'être plutôt F ou T.

Si on s'en tient uniquement aux résultats des tests*, ça collerait mieux avec INxJ, d'autant plus si tu dis être sûr de ton N (qui serait ici Ni-dom).

* Sachant que les tests sont une porte d'entrée sur le modèle qui doit très vite être refermée, pour pas se choper un rhume à cause des courants d'air, et puis pare que les tests n'arrivent pas à la cheville de l'introspection.

Reste à bosser sur l'axe T/F, soit ici: Te-Fi ou Fe-Ti.
Plus d'infos sur les fonctions sur cette page notamment... tu nous tiens au jus?

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Tu es du genre à rester en retrait ou à aller vers les autres ?

Tu es F, le vrai T (ENTJ,INTJ) ne doute jamais surtout pour les sentiments. Il le sait direct que c'est son type en le voyant puisqu'elle montre sa supériorité qui n'a jamais pu expliquer.

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Scorpion, "être F à 52%" ne veut rien dire du tout.

- Selon le test que tu fais, ces % peuvent changer
- Si tu es quelqu'un de plutôt mesuré/prudent, tes réponses seront moins tranchées que si tu chausses de gros sabots, et les % seront plus proches des 50
- Même le test "officiel" MBTI (celui fait en accompagnement avec le personnel certifié MBTI) indique que si tu a un résultat très en E (par exemple), ça ne veut pas dire que tu es très E, mais que tu as de grandes chances d'être E.

Bref, bullshit en général, pour ce qui est des % aux tests.
Cela dit, le fait d'avoir un axe F-T (un poil) plus équilibré que l'axe N-S peut être le signe que ce sont tes fonctions médianes (moins différenciées que l'axe de dominante-inférieure). "I à 52%", va savoir... tu as une auxiliaire bien développée, ou pour des raisons hors MBTI tes réponses aux questions sur cet axe n'ont pas donné une réponse concluante...

Scorpion a écrit:

C'est le profil que me correspond le plus, j'ai en effet une intuition extrêmement développé.

Ça reste une caractéristique partagée avec les autres Ni-dom, les INTJ (pour les Ne-dom, on dirait dans le langage commun "créativité" à la place d'"intuition"). Pas de quoi trancher ici.
Tu as pu étudier un peu les fonctions?

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Scorpion a écrit:

J'ai toujours été en conflit entre la pensé et les sentiments.

Tu peux donner un exemple de conflit entre "pensée et sentiments"?

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Scorpion a écrit:

J'ai effectué pour la première fois le test Enéagramme.
J'ai obtenu 30% en 5, 20% en 4. (0% en 2).
Je trouve que le profil 5 est proche du profil INTJ, qu'en pense-tu ?
En tout cas les profils 5 et 4 me correspondent plutôt bien.

Au risque de me répéter: bullshit. De se baser sur des tests, je veux dire, hein.
Pareil que pour le MBTI, il faut te pencher sur le fonctionnement de l'ennéa pour comprendre les ressorts du modèles, et pas t'arrêter aux traits de ressemblances. (On a d'autant plus tendance à se reconnaitre dans le type 5 quand on est INTJ ou INTP, parce que les fonctions développées vont "dans le sens" du 5, sans l'être forcément).

Scorpion a écrit:

Je ne préfère pas développé pour le moment ce conflit entre pensé et sentiment.

Why?
Ça aurait été intéressant d'en savoir plus, parce que pour le moment, à part tes % aux différents tests, tu n'as presque pas donné d'infos qu'on pourrait traiter pour t'aider (si c'était bien la démarche souhaitée...)

Taamer a écrit:

b) Il arrive également - c'est moins fréquent - qu'un profil ait à la fois Ni et Ne stimulés, l'un par le profil d'action, l'autre le profil de motivation. Le chat est un exemple.

Profil d'actionvs profil de motivation? Le premier étant celui défini par l'Action-Type et le second l'"original", c'est ça? Pasque Le chat, je vois bien du "semblant de Ne" issu de son ennéatype 7 vs son type MBTI INTJ, mais là tu me perds...

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On peut donc dire que le mbti n'est pas fiable?

Oui. Ou plutôt qu'on ne peut rien prouver de manière fiable.
Les résultats empiriques sont pourtant là, pour autant douteux qu'ils puissent parfois paraître (puisque basés en grande partie sur la compréhension de l'utilisateur), ces résultats sont là et relativement probant en apparence.

Je vais passer deux secondes pour être clair sur deux points : Le MBTI n'est pas, et n'a jamais eu prétention d'être un test de personnalité, ni d'analyser, interpréter ou interagir avec la personnalité entière d'un individu.
Ensuite, l'esprit humain est très très compliqué à observer et à comprendre. Nos connaissances actuelles sont assez parcellaires, bien qu'exploitables, et se reposent principalement sur des interfaces de compréhension.
Il en va de même avec le MBTI, c'est une interface pour analyser les filtres d'information sous-conscients.

Là où il pêche, outre l'absence de mesure fiable, est par son manque d’intégration dans un corpus de connaissances, d'interface et de solution apporter à l'individu pour le soigner. (Ce qui est une des grosses priorité de la psychologie mine de rien, comprendre pour mieux soigner).
Dit plus simplement : Il sert à rien. Le "pourquoi" de cette situation ne m’intéresse pas ici, d'autant que c'est un peu la pente savonneuse qui appelle les jugements de valeur et attitudes victimaires d'une "élite incomprise", donc je passe à la suite.

La conséquence de tout ça : C'est qu'il n'a ni d'impact sur le réel, ni sur les connaissances et interfaces. Pendant pas mal de temps, on a trainé des connaissances erronées (et on le fait encore sûrement maintenant), mais ces connaissances permettaient d'expliquer un certain nombre de chose tout en validant celles qu'on connaissait déjà en les utilisant - impact sur les connaissances à défaut du réel donc.

Il faut comprendre que les connaissances sont des outils, et outils dont on se sert pas bah.. c'est compliqué de déterminer sa fiabilité, hein. Donc bah, est-ce que le MBTI est fiable, beh on peut pas savoir, donc à priori... Nope. Surtout que ce qu'il apporte peut-être plus ou moins expliqué avec d'autres outils bien mieux intégrés dans le corpus actuel.

Mais les preuves empiriques sont là.. Donc qu'est-ce qu'on fait ? Bah, on part de postulat. Et quand on travail avec un outil, on part du postulat qu'il est fiable. Ça parait con dit comme ça, et même paraitre que je ridiculise ta question Kid', pourtant, non.
Le postulat (et en avoir conscience), c'est grosso modo la base du raisonnement scientifique. Et souvent, l'étape la plus efficace pour prouver qu'un truc marche pas et n'est pas fiable, c'est de partir du postulat qu'il marche. Si le postulat doit se casser la gueule, il le fera de lui même au bout d'un moment de toute façon.

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