Irrégulier 65.0%
Aimable 65.0%
Insouciant 62.5%
Décontracté 62.5%
Idéaliste 57.5%
Sentimental 57.5%
Taciturne 55.0%
Paisible 55.0%

Aventurier 50.0%
Exubérant 50.0%
Réaliste 47.5%
Lucide 47.5%
Passionné 42.5%
Irréprochable 42.5%
Raisonnable 40.0%
Sérieux 40.0%

Bof.

Spoiler:

Le caractère dominant
du sujet est : Taciturne


Une discrétion naturelle

Modeste, souvent en retrait, le Taciturne ne fait jamais trop de bruit, ou du moins ce n’est pas intentionnel : il est naturellement discret. Ses besoins sont réduits au minimum : il mange peu, dort peu, sort peu, pleure peu et ne rit pratiquement jamais. S’il aime le sport, ce ne sont pas les sports d’équipe mais les sports d’endurance comme l’escalade, le parapente, la voile ou le vélo. Il déteste être au centre de l’attention et se débrouille toujours pour se rendre invisible. Sa communication est toujours minimale : il déteste le téléphone et ne prononce jamais un mot pour ne rien dire, ni deux mots quand un seul suffirait. Sa fréquentation est émaillée de longues plages de silence : nul n’est aussi reposant que lui. Son cauchemar est de se faire envahir dans sa coquille, de se faire surprendre sans avis préalable, de laisser le désordre entrer dans le temple de ses habitudes. Il a parfois l’impression d’être un étranger dans un monde étranger peuplé de marionnettes qui s’agitent de façon ridicule. Souvent l’incompréhension s’installe.


L'apparente indifférence

Isolé sur son île, le Taciturne frappe par son éloignement, son détachement, son désintéressement. Ni les êtres qui l’entourent, ni les tentations du monde, ni l’ambition professionnelle ne parviennent à le mobiliser véritablement. Émotionnellement, il semble que peu de choses le touchent : il est rarement enthousiaste, jamais vraiment triste, peu coléreux, pas franchement inquiet. Il ne se livre pas facilement, et surtout pas à propos de ses émotions ; seuls quelques élus savent ce qu’il pense ou ce qu’il ressent. Lui-même ne le sait pas toujours. C’est cependant sans compter avec son regard aigu d’ethnologue, avec la pertinence de ses observations et la justesse rigoureuse de ses analyses, qu’il ne partage guère, mais qui impressionnent lorsqu’on les découvre au hasard d’un chemin.


Le retrait social

Peu à l’aise verbalement et socialement, le Taciturne n’est guère sensible au charme des relations intimes partagées, et encore moins à celui des effusions mondaines. Il reste volontiers longtemps célibataire, barricadé aussi souvent que possible dans la chambre de son enfance qui lui sert également de bureau et où il ne reçoit que ses amis d’enfance (qu’il continue à fréquenter toute sa vie car il est d’une fidélité à toute épreuve). Il s’attarde ainsi longuement chez ses parents (et quelquefois ses grands-parents) qui l’acceptent comme il est sans attendre de lui des échanges, des compromis ou une adaptation sociale épuisante. Souvent il choisit un travail qui lui épargne les relations humaines. Il privilégie la compagnie des écrans, moins capricieux, plus supportables. Indifférent aux critiques comme aux louanges, il est distant avec tout le monde, même avec ceux qui lui veulent du bien ; il fuit également les effusions et les conflits. Son impassibilité rend quelquefois perplexe : on se demande ce qu’on a bien pu faire pour le vexer. Il ne se découvre que lorsqu’on se met enfin à tenir un discours froidement factuel, technique, pertinent, justifié, en rapport si possible avec le cœur de métier dans lequel il excelle.


Fiabilité et spécialisation

Patient, rigoureux, perfectionniste, le Taciturne accepte sans rechigner les tâches ingrates et les besognes répétitives que les autres évitent. Ses facultés de concentration sont grandes. Il a souvent des qualités techniques poussées, qui peuvent lui permettre de devenir un expert très pointu en développement informatique, dans la pratique d'une langue exotique ou la maîtrise accomplie d'un instrument de musique. Il se garde néanmoins de se vanter et d’exposer son talent au grand jour, de peur d’attirer l’attention. Comme les roses, il préfère l’obscurité pour dévoiler tous ses parfums. Il sait en général très tôt quelle sera sa voie car s’il lui faut un certain temps pour se décider, il fait ensuite preuve d’une remarquable suite dans les idées comme s’il s’efforçait de compenser ses limites énergétiques par un surplus de cohérence et de stabilité. Il s’épanouit généralement dans un métier hyperspécialisé qu’il acquiert jeune, offrant une grande indépendance – comptable, informaticien, statisticien, laborantin, magasinier, instrumentiste, ingénieur, archiviste – et ne cesse de perfectionner tout au long de son existence. Il a peu d’exigences professionnelles, si ce n’est celle de ne pas être envahi dans sa bulle privée. Il apprécie le télétravail avec une étrange démesure : son idéal serait de ne jamais rencontrer physiquement son employeur ou ses clients et ne communiquer que par un quelconque « net » interposé (ou comme il dit une « interface »). Il n’est en revanche pas ambitieux pour deux sous : le pouvoir et les responsabilités ne l’attirent pas, car il ne saurait que faire de tous les gens qu’il devrait diriger.

Oh Kabo je suis l'opposée de toi !

Exubérant 72.5%
Aimable 67.5%
Réaliste 62.5%
Aventurier 62.5%
Irrégulier 57.5%
Décontracté  57.5%
Passionné 57.5%
Lucide 52.5%

Sentimental   52.5%
Irréprochable   47.5%
Insouciant   47.5%
Raisonnable    47.5%
Idéaliste 42.5%
Paisible 42.5%
Sérieux 37.5%
Taciturne 32.5%

Mon caractère principal est l'exubérance ! J'ai mis en gras les passages où je me reconnais le plus :


L'art de ne pas passer inaperçu

L’Exubérant se fait immédiatement remarquer. Débordant de vie et d’envies, il est excessivement démonstratif, à la limite de la théâtralité, et recherche constamment l’attention d’un public. Mais s’il a besoin de se donner en spectacle, ce n’est pas forcément par un excès de narcissisme mais plutôt parce qu’il ne tient pas en place. Enfant, il était qualifié d’« hyperactif » (et sanctionné en conséquence) ; adulte, c’est une joyeuse tornade avide d'événements dramatiques, prodigue en gestes spectaculaires. Il est pourvu d'une grande expressivité gestuelle, orale ou écrite et prend naturellement beaucoup de place. À son départ on sent le vide. Lui-même ressent facilement l'angoisse du vide : il lui faut s'installer au centre d'un groupe avec lequel il puisse tout partager, un groupe soudé et chaleureux qu’il fédère – ses proches, ses copains, ses collaborateurs (ce sont parfois les mêmes !) – avec qui il se montre protecteur (quand ce n’est pas envahissant !)


Un boulimique de la vie

Pour se sentir à l'aise, l’Exubérant a besoin d’accumuler les activités disparates, de multiplier les rencontres, de se passionner pour un tas de choses et de gens. Très éclectique dans ses choix, il flirte volontiers avec l'éparpillement. Excessivement curieux, il se passionne pour la planche à voile comme pour les grands crus, en passant par l’opéra ou les voyages aux quatre coins du monde. Omnivore et boulimique, il se retrouve régulièrement dépassé par tous les projets qu’il a entrepris en même temps, mais on dirait qu'il a besoin d'être débordé pour satisfaire son énergie prodigieuse. Tenaillé par sa peur de manquer, il aime manger, boire, faire des rencontres, le tout sans modération. C’est de tous les caractères, celui qui est le plus heureux de vivre et celui qui est le moins formaliste. Il a généralement une personnalité aux facettes innombrables.




Des émotions excessives

L’Exubérant est assez instable émotionnellement, même si le fond demeure cohérent. Il peut effrayer son entourage par ses colères, monumentales mais brèves, comme combler ses proches par sa joie sans limites. En fait il est victime de ses excès, il ne connaît pas la demi-mesure, et son impulsivité peut lui jouer des tours : il parle trop, il travaille trop et à donner trop vite son amitié, il peut être facilement déçu. Mais ces aléas ne le découragent pas et ses coups de blues intenses et souvent spectaculaires ne sont que passagers. Il peut cependant être très fatigant pour son entourage, car il se montre souvent imprévisible : les autres passent leur temps à tenter de le cadrer, sans succès. Constamment surchargé d'engagements, il reste cependant étrangement disponible, car il ne sait ni dire non ni renoncer à quoi que ce soit.


L'esprit d'entreprise

Doté d’une très grande puissance de travail, l’Exubérant a tout pour devenir rapidement le patron d’une PME. Dès qu’il le peut, il utilise en effet son imagination et sa créativité débordante pour fonder une entreprise (ou une association). Doté d'un charisme naturel flamboyant, incapable de mettre une barrière entre le professionnel et le privé, il donne facilement envie de le suivre à ceux qu'il croise sur sa route. Parfois il change la vie des autres sans même s'en rendre compte et, par son aptitude naturelle à dépoussiérer les choses, les révèle à ce qu'ils sont vraiment. Il éprouve le besoin de rallier à lui des personnes plus stables et réfléchies pour pouvoir monter ses projets, souvent ambitieux, car la seule chose qui lui manque est une certaine continuité dans l’action. L’entreprise qu’il a créée est en effet souvent florissante, mais cela l’ennuie vraiment beaucoup de la gérer au quotidien. Ce qui le passionne plus que tout, en toutes choses, c'est le développement des choses.

Voilà !   

Décontracté 62.5%
Paisible 62.5%
Insouciant 60.0%
Taciturne 60.0%
Raisonnable 55.0%
Réaliste 55.0%
Sérieux 52.5%
Lucide 52.5%
Sentimental 50.0%
Aimable 50.0%
Idéaliste 47.5%
Irrégulier 47.5%
Exubérant 42.5%
Passionné 42.5%
Aventurier 40.0%
Irréprochable 40.0%

Aaaaargh, j'ai un vieux portrait de xSFx 9 Sp/So amorphe D:
La description, avec en noir le neutre, en vert là où je me reconnais, en rouge là où je ne me reconnais pas (du tout), et en orange le bof/"WTF ?"/gné ?/moyen.  

Le Décontracté:

Le décontracté est trop inerte et suiveur pour moi (=So/Sx) ; même si on reconnait des côtés très 9 qui me correspondent, je suis beaucoup plus catalyseur voire meneur que la description :/

Insouciant 75.0%
Lucide 70.0%
Taciturne 67.5%
Sérieux 62.5%
Irrégulier 60.0%
Aventurier 55.0%
Décontracté 55.0%
Idéaliste 52.5%
Réaliste 50.0%
Irréprochable 47.5%
Paisible 47.5%
Raisonnable 42.5%
Aimable 40.0%
Exubérant 35.0%
Sentimental 32.5%
Passionné 27.5%

Le caractère dominant
du sujet est : Insouciant


L'insaisissable légèreté de l'être

L’Insouciant est un feu follet, plein de légèreté, qui adore flâner et déambuler. Il rêve sa vie, une vie de bohême, plus qu’il ne la vit dans la réalité, ne s’inquiétant ni du passé ni du lendemain. Il compense son manque de sérieux par un optimisme à toute épreuve, que ses proches ont du mal à concevoir : ceux qui l’entourent s’inquiètent en général pour lui. Malin et débrouillard, il retombe pourtant toujours sur ses pieds, quelle que soit sa situation. Ouvert et tolérant, il n’est jamais dans le jugement. Il dispose d'une aptitude remarquable pour percevoir les choses exactement comme elles sont, une sorte de charisme de l'objectivité. Son intuition est souvent remarquable car jamais la passion ne l’aveugle.


Un partisan du « non-engagement »

L’Insouciant est très frileux en ce qui concerne l’engagement : il ne veut entendre parler ni de service militaire, ni de réussite professionnelle, brillante mais contraignante, ni de mariage et encore moins de famille nombreuse. Être attaché à des traditions, des personnes, des codes ou des lieux lui fait horreur. Sa vie peut ressembler, vue de l’extérieur, à une longue fuite en avant, voire à une interminable série d’errances. Ayant un grand besoin de liberté et un très faible sentiment d’appartenance, il se soustrait aux responsabilités et n’a évidemment aucun plan de carrière bien défini. Il a pourtant des projets, mais son côté papillonnant l’empêche de se fixer suffisamment pour les concrétiser. Imprévisible, il suit le vent de ses envies, qui le disperse au gré de ses voyages. Curieux de tout, il connaît beaucoup de choses, mais rarement en détails.


Le système D

L’Insouciant vit généralement de petits expédients : souvent il ne travaille pas vraiment, parfois il disparaît brutalement. Autant dire qu’il ne prend pas son travail au sérieux. Sa légéreté peut agacer : il ne se rend pas compte qu’il arrive en retard, fait le minimum, et ne prend guère au sérieux les procédures et les recommandations. Il lui arrive de s'attarder durablement chez ses parents. Il travaille par à-coups en alternance avec des aventures bohèmes, privilégiant les expériences hors du commun à l’expérience professionnelle. Il est en effet assez lucide sur lui-même pour exploiter ses faiblesses comme si elles étaient des forces.


Un non-conformisme rafraîchissant

L’Insouciant est en fait un rebelle nonchalant, un non-conformiste pacifique. Les valeurs bourgeoises l’ennuient plus qu’elles ne le révoltent. Il évolue dans une marge qui lui plaît bien et dans laquelle il se sent à l’aise. Ayant fréquemment un remarquable talent graphique, il s'oriente volontiers vers les matières artistiques. Mais il a besoin à ses côtés d’une main de fer dans un gant de velours pour ne pas demeurer celui qui fait vaguement de la musique, des tableaux, des thèses ou des romans qui en restent au stade de projets séduisants. Désintéressé et donc sans beaucoup d'ambition, il s'adonne souvent à de petits boulots qu’on peut exercer n’importe où (comme dans le tourisme ou la restauration). Il ne veut pas perdre sa vie à la gagner.


Très peu de ressemblance finalement, à part en vert ce qui peut correspondre dans les grandes lignes, et en rouge l'opposé absolu, tout le reste est faux...

Idéaliste 80.0%
Sentimental 77.5%
Irrégulier 75.0%
Aimable 72.5%
Taciturne 65.0%
Irréprochable 65.0%
Paisible 62.5%
Passionné 62.5%
Insouciant 60.0%
Aventurier 60.0%
Décontracté 57.5%
Exubérant 57.5%
Sérieux 50.0%
Raisonnable 47.5%
Lucide 45.0%
Réaliste 42.5%

Idéaliste  77.5%
Irrégulier  72.5%
Taciturne  70.0%
Irréprochable 67.5%
Insouciant  65.0%
Aventurier  62.5%
Sérieux  60.0%
Sentimental  57.5%
Lucide  55.0%
Aimable  52.5%
Paisible  50.0%
Passionné  47.5%
Décontracté  45.0%
Exubérant  42.5%
Raisonnable  40.0%
Réaliste  35.0%

Un ouvrage qui détaille les différents types, avec de nombreux détails et variations ! (merci à Lunaire !)

http://www.performances.net/livres/Decouvrez_la_face_cachee_de_votre_personnalite/#1/z

J'y apparaitrais plutôt comme idéaliste (plutôt silencieuse ), éventuellement irrégulière esthète, avec des côtés sentimentaux.

Je suis "sentimental"    

La description fait complètement ISF / 2 / 6  

J'ai également eu un score très élevé en idéaliste, taciturne et paisible (+ de 70%). 

Spoiler:

Edit : après relecture des deux profils, je me rapproche autant voir d'avantage du caractère "idéaliste" ; dans la description du sentimental il n'y aucune place faite aux raisonnements abstraits et critiques, aux idées pures, au doute méthodique, à la recherche du sens de tout, et l'objectif de l'élévation intellectuelle. Hors ce sont des trucs très prégnants dans ma vie, même si à la base c'était en partie un mécanisme d'adaptation et de protection. Je dois être entre les deux alors.

Insouciant 65.0%
Irrégulier 62.5%
Décontracté 60.0%
Aimable 57.5%
Taciturne 55.0%
Idéaliste 52.5%
Lucide 50.0%
Paisible 50.0%
Aventurier 47.5%
Sentimental 47.5%
Réaliste 45.0%
Exubérant 42.5%
Sérieux 40.0%
Irréprochable 37.5%
Raisonnable 35.0%
Passionné 32.5%

Spoiler:

Ca fait peut être trop Ne (et 9...), mais il y a quelques trucs vrais
Mention spéciale à la dernière phrase que j'adore.

Wesh posey.

Paisible 77.5%
Sentimental 75.0%
Taciturne 72.5%
Décontracté 72.5%
Aimable 70.0%
Idéaliste 70.0%
Insouciant 67.5%
Irrégulier 65.0%

Raisonnable 62.5%
Passionné 60.0%
Sérieux 57.5%
Réaliste 57.5%
Exubérant 55.0%
Irréprochable 55.0%
Lucide 52.5%
Aventurier 50.0%

Spoiler:

Résultat crédible mais je suis pas du tout quelqu'un de lié au tradition, ni conservateur et encore moins contre la marginalité wtf. Je ne suis pas non plus hostile au changement, ça m'intéresse même, c'est juste que je l'appréhende.

Idéaliste 75.0%
Irrégulier 72.5%
Sentimental 65.0%
Aimable 62.5%
Irréprochable 57.5%
Aventurier 55.0%
Taciturne 52.5%
Insouciant 50.0%

Passionné 47.5%
Exubérant 45.0%
Paisible 42.5%
Décontracté 40.0%
Sérieux 35.0%
Lucide 32.5%
Raisonnable 25.0%
Réaliste 22.5%

Le caractère dominant
du sujet est : Idéaliste


Le goût du raisonnement intellectuel
L’Idéaliste préfère le raisonnement à l’action. Souvent bien diplômé, il est généralement doté d’une grande culture générale et à l’aise dans la vie de l’esprit. Il apprécie particulièrement la manipulation des grandes idées, des raisonnements complexes, des termes techniques, des lois et des principes. Souvent contestataire, à raison, grâce à sa totale liberté de jugement, il a un goût naturel pour la philosophie. Il ne s’ennuie jamais, même et surtout seul, car il est naturellement doté d’une vie intérieure extrêmement riche : l’Idéaliste, qui est assez détaché des réalités matérielles et temporelles, est toujours en train de penser ou de ressentir quelque chose. Il a ainsi de grands talents pour l’introspection mais aussi de remarquables qualités d’écoute.


Un certain manque de sens pratique

L’Idéaliste est tellement attiré par les hautes sphères de la pensée pure qu’il néglige souvent les réalités purement terrestres. On trouvera plus facilement des ouvrages de Platon sur ses étagères que du beurre dans son réfrigérateur. Passablement dénué de sens pratique, il a aussi tendance à compliquer les choses inutilement. Son perfectionnisme excessif, sa fatigabilité, son manque de confiance en soi et sa surévaluation de l’obstacle entravent fréquemment ses actions. Souvent il est dans la situation d'un paralytique qui veut faire des kilomètres. Il est souvent porteur de projets ambitieux et convaincants qu'il lui est cependant difficile de concrétiser car il est plus doué pour expliquer le « pourquoi » que le « comment ». Son expression favorite est le « Oui, mais… ». L’association en binôme avec un partenaire proactif et concret du style « Y'a qu'à… » lui permet avantageusement de dépasser son indécision et son défaitisme naturel.


Un esprit critique aiguisé

L’Idéaliste a une telle soif d’absolu que tout semble imparfait à côté de ce dont il rêve pour lui, pour ses proches, pour son pays, voire pour la Terre entière. Cet esprit critique le porte vers un certain élitisme, aussi bien culturel que relationnel et professionnel, tout en engendrant une insatisfaction latente : il est insatisfait du monde qui l’entoure, mais aussi et surtout insatisfait de lui-même. Il a l’œil pour voir les défauts de chacun et de tout et pèse le pour et le contre de chaque chose dans de très fines balances. Son regard souvent pessimiste mais plein d’acuité sur les grandes questions qui agitent le monde le conduit parfois à penser que toute action est dérisoire. Il ne serait cependant pas raisonnable de lui en vouloir : la « conscience » ne peut-elle pas éclore qu'au sein d'un esprit négatif ?


Une grande indépendance
L’Idéaliste est foncièrement indépendant. Plutôt réservé, il a du mal à paraître décontracté en société, et peut parfois cacher son malaise derrière une certaine froideur, par timidité ou pour éviter les importuns. Si on se donne la peine de l'apprivoiser, il se révèle toutefois délicat, raffiné, dévoué, quelquefois délicieux. On découvre parfois, dans la vie de l'Idéaliste qu'on croyait si bien connaître après plusieurs années de fréquentation, l'existence d'un jardin secret extraordinaire. N’aimant ni commander ni être commandé, il est parfaitement à l’aise dans les métiers de l’enseignement et de la recherche, vers tout ce qui nécessite des qualités d’expertise et de prospective. Son esprit critique l'oriente naturellement vers des activités d'audit ou de consulting, toutes les activités où il faut dire aux autres ce qu'il ne faut pas faire : il est souvent Cassandre mais également le paratonnerre des entreprises. Il peut aussi se révéler dans le droit, la macro-économie, la psychologie, les sciences humaines en général.

Intéressant tout ça ! Il y a pas mal de choses qui me parle !

Idéaliste 67.5%  
Irréprochable 67.5%  
Irrégulier 62.5%  
Sérieux 62.5%  
Aventurier 62.5%  
Taciturne 62.5%  
Lucide 57.5%  
Passionné 57.5%  
Sentimental 57.5%  
Insouciant 57.5%  
Paisible 52.5%  
Aimable 52.5%  
Exubérant 52.5%  
Raisonnable 52.5%  
Réaliste 47.5%  
Décontracté 47.5%

Idéaliste... Drôle de résultat, il me semblait que les NT étaient rationnels... Admettons que l'INTP 5w6 que je suis soit un idéaliste chez les rationnels... 

Taciturne 62.5%
Sérieux 60.0%
Paisible 50.0%
Raisonnable 47.5%
Idéaliste 47.5%
Insouciant 47.5%
Irréprochable 45.0%
Lucide 45.0%
Sentimental 35.0%
Décontracté 35.0%
Réaliste 32.5%
Irrégulier 32.5%
Passionné 32.5%
Aventurier 30.0%
Aimable 20.0%
Exubérant 17.5%

Je suis taciturne apparement.

Montesquieu a écrit:

Idéaliste 67.5%  
Irréprochable 67.5%  
Irrégulier 62.5%  
Sérieux 62.5%  
Aventurier 62.5%  
Taciturne 62.5%  
Lucide 57.5%  
Passionné 57.5%  
Sentimental 57.5%  
Insouciant 57.5%  
Paisible 52.5%  
Aimable 52.5%  
Exubérant 52.5%  
Raisonnable 52.5%  
Réaliste 47.5%  
Décontracté 47.5%

Idéaliste... Drôle de résultat, il me semblait que les NT étaient rationnels... Admettons que l'INTP 5w6 que je suis soit un idéaliste chez les rationnels... 

Il faut lire le livre que j'ai posté ! On y trouve plusieurs déclinaisons de chaque type. L'idéaliste n'y est pas nécessairement incompatible avec le NT 5 (certains idéalistes sont qualifiés de chercheurs, de scientifiques), et parmi les caractéristiques de cette catégorie on trouve une certaine avarice.

J'ai refais le test hier, et incroyablement j'obtiens les mêmes pourcentages

Idéaliste... Et dans ce bouquin, l'idéaliste y apparaît comme une sorte de monstre de la négativité... Ben merde alors !

J'ai lu ça aussi.

j'ai du foiré le test,


L’Irrégulier est séduisant, parce qu’il paraît toujours dynamique et plein de vivacité, surtout en société. Souvent élégant, raffiné, avec un soupçon de fantaisie, il plaît en général beaucoup. De fait, il accorde une grande importance à son apparence, qu’il soigne devant son miroir. Il s'habille avec beaucoup de goût et fait tout pour paraître à son avantage, ce qui témoigne de son narcissisme naturel. S’exprimant avec éloquence, se conduisant avec classe, ayant le goût du luxe et des belles choses, assez vaniteux, il est très sociable. Il a beaucoup d’amis et paraît courir de fête en fête à un rythme échevelé, préférant d’ailleurs vivre la nuit plutôt que le jour.

Raisonnable 72.5%
Sérieux 72.5%
Passionné 70.0%
Irréprochable 70.0%
Taciturne 67.5%
Paisible 67.5%
Idéaliste 65.0%
Sentimental 65.0%

Je suis le seul à dom raisonnable ?

Edit : finalement je ressemble plus aux Irréprochables (merci apo du lien)

un résultat très proche de mon premier essai :

Insouciant 72.5%
Taciturne 72.5%
Irrégulier 65.0%
Idéaliste 65.0%
Paisible 55.0%
Décontracté 55.0%
Sérieux 50.0%
Lucide 50.0%

Sentimental 47.5%
Aimable 47.5%
Irréprochable 42.5%
Aventurier 42.5%
Raisonnable 32.5%
Réaliste 32.5%
Passionné 25.0%
Exubérant 25.0%


Le caractère dominant
du sujet est : Insouciant


L'insaisissable légèreté de l'être

L’Insouciant est un feu follet, plein de légèreté, qui adore flâner et déambuler. Il rêve sa vie, une vie de bohême, plus qu’il ne la vit dans la réalité, ne s’inquiétant ni du passé ni du lendemain. Il compense son manque de sérieux par un optimisme à toute épreuve, que ses proches ont du mal à concevoir : ceux qui l’entourent s’inquiètent en général pour lui. Malin et débrouillard, il retombe pourtant toujours sur ses pieds, quelle que soit sa situation. Ouvert et tolérant, il n’est jamais dans le jugement. Il dispose d'une aptitude remarquable pour percevoir les choses exactement comme elles sont, une sorte de charisme de l'objectivité. Son intuition est souvent remarquable car jamais la passion ne l’aveugle.


Un partisan du « non-engagement »

L’Insouciant est très frileux en ce qui concerne l’engagement : il ne veut entendre parler ni de service militaire, ni de réussite professionnelle, brillante mais contraignante, ni de mariage et encore moins de famille nombreuse. Être attaché à des traditions, des personnes, des codes ou des lieux lui fait horreur. Sa vie peut ressembler, vue de l’extérieur, à une longue fuite en avant, voire à une interminable série d’errances. Ayant un grand besoin de liberté et un très faible sentiment d’appartenance, il se soustrait aux responsabilités et n’a évidemment aucun plan de carrière bien défini. Il a pourtant des projets, mais son côté papillonnant l’empêche de se fixer suffisamment pour les concrétiser. Imprévisible, il suit le vent de ses envies, qui le disperse au gré de ses voyages. Curieux de tout, il connaît beaucoup de choses, mais rarement en détails.


Le système D

L’Insouciant vit généralement de petits expédients : souvent il ne travaille pas vraiment, parfois il disparaît brutalement. Autant dire qu’il ne prend pas son travail au sérieux. Sa légéreté peut agacer : il ne se rend pas compte qu’il arrive en retard, fait le minimum, et ne prend guère au sérieux les procédures et les recommandations. Il lui arrive de s'attarder durablement chez ses parents. Il travaille par à-coups en alternance avec des aventures bohèmes, privilégiant les expériences hors du commun à l’expérience professionnelle. Il est en effet assez lucide sur lui-même pour exploiter ses faiblesses comme si elles étaient des forces.


Un non-conformisme rafraîchissant

L’Insouciant est en fait un rebelle nonchalant, un non-conformiste pacifique. Les valeurs bourgeoises l’ennuient plus qu’elles ne le révoltent. Il évolue dans une marge qui lui plaît bien et dans laquelle il se sent à l’aise. Ayant fréquemment un remarquable talent graphique, il s'oriente volontiers vers les matières artistiques. Mais il a besoin à ses côtés d’une main de fer dans un gant de velours pour ne pas demeurer celui qui fait vaguement de la musique, des tableaux, des thèses ou des romans qui en restent au stade de projets séduisants. Désintéressé et donc sans beaucoup d'ambition, il s'adonne souvent à de petits boulots qu’on peut exercer n’importe où (comme dans le tourisme ou la restauration). Il ne veut pas perdre sa vie à la gagner.

Citation :

Je suis le seul à dom raisonnable ?

Moi c'est mon deuxième plus faible pourcentage dorloth^^. On peut faire pas mal de liens entre nos types et nos résultats ! Le 6 est prudent, cherche la stabilité. De plus tu as une aile 5, et celui-là est vus comme étant raisonnable. Sans oublier que tu est un NT.

Lucide, 4 axes:Un savoir-faire relationnel fabuleux -Le refus de s'attacher- Intelligence et objectivité-Le goût du jeu et de l'intrigue.
Aventurier ou Sérieux ou peut-être decontracté après.
Sentimental en dernier.

Les premiers pourcentages n'ont rien d'étonnant, pas plus que les derniers . Ils ont au moins le mérite d'être clairs.



Le caractère dominant
du sujet est : Idéaliste


Le goût du raisonnement intellectuel
L’Idéaliste préfère le raisonnement à l’action. Souvent bien diplômé, il est généralement doté d’une grande culture générale et à l’aise dans la vie de l’esprit. Il apprécie particulièrement la manipulation des grandes idées, des raisonnements complexes, des termes techniques, des lois et des principes. Souvent contestataire, à raison, grâce à sa totale liberté de jugement, il a un goût naturel pour la philosophie. Il ne s’ennuie jamais, même et surtout seul, car il est naturellement doté d’une vie intérieure extrêmement riche : l’Idéaliste, qui est assez détaché des réalités matérielles et temporelles, est toujours en train de penser ou de ressentir quelque chose. Il a ainsi de grands talents pour l’introspection mais aussi de remarquables qualités d’écoute.

Je ne prends pas les affirmations du début du paragraphe qui peuvent être variables en fonction de chacun (surtout celle sur cette histoire de diplôme). Néanmoins, pour ce caractère, je crois que l'affirmation qui consiste à dire "il ne s'ennuie jamais" est valable pour tous sans distinction, y compris pour moi-même. Cette affirmation entraîne une chronophagie du temps : même quand je ne travaille pas, j'ai l'impression que ma journée n'est que l'affaire de deux, trois heures. Le fait que je peux facilement rester une heure entière en étant complètement perdue dans mes pensées sans rien faire est une des raisons de cette réduction de l'élasticité du temps.


Un certain manque de sens pratique

L’Idéaliste est tellement attiré par les hautes sphères de la pensée pure qu’il néglige souvent les réalités purement terrestres. On trouvera plus facilement des ouvrages de Platon sur ses étagères que du beurre dans son réfrigérateur. Passablement dénué de sens pratique, il a aussi tendance à compliquer les choses inutilement. Son perfectionnisme excessif, sa fatigabilité, son manque de confiance en soi et sa surévaluation de l’obstacle entravent fréquemment ses actions. Souvent il est dans la situation d'un paralytique qui veut faire des kilomètres. Il est souvent porteur de projets ambitieux et convaincants qu'il lui est cependant difficile de concrétiser car il est plus doué pour expliquer le « pourquoi » que le « comment ». Son expression favorite est le « Oui, mais… ». L’association en binôme avec un partenaire proactif et concret du style « Y'a qu'à… » lui permet avantageusement de dépasser son indécision et son défaitisme naturel.

J'imagine la réalité physique, "réelle" un peu comme de l'escalade : c'est comme si l'on montait une corde en croyant atteindre le but, être très proche de lui, du promontoire sur lequel on va enfin pouvoir poser un pied et qu'en réalité, ce n'était qu'une corniche, donc il faut encore monter pour essayer de "toucher du doigt" cette fameuse réalité. Le "Oui mais" est très prégnant, et c'est pour cela que j'aime beaucoup être entourée de personnalités positives, ExFx, capables de motiver sans en faire trop et de tirer des 4 notamment vers le haut.


Un esprit critique aiguisé

L’Idéaliste a une telle soif d’absolu que tout semble imparfait à côté de ce dont il rêve pour lui, pour ses proches, pour son pays, voire pour la Terre entière. Cet esprit critique le porte vers un certain élitisme, aussi bien culturel que relationnel et professionnel, tout en engendrant une insatisfaction latente : il est insatisfait du monde qui l’entoure, mais aussi et surtout insatisfait de lui-même. Il a l’œil pour voir les défauts de chacun et de tout et pèse le pour et le contre de chaque chose dans de très fines balances. Son regard souvent pessimiste mais plein d’acuité sur les grandes questions qui agitent le monde le conduit parfois à penser que toute action est dérisoire. Il ne serait cependant pas raisonnable de lui en vouloir : la « conscience » ne peut-elle pas éclore qu'au sein d'un esprit négatif ?

Cette sorte d'insatisfaction perpétuelle est un gros problème dont je me suis moi-même rendue compte, mais j'ai tenté de le corriger en essayant d'élargir mes relations par exemple, ou plutôt en essayant de ne pas me laisser envahir par mes intuitions avant de tenter quoi que ce soit en usant de pragmatisme : après tout, on est jamais à l'abri d'une surprise. La phrase suivante est assez triste, se dire qu'une vie sera passée à être chroniquement insatisfait de tout objet, tout évènement, c'est assez difficile à digérer.

Une grande indépendance
L’Idéaliste est foncièrement indépendant. Plutôt réservé, il a du mal à paraître décontracté en société, et peut parfois cacher son malaise derrière une certaine froideur, par timidité ou pour éviter les importuns. Si on se donne la peine de l'apprivoiser, il se révèle toutefois délicat, raffiné, dévoué, quelquefois délicieux. On découvre parfois, dans la vie de l'Idéaliste qu'on croyait si bien connaître après plusieurs années de fréquentation, l'existence d'un jardin secret extraordinaire. N’aimant ni commander ni être commandé, il est parfaitement à l’aise dans les métiers de l’enseignement et de la recherche, vers tout ce qui nécessite des qualités d’expertise et de prospective. Son esprit critique l'oriente naturellement vers des activités d'audit ou de consulting, toutes les activités où il faut dire aux autres ce qu'il ne faut pas faire : il est souvent Cassandre mais également le paratonnerre des entreprises. Il peut aussi se révéler dans le droit, la macro-économie, la psychologie, les sciences humaines en général."

J'aime beaucoup la dernière partie de la description, elle apporte un angle concret à un profil qui n'est pourtant pas voué à se situer dans le concret.

tentative de corrélation (vite fait) entre ce test et les 5 tempéraments.
à corriger ou compléter selon votre point de vue.


Idéaliste -> mélancholique
Irrégulier -> ?
Taciturne -> phlegmatique/cholérique
Irréprochable -> supine
Insouciant -> ?
Aventurier -> sanguin
Sérieux -> phlegmatique/supine
Sentimental -> mélancholique
Lucide -> ?
Aimable -> supine/phlegmatique
Paisible -> phlegmatique
Passionné -> sanguin
Décontracté -> phlegmatique
Exubérant -> sanguin
Raisonnable -> supine/phlegmatique
Réaliste -> ?

Il y a quatre axes :
→  D+ ou D- : la Dépendance (vs Indépendance)
→  O+ ou O- : l'Ouverture (vs Fermeture)
→  C+ ou C- : la Proactivité (vs Réceptivité)
→  E+ ou E- : la Réactivité (vs Calme)

Naturellement les gens vont se revendiquer indépendants plutôt que dépendants, ouverts plutôt que fermés et dans une moindre mesure, calmes plutôt qu'agités. Mais le modèle n'entend pas ces termes tout à fait comme dans le sens commun, surtout Dépendant. La dépendance jaugée ici, c'est celle à l'environnement extérieur. Elle est plutôt synonyme d'Extraversion en terme MBTI (S>N éventuellement) et elle est justement une des deux caractéristiques de l'extraversion dans le tableau du modèle présent :








A partir des 4 axes, 16 types :







Chaque type a ses variantes, suivant l'évolution, que les degrés d'adhésion à D,O,C ou E peuvent mesurer.

Chaque critère est noté sur une échelle de 1 à 9. L'Exubérant moyen est un 7777. L'Exubérant pur, celui de la description standard, est plutôt autour de 9999. L'Idéaliste pur serait un 1119 et l'Idéaliste moyen un 3337.

Mais il y a un 17e type, qui est nommé « l'Harmonique ». Ses indices sont 5555. Ce 17e type est sans doute plus fréquent que les 16 autres dans leur pureté (la courbe de Gauss est évoquée à de nombreuses reprises). Mais les sujets concernés appartiennent probablement à un des 16 types, en sont des versions atténuées ou intégrées, ou vont le devenir/redevenir. C'est un no man's land théorique où se retrouvent les gens (trop?) intégrés. De toutes façons, il est impossible de ne pencher vers aucun type au moins à long-terme.

Le défaut éventuel de ce document, c'est que l'auteur émet des jugements catégoriques et a tendance à raconter. L'humour est très présent et le Paisible par exemple le sent passer. En même temps l'analyse ne fait pas défaut et les jugements se présentent de manière objective ; et tout est très transparent, limpide. Cela n'empêche pas ces jugements d'être parfois cruels ou de sortir du cadre d'une démarche de recherche/d'étude ou de mise en forme pure : la description du Taciturne est divertissante, mais d'une violence gratuite impressionannte. Par contre elle survient après des mises en garde et l'auteur n'est jamais dupe de ses agissements ; pour la variante Ombrageuse de l'Idéaliste, il avoue par exemple que la rigueur devient difficile.

Les différentes ''couches'' d'un individu sont évoquées et ce modèle s'intéresse à la plus fondamentale : le caractère, le noyau générant nos motivations et notre ''vocation'', avant que ne se forme la personnalité, puis le personnage et enfin l'attitude. Certains caractères ne trouvent pas des formes d'expressions adéquates, ou bien il y a des confusions, des dérèglements, entre le caractère, le personnage et la personnalité, qui viennent biaiser cette vocation du pur individu.



Tout ceci est sur le lien fourni par Apo. Il faut le lire parce qu'il éclaircit le sujet. Nous passons les tests, postons nos résultats, les considérons à l'arrachée. Mais ces 16 portraits viennent d'un système déterminé, ils ne sont pas attrapés au vol et jetés là en espérant qu'ils conviennent à l'essentiel des troupes.

Si vous hésitez entre Insouciant et Idéaliste (ou plus outré, Insouciant et Sentimental) et rejetez les 14 autres types, il y a manifestement une petite confusion. L'Insouciant et l'Idéaliste sont techniquement éloignés. C'est pour cela qu'il faut voir les tableaux que je vous ais mis plus haut ; prendre en compte les 4 marqueurs (DOCE), essayer de trancher de façon binaire ; puis vous noter sur chacun, de 1 à 9, avec 5 si vous êtes ambivalent, intégré, ou êtes incapables de trancher pour le moment.

Par exemple, Lauterwasser va probablement être D-, O+, C-. E- également mais l'indice sur cette lettre n'est pas, je crois, le plus faible. Cela correspond au profil « Insouciant », proche du « Taciturne » (D- O- C- E-) qu'il obtient dans une moindre mesure et avec lequel il a hésité. On voit aussi qu'un autre voisin du type de Lauter est « l'Irrégulier » (D- O+ C- E+) et je crois que dans ce qu'il a exprimé sur le forum, il pourrais, au moins ponctuellement, s'en approcher.