Bonjour à vous !

Chouette Masquée, ça me dit rien du tout Après, j'ai conscience de ne pas être un cas inné dans l'histoire du MBTI, au contraire. Je suis plutôt étonnée que vous n'en ayez pas juste marre de tomber sur des IN indécis, et j'aurais tendance à moi-même me lasser... Sinon, je sais pas trop pour le "masque Ne" (dans la mesure où je ne peux pas prouver que je n'utilise pas Ne), mais comme j'ai du mal à communiquer avec les gens pour donner mon avis ou pour m'intéresser à pas mal de sujets (faut pas croire, j'adore plein de trucs, mais dès que je suis dans un groupe où ça sort de mes domaines de prédilection, je pars dans la lune et j'attends car je sais que j'ai absolument rien à dire), bah... ça me semble plus facile d'engager la discussion en parlant d'idées, en ouvrant des possibles ou en développant ce que les gens disent au lieu de dire ce que je pense vraiment. Montrer de l'enthousiasme, aussi, et essayer d'intéresser les gens ou de manifester son engouement, c'est quelque chose qui m'aide à prendre confiance. (mais quand j'étais petite, j'étais pas comme ça du tout)

" (Alors qu'un pseudo aléatoire qui permet de faire des bagues dessus, ça fait sooooo Ne)."
Pas nécessairement. Ou plutôt, je considère que la contingence est un sujet super intéressant en lui-même. Prendre un pseudo hasardeux me fait réfléchir sur le sens du pseudo en lui-même. Est-ce qu'on peut se donner un nom au hasard et l'admettre comme tel, un peu comme des variables en maths ? Ou est-ce qu'on va trouver un sens a posteriori ? Et puis je l'ai aussi pris car ça faisait joli. Et puis y'a aussi une raison qui fait que, des fois quand je sais pas trop où j'atterris (niveau communauté, savoir si je vais vite partir ou trop me plaire, savoir comment je vais me comporter aussi) je prends un pseudo hasardeux pour me "distancer" de mon image sur internet. Si je prends un pseudo qui me tient trop à coeur, j'ai davantage peur de la moquerie, car je suis plus "présente" dedans, et du coup j'ose pas poster car le pseudo "pèse" trop lourd. Alors que là, ça veut rien dire, donc ça va. (j'ai l'impression d'avoir l'art de tout tourner en complexité. et encore je pourrais développer...)

"Bref, j'ai toujours trouvé qu'il y avait une difficulté à distinguer Ni de Ne-Ti, Ne-Ti état très fort pour se faire passer pour Ni (le puzzle qui se met en place - c'est aussi une métaphore que j'utilise). "
+1. Il faudrait que je trouve des INFJ et des INTP pour les disséquer en toute amitié. Je pense que ça me permettra de voir une réelle différence empirique, parce que j'ai un peu de mal avec des descriptions détaillées entre lesquelles je ne peux pas trop trancher... (j'ai cherché plusieurs sources mais ça monte à un point où je saurais pas trop dire... ou du moins, je pourrais me convaincre de l'un ou de l'autre). En effet, je ne peux pas nier le fait de pouvoir potentiellement être plutôt INTP pour l'instant, un peu comme je le disais dans "Mais je suis presque sûre que je pourrais trouver d'autres éléments pour le contester. '^' ", dans cette optique que mon jugement est davantage une totale balance d'idées. Faudra aussi que je m'explique pourquoi j'ai toujours un Te assez fort sur les tests de fonctions, d'ailleurs, si quelqu'un a un témoignage là-dessus hurg. Et d'autres trucs encore un peu fouillis, je supoose. On va dire que c'est mon but n°1, à poursuivre en parallèle des autres objectifs que je me suis fixée en venant ici.

kat77bis, les pavés c'est la vie ! Même si je t'avouerai que parfois j'envie ceux qui peuvent synthétiser de façon nette les choses (j'y arrive aussi, mais qu'en travail scolaire car j'ai fait des brouillons/réflexions préalables... sinon j'ai la trop grande tendance à réfléchir en même temps que je lis ce que j'écris à l'écran, herm)

Encore merci à vous pour vos réponses ~ ♪

Wallah bienvnu sur le forum jespair tva ty plair fai pa gaff au pélos et aux jaloux inchallah

Salut !

J'ai lu ce pavé spoilé et.....

la vie de ma mère, on dirait une tirade de Gilmore Gilrs....:

tu sais qu'il existe une touche, sur le clavier, qui s'appelle "Entrée" ( ou enter in english )

C'est con, mais c'est super pratique pour faire des lignes, ou créer de l'espace, afin que les gens puissent lire !


Une petite citation sympa.

A force de chercher, on trouve !
On trouve ce qu'il y a au fond de soi, pas ce qu'on est venu chercher. :-)


Et pour débuter une conversation, on peut parler de :

la météo
Ce qu'on a fait le week-end dernier
ce qu'on a prévu de faire le week-end prochain
l'envie de boire une bière pas chère
L'étape du projet qu'on vient d'achever après avoir bien galéré.
ou aussi on peut parler de cul, ou de sport, ou des 2. ( Parait que Griezmann a un bon pti boule. )

La question, tu veux partager quoi avec ton interlocuteur ?


Ha oui, pour la peur, il existe une question, What if

situation
J'suis sur un toit, j'ai le vertige

et si je m'accrochais à quelque chose de solide pour ne pas tomber ?
et si je ne m'avançais pas trop pour ne pas tenter le diable ?

La peur existe, et ce qui est cool, tu peux trouver les parades.


Pour contrôler l'esprit des gens, c'est un autre cours.


Comme en maths,
tu as plein de projets, c'est cool
Certains aboutiront, d'autres non
Au moins, quand tu passes ton temps sur un projet, tu travailles
Et par ce travail, tu développes un savoir faire dont tu pourras te vanter en entretien d'embauche.

et pour rebondir sur Chase,

Mach'allah ktut' pléz ici suhr la forhum

Merci à vous deux !

Citation :

tu sais qu'il existe une touche, sur le clavier, qui s'appelle "Entrée" ( ou enter in english )

C'est con, mais c'est super pratique pour faire des lignes, ou créer de l'espace, afin que les gens puissent lire !

jamei hante en dû parre lay
(En vrai, quand j'écris des rapports ou des choses comme ça, je n'ai aucun problème à structurer, mais quand il est tard et que je développe ma pensée embrouillée plutôt qu'une problématique concrète et plus organisée, je vire sans arrêt au gloubi-boulga.. sans doute parce que moi-même je ne sais pas trop où je vais et ce que je raconte)

Citation :

La question, tu veux partager quoi avec ton interlocuteur ?

En tout cas, pas tous les sujets mentionnés au-dessus. Je me sens presque "coupable" quand je parle de sujets aléatoires et inintéressants avec les gens, parce que je leur pose une question dont la réponse ne m'importe même pas. Pour meubler des conversations, je me plains, j'essaie de donner des anecdotes, mais c'est vide de sens et je réalise après que j'aurais préféré travailler sur un projet. J'adore les discussions où on philosophe, où on échange des informations, où on essaie de comprendre. Ou bien lire des témoignages qui m'éclaire sur des façons de penser, de comprendre les choses, des manières de vivre. Plus jeune j'avais l'habitude de poser des questions aléatoire à ma mère et ma soeur, souvent au prix d'énerver cette dernière, du type "Si tu devais (....), tu ferais quoi ?". Je pense que c'était des questions qui m'intéressaient vraiment, bien plus que de savoir s'il faut m'acheter un nouveau pull ou ce qu'on mange demain. De même, j'aime pas forcément être en groupe, parce que je suis souvent exclue de la conversation, mais j'adore faire un travail à plusieurs, s'organiser pour faire quelque chose en échangeant sur des méthodes, ou sur des perspectives. J'aime aussi développer une histoire à plusieurs, structurer le scénario, ou réfléchir au rôle des personnages dans quelque chose qu'on a vu ('fin, en général, je m'en fiche de savoir si un film est bien ou pas, je veux savoir ce qui peut être intéressant dedans, quitte à ce que ce soit étudier pourquoi un cliché revient souvent, ou pourquoi ils ont fait tel plan..)
Sauf que ben, tout ce que j'aime discuter, j'ai pas eu la chance de trouver des interlocuteurs pour en parler dans ma jeunesse, ou alors j'ai tout simplement jamais osé. Du coup je me suis toujours perdue dans le superficiel, dans des conversations que je regrette toujours parce que ce qui m'intéresse le moins, c'est ce que je dis moi-même. Mais du coup, je ne sais plus ce que je voulais vraiment dire à la place, ou ça me vient en écho après. Du moins, c'est comme ça que j'ai réfléchi à ton message et à comment je pouvais l'interpréter chez moi.

Citation :

et si je m'accrochais à quelque chose de solide pour ne pas tomber ?
et si je ne m'avançais pas trop pour ne pas tenter le diable ?

La peur existe, et ce qui est cool, tu peux trouver les parades.

Bien évidemment et je n'aurais jamais dit le contraire. Je n'aime pas ceux qui n'arrêtent pas répéter que leurs obstacles sont insurmontables, en baragouinant des "c'est comme ça, j'y peux rien" qui ne fait que les convaincre eux-mêmes en dressant d'autres murs... C'est sans doute pour ça que je m'acharne à essayer d'aider les gens dans cette démarche (et que ça marche jamais). Pour ça que le MBTI me plaît bien aussi, dans cette idée qu'il y a des tas de pistes sur l'intégration de l'inférieur, une réflexion sur la perception et le jugement, une recherche de soi sans valeur morale. (bon, je ne sais pas si je réponds à côté de la plaque ou pas)

Je suis aussi plutôt d'accord sur la fin. Même si j'ai la fâcheuse habitude de pas vraiment me vanter dans les entretiens d'embauche, dans la mesure où quand je me souviens de mes projets, je me souviens surtout de leurs failles et de leur aspect perfectible.

Merci encore à toi !