Les confrontations NP vs SJ, sont des affrontements épiques tel le bien contre le mal
, je pense que les affrontements sont
« nécessaires » cependant, je vais m’expliquer avec un pavé césar.
Dans une famille SFJ (basé sur du ESFJ principalement)
Schéma typique des SFJ, ils sont conservateurs, surprotecteur, « maniaques » de la propreté, profondément frustrés aux moindres désordres, grande confiance
en leurs expériences de la vie, possèdent une « obligation » sociale (Fe) exprimée par des attitudes « hypocrites » préservant l’harmonie,
que se soit en famille, entre amis, ou en société (le Fe ressemble parfois aux Fi concernant les « valeurs ».)
Il est naturel avec un tel schéma de pensée que le parent SFJ attende de son enfant une certaine « perfection », qu'il ai des attentes vis-à-vis de l'enfant,
c’est le « rôle » du parent d'éduquer son enfant, en faire citoyen responsable (comme toute personne décente j’aurais envie de dire.)
La pression sociale (Fe) le poussera à vouloir contrôler « totalement » le fonctionnement de l’enfant, cette attitude développera chez l’enfant
(s’il n’est pas trop stupide) le sentiment d’être l’objet égocentrique du parent, les attentes élevées du parent SFJ provoqueront une « culpabilité » d’être
chez l’enfant, celui-ci comprendra que cette « culpabilité » n’est pas illogique, il y a un problème à résoudre, et ce problème, c’est l’enfant lui-même.
Prenant conscience de son « statut » de problème, l’enfant possède deux choix comportementaux face à l’adulte qu’il suivra dans l’ordre que je vais
m’empresser de donner (s’il l'enfant n’est pas trop stupide.)
Le premier choix, l’obéissance, l’enfant sera « choyé » dans un premier temps, le parent répondra à tous ses désirs implicites et explicites ,
le récompenseras et/ou le gratifieras par sont obéissance et sont respect des lois (bonus si l’enfant y croit réellement.)
Il est cependant « normal » d’avoir des « retours » sur investissement pour le parent, de type affectif ou matériel (Fe) de l'enfant,
les problèmes commencent là, surtout si l’enfant ne possède pas cette « intelligence » relationnelle.
Le deuxième choix, le doute, le doute apparaît après que l’enfant ai acquis une expérience du monde, des « retours » comportementaux d’autres
parents-enfants, ce doute remettra en perspective toute sa vie (s’il n’est pas stupide.)
Un enfant possédant des schémas de pensées similaires au parent SFJ (ce qui m’étonne en dessous de 10 ans) sera affecté moyennement, et
comprendra peut-être même son parent, tandis que l’enfant Ne (Inxp, et d’autres types peut-être) réalisera les autres possibilités d’éducatifs
et rapports parents-enfants auquel il n’a pas droit, et là, c’est le drame
.
Affrontement SFJ
Le moment tant redouté, l’enfant et le parent sont en conflit, l’enfant dans cette situation possède 3 choix comportementaux :
1.Faire appel, changer de famille, orphelinat.
2.Continuer à obéir malgré la pression émotionnelle/intellectuelle/sociale (contradictoire ou non).
3.Affronter le parent perpétuellement.
Premier choix, l’enfant souhaite quitter sa famille à cause du parent (ce choix dépend grandement de la personnalité de l’enfant, qui à cet âge est boiteux),
l’enfant est dissuadé de prendre se choix (s’il possède un peu de matière grise) par des problèmes éthiques, sa dépendance par rapport au parent,
le manque d’informations sur le sujet (qu’un enfant ne possède pas forcément à cet âge), la destruction de l’image que l’enfant pourrait avoir de
lui même (précédemment dit, le parent Sfj élève l’enfant dans un esprit de « perfection » sociale), la contamination Fe, ou le « que dira-t-on de moi si
je quitte mes parents socialement ».
La première solution semble trop problématique, radicale et incertaine, il est rare qu’un enfant de -10ans la prenne par sa propre initiative.
Deuxième choix, si l’enfant ne perçoit pas les « idées sous-jacentes », les rouages de la situation, les ordres et les retours exigés du parent ne serons
pas un problème (j’imagine), dans le cas contraire dès l’instant ou l’enfant comprendra les « vraies » implications qui se présente face à lui ainsi
que dans sa vie future, il sera pris entre deux feux, sa personnalité, et celle que son parent souhaite lui imposer, si sa personnalité n’est pas assez
forte il se « forcera » à remplir les exigences, à mesure que le temps passera sa personnalité sera « trouble » au point de ne pas se reconnaître lui-même,
cependant il y a toujours des résidus, des restes de personnalités, qui lui seront suffisantes pour comprendre la situation problématique qu’est la sienne.
Ce second choix n’est adopté qu’en ayant l’espoir d’un avenir meilleur (Ne ?), mais requiert une grande « résistance » mentale, ce choix est naturellement
adopté en excluant les aides extérieures dans le calcul (le parent à cultivé dans l’enfant une image d’être « parfait », demander de l’aide c’est être
« imparfait », ce choix en fait donc un solitaire.)
Le Troisième choix l’affrontement, l’enfant confronte le parent de manière diverse et variée afin d’exprimer sa personnalité et la conserver intacte
(il ne faut pas exclure la possibilité que l’enfant puisse être un connard), l’enfant comprend les idées sous-jacentes et refuse les jugements,
agressions verbales, les reproches comportementaux injustifiés qui peuvent être porté à son encontre.
C’est le choix le plus ardu (mais le plus courageux), il comporte les désavantages du deuxième choix et ceux du premier choix sans les avantages des deux premiers
choix (à part être nourris logé.)
Le rapport de force entre le parent et l’enfant est alors sans pitié, l’enfant (s’il n’est pas trop idiot) se cachera alors derrière une
logique implacable afin d’être intouchable, le parent SFJ constatera son « échec » et tenteras par tous les moyens (presque) de tordre la
volonté de l’enfant, à chaque instant.
(E)SFj créateurs d’enfants à problèmes depuis....Toujours ?
Pavé césar terminé, je te conseille le deuxième choix, si tu as des « corones » la troisième
.
HS : Tu es renversant jon snow.