Ah oui, la "fainéantise" du déficient en dopamine ne me ressemble pas (sans allez pour autant à la "proactivité" du champion en dopamine - je le suis, mais c'est erratique, ou plutôt il y a trop de moments de chute ou de retraits) ; et je suis toujours actif, d'abord mentalement, mais généralement aussi en cumulant d'autres activités, compensations (mais plutôt d'ordre intellectuel). J'ai besoin de travailler ou d'avoir l'esprit affairé, qu'il vogue tout en étant vif aussi dehors.

Ah le 5w6 est encore plus a fond sur la neuroadrénaline. Ça ne m'étonne pas en fait. ^^

On dirait que 4w5 n'ont pas la cote niveau chimie du cerveau!! Les statistiques sont très cohérentes d'autant plus que je suis TDA (trouble de déficit d'attention) sans hyperactivité et 4w5, ce qui signifie que j'arrête jamais de penser!!

Je pense que j'ai ce truc aussi, et que je vais rater mes études à cause de ce truc aussi.
Tu fais quoi dans la vie ?

Haha j'ai au moins raté ma journée à cause de ça...

Booon alors moi je suis 6w7, donc:

Sérotonine
Faible : Esprit souvent noir, forte tendance à la dépression, potentiel de suicide plus élevé

Noradrénaline
Élevé : Forte anxiété, stimulation mentale intense, curiosité, distraction, cerveau en ébullition...

Dopamine
Élevée : Endurance physique élevée, haute confiance en soi, haut niveau d'énergie, proactivité...


Ouais, plus ou moins ça. Quoique quand je vais en 9 mon taux de dopamine chute pas mal. Quand je vais en 3 il crêve les plafonds. En moyenne je dirais que c'est entre moyen et élevé. Et pour mon taux de serotonine, quand je vais en 9 ou sur l'aile 7 il peut grimper trés haut.

Mouaif. Je me verrais plus basse en dopamine et plus haute en noradrénaline...

blackspirit665 a écrit:

On dirait que 4w5 n'ont pas la cote niveau chimie du cerveau!! Les statistiques sont très cohérentes d'autant plus que je suis TDA (trouble de déficit d'attention) sans hyperactivité et 4w5, ce qui signifie que j'arrête jamais de penser!!

Je me retrouve dans ce que tu dit. Je suis incapable de me concentrer et je commence à m'avouer l'évidence : comme L, je risque de rater mes études pour cette raison (c'était un problème technique autrefois, ça l'est resté : c'est aussi simple, finalement). Lire un texte dans un contexte scolaire pour en décortiquer une palanquée de faits et de détails, suivre une méthode, alors que je suis entouré et pressé de collaborer à ce remplissage, m'essore totalement. Ca me donne chaud, froid, je n'arrive pas à poser mon esprit et je commence même à décrocher, à la fois avec ces exigences pratiques et avec mes pensées. Et aussitôt que je suis seul, je peux recommencer à travailler. De préférence, si le sujet vient de moi.

Peut-être que le problème est à l'extérieur (ou plutôt qu'on force au silence notre voix intérieure). Peut-être qu'on s'esquinte à des activités qui ne servent à rien ; quand bien même elles nous rapporteraient un diplôme, et alors que le sujet peut recouvrir un intérêt quelconque, nous savons que nous ne sommes pas là. C'est peut-être ça le vrai malaise et la cause de ce défaut de concentration. L'esprit dit "non".

Et quand ça contamine ce qui devrait avoir lieu de nous intéresser au plus haut point ?

Apocalypse Please a écrit:

Mouaif. Je me verrais plus basse en dopamine et plus haute en noradrénaline...

Que qui ou quoi ? Que le 4w3 ? Il faut dire que les 4 ne sont pas les mieux lotis... Si on ne connaît pas encore l'enneagramme et tombe sur ce tableau, on se dit que ce sont des bons à rien.

Perso je ne me retrouve pas du tout dans le 5w6 ; je serais plutôt à ranger avec les 6 (6w5 ou 6w7 - qui ont la même répartition que le 4w3, en plus marqué).

Ayahuasca a écrit:

Et quand ça contamine ce qui devrait avoir lieu de nous intéresser au plus haut point ?

Alors il faut tout changer. Ca m'arrive aussi. C'est qu'on est bien enfermé dans une ornière. Ou qu'on doit dealer avec un quotidien pourri, des emmerdements insignifiants dont on fait semblant consciemment de se préoccuper. Par exemple je sais très bien au fond de moi que tout ce que je doit valider, je m'en fiche éperdument (parce que ce n'est pas dans ma tête, c'est au-dehors, c'est loin, inutile). Et pourtant je continues, je perd mon temps. Mon esprit n'est pas là. Tout ça c'est juste la preuve organique qu'on a rien à f****e de ce qu'on est sensé faire, qu'on a passé l'âge.

Mais c'est de moi que ça vient et ce sera pareil quel que ce soit le sujet auquel je prétends m'intéresser...

Ah, tu est vide alors, ton monde intérieur est désertique. Dans ce cas c'est un autre problème. Tu porteras cet ennui partout. Pas la peine de vouloir se suicider dans ce cas ; il y a des centaines de séries qui t'attendent. Puis des millions de nihilistes avec qui tu pourras disserter sur la consistance d'une nouvelle saison. Sans parler de la capacité d'une clé USB à faire circuler un maximum de ces saisons d'un seul coup ; autre sujet passionnant mais sur lequel je suis encore bien trop néophyte.

Peut-être que tu as envie d'être pris en charge. C'est tout à fait charmant. C'est l'un des maux du siècle. J'ai même envie de dire que c'est le problème de nos démocraties anomiques : créer des individus nécessiteux, mais nécessiteux de quoi : d'être pris en charge.

Ou alors tu n'as aucun problème mais ta noradrénaline te floue l'esprit. Et te voilà pris à surestimer quelques tensions existentielles, alors que justement à l'intérieur tout est plutôt clair, épuré, simple... Tu est peut-être un vrai 4 déplorant son manque de tourments comparativement aux névropathes qui l'entoure.

Je me reconnais moyennement dans la répartition de mon type


Sérotonine Elevée : "Sentiment de bien-être quasi-constant" et "forte résilience", c'est très relatif. Je tends peut être vers cet état, mais il n'est pas maîtrisé. Je me sens rarement véritablement épanouie et dans un parfait équilibre émotionnel.
J'ai souvent des coups de blues chroniques, même si je les surmonte 98% du temps et ne durent jamais "trop" longtemps. Je me considère un peu instable de ce côté et assez cyclique.
Elle est surement moyenne mais pas "élevée".

Noradrénaline faible :

La c'est le contraire, je le considère comme assez présent chez moi. Je peux être assez nerveux, anxieux, le cerveau en éveil, même si je sais préserver une allure calme.
Faut dire aussi que je suis gros consommateur de café, je ne peux pas démarrer une journée sans en prendre...

Dopamine faible : Sur le coup c'est réaliste. "Indolence, faible attrait pour le sport, confiance en soi instable ou faible, fénéantise, passivité" c'est une tendance qui existe chez moi.

Je me reconnais un peu plus dans les répartitions du 6w5, ou alors du 4w5...

Peut-être que tu est plus proche de ces deux types là (qui ont le plus faible taux de sérotonine). Tu est assez différent de tous les 9 qui ont pu circuler sur ce forum. Moins roudoudou-esque, quoi.

S'toi le roudoudou-esque. (Tu es*)

Nan c'est plus toi. Roudou-esque et histrion à la fois

Zogarok a écrit:

Apocalypse Please a écrit:

Mouaif. Je me verrais plus basse en dopamine et plus haute en noradrénaline...

Que qui ou quoi ? Que le 4w3 ? Il faut dire que les 4 ne sont pas les mieux lotis... Si on ne connaît pas encore l'enneagramme et tombe sur ce tableau, on se dit que ce sont des bons à rien.

Ouais.

Pour les problèmes de concentration, je m'y retrouve assez. Mon attention est souvent comme systématiquement absorbée par ce qui m'entoure plutôt que sur la tâche que je me suis fixée. Si un voisin parle ou quoi, je vais pas pouvoir m'empêcher d'écouter ce qu'il dit, ce qui m'énerve beaucoup d'ailleurs. Par contre, c'est aussi vrai quand je suis chez moi qu'ailleurs. Ecouter de la musique peut y remédier. c'est comme si mon esprit (Fi?) refusait de se concentrer sur quelque chose d'aussi mort et rationnel qu'un cours, ou terne qu'une description (même si certaines descriptions valent le coup bien sûr). Quand je suis dans un contexte spécifique, que je sais que c'est pour quelques heures, avec du silence, c'est moins compliqué, mais c'est quand même ultra chiant. Je crois que je déplore le manque de vrais tourments (ou de vrai tout court).

Et toi un psychopathe en puissance (en image mentale je t'imagine comme une sorte de couteau géant qui vole un peu partout et découpe le premier truc qui s'approche un peu trop près). Sérieux t'es un vrai 6 faut arrêter.

Neuro max, Dopa 0 et Sero minime. 5.

Zogarok a écrit:

Peut-être que tu est plus proche de ces deux types là (qui ont le plus faible taux de sérotonine). Tu est assez différent de tous les 9 qui ont pu circuler sur ce forum. Moins roudoudou-esque, quoi.

Je dois avoir de gros côtés 6 phobiques, peut être à cause du Si qui semble assez présent mais pas réellement maîtrisé.
Peut être que depuis le début je confonds la recherche de paix et de tranquillité avec la recherche de sécurité ou de cadre, ces deux dimensions pouvant se confondre.


Enfin sinon par rapport au sujet j'imagine que l'alimentation et le mode de vie doivent avoir leur importance par rapport aux neuro-transmetteurs...

Alex a écrit:

Zogarok a écrit:

Peut-être que tu est plus proche de ces deux types là (qui ont le plus faible taux de sérotonine). Tu est assez différent de tous les 9 qui ont pu circuler sur ce forum. Moins roudoudou-esque, quoi.

Je dois avoir de gros côtés 6 phobiques, peut être à cause du Si qui semble assez présent mais pas réellement maîtrisé.
Peut être que depuis le début je confonds la recherche de paix et de tranquillité avec la recherche de sécurité ou de cadre, ces deux dimensions pouvant se confondre.


Enfin sinon par rapport au sujet j'imagine que l'alimentation et le mode de vie doivent avoir leur importance par rapport aux neuro-transmetteurs...

J'ai toujours pensé aussi à cette option pour toi ; 6 SP. Plus encore que "phobique". Et tous les 6 sont censés être "phobiques" et "contre-phobiques" à la fois. Si on veux déterminer si tu est vraiment susceptible de l'être, il suffit de savoir si la noradrénaline a le rôle le plus important, devant la sérotonine.

C'est très juste, j'avais zappé ça ; le rôle de certaines boissons a été évoqué. Je dois dire aussi que le thé par exemple, du moins lorsque j'en prend pour la première fois depuis longtemps, a tendance à me "désinhiber" : pour le meilleur et pour le pire. Disons que je deviens plus facilement naturel quelque soit les circonstances.

Chasing a écrit:

Et toi un psychopathe en puissance (en image mentale je t'imagine comme une sorte de couteau géant qui vole un peu partout et découpe le premier truc qui s'approche un peu trop près). Sérieux t'es un vrai 6 faut arrêter.

Très injuste. Je vois ce couteau géant rempli d'amour. Et un peu de rage. Alors, finalement, je serais simplement un 6 ? Sur la triade des "dépendants" (1-2-6) !!!?? Pourquoi pas. Avec l'enneagramme tout est vraiment relatif... Dans aucun test je ne l'ai vu émerger ; je suis toujours 8, ou alors 5-1. Et je doute d'être réellement 8 : je me vois comme une combinaison de plusieurs. 548 par exemple, s'il faut prendre sur chaque centre.

Apocalypse Please a écrit:

Zogarok a écrit:

Apocalypse Please a écrit:

Mouaif. Je me verrais plus basse en dopamine et plus haute en noradrénaline...

Que qui ou quoi ? Que le 4w3 ? Il faut dire que les 4 ne sont pas les mieux lotis... Si on ne connaît pas encore l'enneagramme et tombe sur ce tableau, on se dit que ce sont des bons à rien.

Ouais.

Pour les problèmes de concentration, je m'y retrouve assez. Mon attention est souvent comme systématiquement absorbée par ce qui m'entoure plutôt que sur la tâche que je me suis fixée. Si un voisin parle ou quoi, je vais pas pouvoir m'empêcher d'écouter ce qu'il dit, ce qui m'énerve beaucoup d'ailleurs. Par contre, c'est aussi vrai quand je suis chez moi qu'ailleurs. Ecouter de la musique peut y remédier. c'est comme si mon esprit (Fi?) refusait de se concentrer sur quelque chose d'aussi mort et rationnel qu'un cours, ou terne qu'une description (même si certaines descriptions valent le coup bien sûr). Quand je suis dans un contexte spécifique, que je sais que c'est pour quelques heures, avec du silence, c'est moins compliqué, mais c'est quand même ultra chiant. Je crois que je déplore le manque de vrais tourments (ou de vrai tout court).

C'est l'effet de "Pe" chez toi - et je ne le partage pas. Sur le début et sur la fin, ce que tu manifestes c'est le NP en mal de stimulations, d'émulations au-dehors. C'est bien le mouvement inverse pour moi, il me faut faire le vide autour pour démêler mes émulations internes. Je réfléchis mieux dans un bus que dans une salle de classe. Ce n'est pas un contexte favorable pour moi.

En revanche, comme toi, je pense aussi que je sature très vite, je me "bloque" facilement (involontairement). Si j'entre dans un cours où je ne vais rien apprendre et devoir décortiquer un texte, puis attendre la correction... c'est à devenir fou. Ce n'est pas le côté "rationnel" qui me dérange, c'est justement quand ça n'a pas de sens, quand il s'agit d'un exercice pratique, du remplissage de circonstance ; en plus de rien apporter (en terme d'informations cruciales par exemple, qui s'ajouterais à un dossier en cours, un centre d'intérêt, ouvrirait des pistes de réflexion).

esque les timides ont un taux plus élévé en noradrenaline et en dopamine ?

Putain look-out ! Tu flood mon topic !

pourquoi c'est une question interressante