Excellent article lu récemment : http://www.nationalreview.com/article/424805/victim-culture-kills-american-manhood
(Partagé par Unhyphenated America)

Intro :

Citation :

In one grade-school incident, I got into a playground fight with another boy and knocked him to the ground. As the teacher rushed up to separate us, she demanded to know what happened. “He said I hit like a girl,” I told her. “Is this true?” She asked my friend. Rubbing his face, he nodded. “Well then, you deserved it,” she said. And that was that.

L'auteur enchaîne en décrivant de manière claire et concise un glissement social vers un modèle qu'il nomme la victim culture, qu'il décrit comme affectant l'Amérique mais dont l'Europe s'inspire très largement (pour info, je précise que mon point-de-vue sur les safe spaces s'aligne sur celui de Richard Dawkins).

Qu'en pensez-vous ?

Le problème n'est pas le mouvement, mais l'ampleur.
On voit du mal dans tout, ça pousse à des positions extrêmes, c'est fatiguant.
On réfléchit pas, on accepte comme un soumis ou s'oppose violemment.
Ce qui ne va pas n'est pas une idéologie, mais l’emploi qui est en est fait dans le présent.
Faut arrêter de chercher le problème là où il n'est pas, l'idée n'est qu'un outils, le mouvement sa conséquence, le problème vient de celui qui l'utilise : l'humanité.
Éduquons nous à être honnêtement ouvert aux autres, et pas seulement pour ce que ça peut nous apporter et, magiquement, tout s'arrangera.

Maintenant, faut appeler un chat, un chat. Ceux qui agissent mal sont bêtes, points. Ils ne sont ni bons ni mauvais, juste incompétents. Et la compétence s'acquiert.