Salut !

Donc voila, je me demandais si vous aussi vous aviez du mal à vous attacher aux gens que vous côtoyez quotidiennement ?

Parce que de mon côté, j'ai l'impression que ça m'handicape beaucoup, j'ai beaucoup de mal à donner aux personnes suffisamment d'importance pour pouvoir espérer me lier d'amitié, même si ces dernières semblent être extraordinaire.

Pour être honnête, je crois que je suis vraiment paresseux, et j'ai peur des obligations et des responsabilités d'ordre sociale que peut impliquer l'amitié, je n'ai pas envie de m'encombrer de personnes dont je n'ai pas vraiment besoin (ou que j'estime ne pas avoir besoin, oui c'est égoïste je sais). Du coups, j'ai tendance à ne pas beaucoup m'impliquer pour entretenir les relations naissante, et parfois même celles qui sont de longues dates.

Et ce qui est chiant, c'est que paradoxalement, je suis quelqu'un de très fusionnel et pour me sentir épanoui j'ai besoin de ressentir quelque chose d'intense envers quelqu'un, je ne peux pas me contenter d'une simple sympathie.

De ce fait, j'ai un peu moins de mal à me lier d'amitié avec les femmes qu'avec les hommes, ou à défaut d'éprouver de la tendresse, je vais chercher à leurs donner un aspect plus utilitaires qui s'inscrit plus dans le présent ou susceptible de s'inscrire sur un plan futur.

Quand je dis utilitaire, je parle d'un projet que nous aurions en commun qui alimenterait notre complicité, mais bon le souci c'est que ça ne dure jamais bien longtemps (au mieux quelques années, mais dès que nous n'avons plus de projets, je n'entretiens plus l'amitié.)

Enfin bref, suis-je le seul à fonctionner comme ça ? Comment ça se passe de votre côté ?

ma foi, j'ai un fonctionnement assez proche.

globalement je ne cherche pas à me faire des amis, je m'en fiche, j'ai pas envie de m'encombrer avec les obligations sociales qui en découle, pas envie de me faire envahir par une bande de pote dont je ne saurais que faire.

j'ai quelques amis, triés sur le volet, je sais que ce sont des amitiés fortes, et celles qui tiennent le mieux sont avec les gens qui comprennent le mieux mon fonctionnement, c'est à dire aux tendances d'ermite, fuyant, aux abonnés indisponibles (j'exagère à peine).
je n'ai généralement envie de voir personne régulièrement, et ceux à qui j'accorde un peu de mon temps jouissent d'un réel privilège.
dans ces moments intimes, nos échanges sont profonds et intenses.

c'est très rare que je fréquente de la sorte des personnes de sexe masculin, généralement les mecs me gonflent, surtout ceux qui ne restent qu'entre mecs, en bande.
l'ennui absolu.
les trois seuls gars qui actuellent jouissent d'une attention sincère sont INFP, ENFP, ENTP, je les vois généralement individuellement et guère plus d'une fois par mois.

Mon entourage est globalement plus riche en femmes, j'aime être le seul mec au milieu de femmes principalement INFP, ce qui me permet souvent d'endosser le rôle de confident.
mon attitude flegmatique les rassurent.


Par contre le mot utilitaire ne conviens pas, c'est un échange qui est structuré de façon ou elles me partagent leur ressentis et je leur partage mes réflexions sur leurs ressentis.

Owlferein a écrit:

Quand je dis utilitaire, je parle d'un projet que nous aurions en commun qui alimenterait notre complicité, mais bon le souci c'est que ça ne dure jamais bien longtemps (au mieux quelques années, mais dès que nous n'avons plus de projets, je n'entretiens plus l'amitié.)

Enfin bref, suis-je le seul à fonctionner comme ça ? Comment ça se passe de votre côté ?

 
J'ai pas de bol, dans mes contacts internet tres proche (depuis longtemps) J'ai 3 INFP.
Et c'est toujours la même chose, c'est moi qui doit lancer les discuts... on s'entend super bien et je suis très complice avec deux... mais je sais que ca peut toujours partir très vite .
 
Le projet n'aiderait pas forcément a mon avis.
Mon pote INFP joue avec moi sur les jeux depuis un an et demi. Quasi tous les soirs et qu'a deux (competition toussa toussa ^^)
 
ET BAH CE C....... s'il se barre jouer avec d'autres ou en ne venant pas, ne préviendra pas, et ca à chaque fois... (En bon INTJ amoureux des imprévus... ) Ca m'a souvent fait peter des cables....
 
Maintenant j'ai compris, c'est pas qu'il m"apprécie pas... mais cest pas dans sa nature, donc maintenant je fais autre chose, s'il est la je le MP ^^
 
(Le 2e lui est encore pire, il peut disparaitre 2 mois, revenir comme une fleur, etc ...)

Par contre, des fois, ils arretent pas de me contacter euh même, (sms, facebook) c'est amusant

Quelqu'un a dit Ne-auxiliaire?

dorloth a écrit:

 
Maintenant j'ai compris, c'est pas qu'il m"apprécie pas... mais c'est pas dans sa nature, donc maintenant je fais autre chose, s'il est la je le MP ^^

je t'applaudis d'avoir compris cela : un nombre incroyable de personnes s'en vexent
 

dorloth a écrit:

(Le 2e lui est encore pire, il peut disparaitre 2 mois, revenir comme une fleur, etc ...)

un grand classique.... et encore deux mois, ça va, il est relativement soft   

Lauterwasser a écrit:

dorloth a écrit:

 
Maintenant j'ai compris, c'est pas qu'il m"apprécie pas... mais c'est pas dans sa nature, donc maintenant je fais autre chose, s'il est la je le MP ^^

je t'applaudis d'avoir compris cela : un nombre incroyable de personnes s'en vexent
 

Ah ca a été pas évident de l'accepter ... Puis j'en avais marre de rager     

Ici aussi je me reconnais dans ce qui a été dit. Un grand besoin de fusion et en même temps bcp d'indépendance, un manque de dispo, ce qui fait que je ne courre pas après les gens.

Néanmoins je suis contente qu'après 2ans passé dans notre petite ville, on me salue, on échange 2 mots, ça me fait plaisir. Et parfois ça c'est trop, alors je suis moins souriante et on ne me parle pas trop. Avec 2,3 amis, j'essaye d'entretenir davantage la relation, mais en fait c'est du spontané, je peux me sentir hyper proche de qqn comme ça, parce que ce sera le moment et pas trop alors que j'aurai tout organisé pr se voir. Donc je laisse couler, je prends comme ça vient et parfois je relance mais pas à chaque fois, je laisse aussi cette possibilité à l'autre.

J'ai conscience d'être un peu spé dans mes relations (un coup très proche, un coup un peu distante) par ex), mais j'assume de mieux en mieux et autres d'en faire autant.

Déjà, c'est un truc de Sp d'avoir autant de problèmes d'attachement (je te vois pas du tout 9w8, encore moins sx/so, plutot 9w1 sp/so ou sp/sx). Ensuite je dirais que c'est aussi dépasser sa paresse, se laisser abandonner à la relation et à l'interaction (qui chez moi est soit intense (souvent avec des NP ou des femmes), soit à demi intense (tout autre type que NP mais avec qui j'ai du feeling), soit inexistante ; j'ai horreur des relations formelles sociales). Perso j'ai beaucoup de mal avec les types qui sont pas FP, ou NP, ou juste N (donc en gros les ST, souvent des SP, SJ j'en parle pas), et le moindre effort semble complètement inefficace (pour moi du moins, ça ne crée rien par la suite), donc souvent l'attachement est inexistant sauf si forcé (famille). Mais bon l'effort est quand même indispensable quand il y a un réel potentiel d'amitié, de mon côté c'est surtout avec des FP et certain(e)s INFJ. Il y a quelques années j'étais incapable d'initier une relation, maintenant je le fais avec une certaine forme de volonté (si l'envie m'en vient). Je crois qu'il faut débloquer certains leviers émotionnels pour créer une forme d'attachement avec quelqu'un (les gens en souffrance m'attirent souvent par exemple, ou avec une forte spiritualité), qui peuvent dépendre de la vie personnelle et rétrospective du sujet. Et bon, parfois oublier son égo, un pote m'a dit que les INFP s'écoutent trop, du coup j'en ai conclu qu'ils râtent leur vie à cause de ça, et qu'il a raison    ; faut faire un peu d'effort quoi (mais l'assumer, pas non plus se soumettre). Apprendre à trier ses relations aussi, savoir dire non c'est important, sinon on peut être blasé par la suite à force de cotoyer des gens néfastes pour nous.

En fait pour moi ce sont les relations de soutien qui m'intéressent le plus.

Je vais systématiquement aller vers des gens doux, timides, évt fragiles, particuliers et bcp moins vers des gens qui semblent BCBG ou grande gueule, en tout cas qui semblent ne manquer de rien et ne pas être porté sur les échanges amicaux, plutôt fermés.

Mais avec les gens fragiles je fais très attention, j'observe en mode méfiance, de sorte de ne pas me faire avoir. Et bien svt ce sont ceux-là avec le temps avec qui je vais le mieux m'entendre (je pourrai aussi échanger sur mes difficultés évt), en tout cas ceux qui me semblent les plus humain, les plus normaux au final.

Donc en fait je ne m'attache à personne vraiment, je dirais plus que je vis plein de petits moments de partage intense et c'est ça qui me fait vibrer.

Ceux que je vais garder longtemps seront ceux qui habitent à côté de moi (je ne courre pas après les gens comme déjà dit, donc s'ils sont trop loin, ça ne le fera pas avec le temps), qui sont cool, peu demandeurs, à l'écoute, serviables, indépendants. Je vais les apprécier, les respecter mais on ne va pas forcément passer de grands moments, pourtt ils ont une importance capitale pr moi. C'est à eux que je me confierai au besoin, sans jamais chercher à les voir trop souvent non plus. Pourtt je les aimeuhhhh très fort !

Ca dépend sur qui je tombe. La plupart du temps je vais apparaître renfermé, dans ma bulle, du coup je fuis ces gens là. Je vois à peu près avec quels types je m'entends plus ou moins bien: Le mieux je dirais c'est INFJ/INFP pour moi mais je n'en est connus très peu pour le moment, donc à relativiser; ensuite ENFP, je n'ai connu que des 7 donc il y a des frictions vus qu'eux fuis la souffrance, et moi c'est quelque chose qui me parle presque quotidiennement j'suis maso^^, mais sinon il sont un bon anti-dépresseur naturelle^^, quoi qu'un peu lourd des fois. Après ISFP et NTP; Puis ISFJ et ESFP ça passe sans plus y aura pas de profondeur dans la relation, donc ça n'as pas beaucoup d'intérêt; Pour les ST avec qui ont parlera pas du tout la même langue ( quoi que mon plus vieille amis est un ESTP, mais c'est pas toujours facile ) et ESFJ (Dire que ma plus longue relation amoureuse aura été avec ce type... Avant j'aimais bien, aujourd'hui je les trouves un peu hypocrite, pas très réfléchis et avec qui je m'ennuie rapidement, bien qu'il ait un bon fond...). Sinon ENTJ je n'en ai jamais bien connue donc je sais pas. Et INTJ ainsi qu'ENFJ je n'en ai jamais vue ( je crois ). Ou vous caché vous? Vous avez pourtant l'air intéressant... J'imagine l'INTJ dans sa tour d'ivoire, et l'ENFJ porté par de grandes causes...
A part pendant une courte période de ma vie mes relations ont été assez médiocre ^^', je vois un peu les relations de la même manière que Lauterwasser, je préfère connaître peu de gens qui savent comment je fonctionne ( évitant, ennuyé par les soirées, par les discussions de groupes). Avec qui je peut avoir des discussions intéressante, profonde, intense, de l'intimité. Malheureusement je n'ai pas vraiment trouvé mon compte pour le moment... Je me dis que selon mon choix d'études je pourrais soit rencontré plus de gens avec qui je suis la même longueur d'onde ou inversement ( je dis sa par rapport à mon autre post; décidément je me met à polluer ce forum moi qui hésité à m'inscrire!)...

Citation :

J'imagine l'INTJ dans sa tour d'ivoire

A mon avis, cest juste que tu les as pas reconnus...

statistiquement ... juste pour s'amuser :
Estimation à la baisse :

Ecole primaire, (petite école tu n'as eu qu'une classe toute ta scolarité)
20 personnes
Collège
4 classes 20 *4=60 (on retire 20 en estimant que certains se sont retrouvés avec toi sur plusieurs années)
Lycée
2*20 (la classe de 1e et term étant la même)
40
Malgré ton introversion tu as fait une activité parascolaire
20 (ca peut varier mais faut bien chiffrer.)
Famille/amis de la famille (si tu as une relative petite famille)
20
En extrapôlant que tu n'es connu que ces personnes (c'est très peu...)
160 personnes : INTJ dans le monde, j'ai pas en tête les chiffres francais (2%)
Tu as donc eu dans tes connaissances : 160*0.02  3.2 INTJ, soit deux hommes et une femme.

C'est un calcul non réaliste et absolument pas fiable car il ne prend pas en comptes nombre de règle mathématiques d'échantillonnages.

Cependant, il a pour intêret de démontrer en 2 secondes... que à moins que tu n'est fréquenté que TRES TRES peu de gens dans ta vie... Tu as rencontré des INTJ.

On peut aussi estimer vu le nombre d'amis facebook...

Bah peut-être que je ne les aient par remarquer alors, après j'ai toujours été assez solitaire et en retrait. En tous cas tu n'habite pas très loin de chez moi, donc si sa se trouve je t'ai déjà vue, qui sait?!^^

Spirit a écrit:

Bah peut-être que je ne les aient par remarquer alors,

Surement

Citation :

En tous cas tu n'habite pas très loin de chez moi, donc si sa se trouve je t'ai déjà vue, qui sait?!^

Possible, mais relativement peu probable.

Pour ma part, j'adore rencontrer des gens différents, voir toutes les formes que peut prendre la vie humaine et m'en enrichir, mais dès qu'il s'agit de faire preuve de régularité, retrouver les mêmes personnes au même endroit et au même moment dans la semaine, je fuis.

Au début, je pensais que c'était parce que j'avais horreur de la répétition, maintenant, je me rends compte que des fois je plonge dans des états d'âme et que je ne peux pas (ou ne veux pas) passer de l'instant que j'explore à un instant social.

Ceci me fait avoir des comportements pour le moins étrange avec les autres, par exemple, ils peuvent toujours m'appeler au téléphone, je ne réponds jamais, je préfère choisir le moment où je pourrais leur répondre, si c'est imprévu, je suis comme sortie de force de mon brouillard et j'arrive pas à me concentrer sur la personne...

Mon manque de régularité et de constance fait que j'ai énormément de mal à tisser de nouveaux liens dans la longueur, sauf si j'ai en face de moi un hypersocial, qui fera tout le boulot à ma place   ou un hypersensible, avec qui il est plus facile de partager rapidement.

Il m'arrive aussi de ne pas voir les gens pendant très longtemps, et de continuer quand même à être amis avec eux dans ma tête...

Lauterwasser a écrit:

Mon entourage est globalement plus riche en femmes, j'aime être le seul mec au milieu de femmes principalement INFP, ce qui me permet souvent d'endosser le rôle de confident.
mon attitude flegmatique les rassurent.

Par contre le mot utilitaire ne conviens pas, c'est un échange qui est structuré de façon ou elles me partagent leur ressentis et je leur partage mes réflexions sur leurs ressentis.

Ca me ressemble assez...le rôle du confident ou de meilleur ami.

Après je me retrouve complètement dans la réponse d'Ophélia !

Ophélia a écrit:

Il m'arrive aussi de ne pas voir les gens pendant très longtemps, et de continuer quand même à être amis avec eux dans ma tête...

Ca c'est très INFP (tous mes potes INFP sont comme ça pour mon plus grand malheur)

Je relance le topic ^^

Je voulais savoir si vous hiérarchisiez vos relations... Parce que moi oui...

[ERROR]

Ce serait plutôt une affaire de qualité du lien qu'on peut avoir avec notre entourage et nos relations...

Bon ok je reprend avec une théorie bien précise que j'ai réalisée il y a peu de temps, de manière totalement spontanée, en me rendant compte au passage qu'inconsciemment j'avais toujours fait ça...

Dites moi ce que vous en pensez, mais sachez surtout que je n'ai pas fait ça dans le but de présenter un autre moi, c'est vraiment réfléchi et pas fake du tout (je dis ça parce que j'ai vu quelques conversations partir en vrille quand certains prétendaient que d'autres inventaient des trucs pour paraître intéressants alors j'anticipe ^^)

"Mon besoin constant de sécurité me conduit à hiérarchiser mes relations, en me basant sur les critères de confiance et de valeurs communes. Cette hiérarchie se schématise comme suit :
 Famille :
Valeurs communes, confiance absolue et liens du sang. Ce cercle est à considérer comme immuable et inaltérable.
 Premier cercle : « Amis » :
Convictions et valeurs communes, confiance absolue et connaissance très large des personnes concernées.
 Deuxième cercle : « sympathisants » :
Valeurs communes, mais confiance limitée voire inexistante, avec possibilité de passer au premier cercle à la suite d’un contact prolongé et fructueux. Je tends à collecter lors de mes contacts avec ces personnes le plus possible d’informations sur elles en me dévoilant au minimum. Ce processus peut en effet permettre un passage au premier cercle, qui me permettra ensuite de me dévoiler réellement.
 Troisième cercle : « connaissances » :
Pas de valeurs communes, confiance limitée. Aucune possibilité d’évolution vers les deux premiers cercles. Conversations stériles sur des sujets limités par les débats et par ma propre ouverture. Là encore, la collecte du maximum d’information intervient inévitablement, mais uniquement dans le but de mieux anticiper les réactions de mon interlocuteur.
 Quatrième cercle : « figurants » :
Pas de valeurs communes, pas de relation de confiance. Les relations avec ce cercle sont limitées au strict minimum, et n’impliquent pas nécessairement d’ouverture de ma part.
 Cinquième cercle : « ennemis » :
Possibilité d’avoir des valeurs communes, mais refus absolu d’accorder de la confiance ou même de la sympathie. Tendance à éviter ces personnes, rares mais considérées comme « nuisibles » pour moi (notion très subjective). La relation avec ce cercle a pu être privilégiée (deuxième ou troisième cercle), mais dégradée par un événement nous impliquant tous les deux ou impliquant des convictions morales qui me tiennent vraiment à cœur et sur lesquelles nous sommes en désaccord irrémédiable. Bien que ces personnes soient celles que j’aime le moins, elles ne constituent pas le dernier cercle dans la mesure où j’en ai une certaine connaissance : du coup, sans apprécier ces personnes, j’apprécie leurs qualités, et le fait de la connaître m’autorise un moindre degré de méfiance à leur égard dans la plupart des cas.
 Sixième cercle : « inconnus » :
Approche difficile, mais généralement considérés comme « inintéressants » (notion subjective), sauf dans l’optique de l’analyse d’une situation. Tout le monde démarre de ce cercle, et passe ensuite, en cas d’approfondissement, à un des cercles ci-dessus (sauf le premier pour lequel il est nécessaire d’avoir été dans le deuxième pendant un certain temps).

Cette hiérarchie représente un système de classement qui peut paraître arbitraire, mais qui reflète une distance et une réflexion par rapport aux personnes. Je tiens particulièrement à cet aspect de ma personnalité qui me permet d’anticiper énormément de choses du point de vue des relations sociales, et me permet de réfléchir sur n’importe qui et en toutes circonstance, de me poser des questions et de m’entraîner à prévoir des situations ou des comportements. Autant d’activités intellectuelles qui donnent un sens à chaque seconde de mon existence : la connaissance des autres, et à travers eux, la connaissance du monde.
Le fait que je sois en permanence dans une optique d’anticipation ne traduit pas une volonté de contrôle : cela exprime en fait mon besoin de sécurité, qui me pousse à chercher une solution à chaque problème, même éventuel. Ainsi, anticiper les personnes me permet de me sentir en confiance, et donc de relâcher mon stress permanent par rapport aux analyses de situations."

Non non moi aussi je hiérarchise mes amis et organise mes connaissances de manière générale, sinon je m'en sors plus, ne serait ce que pour organiser qui je vois chaque semaine. Car oui les connaissances il faut les entretenir, il faut donc bien déterminer une fréquence minimum d'entrevues.

Pour le reste quand on développe son réseau, on est obliger de l'organiser pour maximiser son utilité. L'idéal est parfois de faire une carte pour savoir qui fait quoi et quel est le potentiel de chaque personne ainsi que les liens entre eux. Très utile a faire dans le monde pro ou en politique.


Il est parfaitement logique de faire ça. Nous sommes dans l'ère de l'information et des réseaux. Et cela n'a rien d'immoral, on classe tous inconsciemment ou consciemment nos amis.

Merci Nietzsche de ta compréhension ^^

Ravi de voir que c'est cohérent, j'avais peur de passer pour un taré en disant ça à quelqu'un XD

Haha, dans ce cas je suis tarée aussi BriandLR, car j'ai exactement la même hiérarchisation (mais je pense que tout le monde fait ce genre de trucs, même inconsciemment, non ?)

A ceci près que mes cercles ne sont peut-être pas aussi hermétiques que les tiens... Par exemple je n'exclus pas la possibilité d'évolution des "connaissances" vers les deux premiers cercles : tant que je n'ai pas l'impression d'avoir collecté toutes les informations sur la personne (ce qui est d'ailleurs parfaitement impossible), je considère que l'évolution est toujours envisageable (dans le bon ou le mauvais sens).
(Mon côté P, Peut-être : rien n'est jamais totalement stable et établi, même avec mes plus proches amis...)

Sinon, par rapport au début du topic, j'ai aussi beaucoup de mal à initier les relations, toujours peur d'en faire trop ou pas assez ou je sais pas - le prise de tête carabinée habituelle, quoi. D'autant que j'ai tendance me montrer assez cyclothymique sur ce plan-là, passer de la sociabilité au mode ermite et de la chaleur à la distance façon dérèglement climatique mais-je-me-soigne. Et j'ai conscience que ça peut parfois être un peu déstabilisant pour l'entourage...
Pareil pour vous ? Oder nicht ?

Bizarre, je voyais pas un infp hiérarchiser son réseau social. Je voyais ça plus TJ et même NTJ car pour ma part il y'a une notion de long terme.

je hiérarchise aussi mon réseau social et suis extrêmement sélectif dans mes relations.

je pense que c'est surtout une question d'introversion qu'une question de rationalité.

je n'ai pas envie d'être envahit par une masse de relations diverses à des moments inopportuns, c'est pourquoi j'ai besoin de les classer et de les fréquenter au bon moment pour en tirer mutuellement le meilleur parti.

je me sens obligé de le faire car je pense en terme de potentiel (Ne) et j'ai horreur de l'intrusion (type5)