Bonjour à tous,

Pour votre information sur le type, un lien.

Et sur ce même site, un article.

Ce que j'aimerai aborder avec vous ici, c'est la dualité de ce type (c'est quelque chose que je ressens en moi et l'une des raisons qui ne me font pas douter de ce typage).

Cette dualité existe également chez certains INFJ mais elle ne représente pas une caractéristique de comportement comme pour le type 6.

Sur la toile, il existe peut d'avis qui mélange le type 6 et INFJ, donc je demande à cette communauté d'interagir par rapport à ce sujet  

A vos claviers...

Que veux-tu savoir sur cette dualité, je ne comprends pas ?

Je ne veux rien savoir, je veux que vous en parliez  :sweatdrop: 

INFJ type 6
La notion de loyauté n’est pas clairement exprimée dans le profil de l’INFJ. Cette loyauté de type 6 peut donc devenir une entrave à l’INFJ.
L’INFJ favorise des relations très proches avec quelques personnes choisie et entretient ces relations en tête à tête avec ces personnes et rarement toutes ces personnes réunies. La notion de groupe décrit en type 6 peut correspondre à ce groupe de personne que l’INFJ choisi précautionneusement. Je sens une forme de restriction dans un premier temps. S’il y a concordance entre le groupe du type 6 et le choix de confiance de l’INFJ, alors, tout va bien. Le groupe du type 6 peut être plus étendu que les personnes proche de l’INFJ, mais dans ce cas, le principe de loyauté risque de nouveau d’être une entrave pour l’INFJ.
Le découpage manichéen typique du type 6 peut correspondre à un INFJ. Mais l’INFJ a du mal à exprimer comment il voit le monde qui l’entourent alors que pour le type 6, c’est beaucoup plus évident. Dans ce cas, je pense que l'INFJ de type 6 à une meilleur capacité à exprimer le monde qui l’entoure. Le type 6 soutien l’INFJ dans cette carence.
La peur domine le type 6 et le pousse à la fuite ou à l’attaque. Le côté introverti de l’INFJ et son penchant naturel à se replier sur lui-même dans son propre monde laisse à penser à une fuite. D’autant que cette attitude de l’INFJ est souvent provoquée par autrui. Cependant, l’INFJ a un côté tête de mule qui peut le faire apparaître intraitable sur certaines idées. Instinctivement, l’INFJ peut croire qu’il a raison sans aucuns autres argument et ce comportement peut engendrer une forme d’agression pour celui qui s’y oppose.
Le centre mental préféré par le type 6 correspond très bien à l’INFJ qui peut faire preuve d’une grande réflexion intellectuel grâce à leur intuition. Cependant, les décisions de l’INFJ ne sont pas forcément logique, elle existe tout simplement. Les décisions de l’INFJ sont rapides mais correspond plus à un choix parmi d’autres possibilités plutôt que l’œuvre d’une réflexion. Là où le type 6 correspond bien à l’INFJ c’est dans sa faculté à tenir compte de tous les aspects d’une situation avec une belle qualité à résoudre les problèmes. Le type 6 utilise son centre mental intérieurement et extérieurement ce qui correspond parfaitement à l’équilibre entre la dominante et l’auxiliaire de l’INFJ.
Le type 6 a un rapport à l’autorité basé sur la loyauté. L’INFJ a probablement besoin d’établir un lien particulier avec les personnes qui représentent l’autorité (plus particulièrement dans le monde professionnel).
Mon avis plus personnel :
Je ressens parfois la désintégration mental mentionner dans le type 6. Je deviens incapable de penser de manière contrôlé. Je suis assailli de flash mental totalement incohérent. Comme-ci quelqu’un avait agité mes idées dans ma tête. Mon comportement est de cesser de penser et d’entrer dans une forme active, instinctive, en faisant confiance à mes intuitions plus qu’autre chose, en faisant confiance à mes compétences. Ce comportement est très proche de ce que peux faire un INFJ.
L’intégration de mon type 6 vers un type 9 correspond en tout point à ce qu’un INFJ peut vivre en tant que conseil, en confiance avec lui-même.

Je voudrais aborder l'aspect suspicion d'un 6 et la personnalité INFJ.

Quand on parle de suspicion, il y a une volonté à l'oeuvre, une personne... Je pense que l'expression de cette suspicion chez un 6 trouve écho chez l'INFJ par sa capacité à voir au-delà de c qui est montré, mais aussi par son souci d'harmonie entre les personnes.

Je sens bien ici que la capacité d'un INFJ à savoir sans qu'on lui dise n'est en aucun cas un problème à gérer. Il le devient à cause des doutes du 6. Cette capacité de l'INFJ désert le 6 dans sa fixation. Comme je le dis précédemment, la confiance devient un atout du 6 pour mieux vivre les capacités de l'INFJ.

De cette confiance, tant le 6 que l'INFJ en a besoin. Elle peut venir des autres et fort appréciée. Mais idéalement, cette confiance doit venir de moi-même.

Est-ce raisonnable d'avoir confiance ? Ce n'est pas une affaire de raison, mais de foi. En cela, l'INFJ peut aider le 6 à s'intégrer vers 9 et entrer dans une dimension plus active du moment présent.

Je me rends également compte que certaines dimensions associées à l'INFJ (et particulièrement à l'INFJ d type 4, essentiellement féminin) d'un point de vue émotionnel me sont totalement fermées. J'analyse tout ce pan des émotions, tant pour moi que pour les autres. J'intellectualise mes sentiments, appauvrissant probablement les capacités Fe de l'INFJ. Mais n'oublions pas que l'absence de quelque chose ne signifie pas forcément la présence de son contraire. Et ici, l'absence de Fe n'est pas révélateur de l'émergence de Ti. Je ne crois pas qu'intellectualiser ses sentiments soit l'expression de la tertiaire de l'INFJ. C'est une codification/perception de la dominante Ni. Tous les INFJ ne font pas cela, mais je pense que tous les INFJ ne gardent pas spontanément les sentiments dans leur valeur du moment présent: ils vont tous au-delà...

Je sens le besoin d'exprimer ici

Je suis de type 9, et j'ai également constaté que mon Fe n'était pas au top. Je n'avais pas trop fait le rapprochement entre faible Fe (pour une secondaire) et type ennéagramme, mais ca peut être une piste à creuser (le 9 se désintègre en 6, puis en 3)

9 ne se désintègre en 6 puis en 3. 9 se désintègre en 6 ou en 3, tout dépend de la hiérarchie des centres.