Ce qu'il dit de la prévalence des mots sur la formation de la pensée m'évoque l'intuition et des types de penseurs comme le pragmatiste Richard Rorty (un autre à gauche) et probable xNxJ, pour qui nos expériences et par extension notre savoir est indubitablement mêlé de croyances, de constructions et de paris ayant pour but de pratiquer et vivre en chaque époque avec les moyens apportés par ce qui nous entoure, ce que nous appelons d'ailleurs "culture" (voir "le mythe du donné" par Wilfrid Sellars), et que par le langage la société en détermine le paradigme.
Je suis d'ailleurs assez d'accord avec cette constatation comme je l'ai mentionné une ou plusieurs fois; si ce n'était pas le cas, nous n'arriverions même pas à communiquer ou bien nous nous sentirions - justement c'est marrant - obligés de construire un langage commun pour y parvenir; c'est tout à la fois de la relation et de l'expérimentation. Notons aussi Ludwig Wittgenstein (INFJ) comme critique de l'idée de "langage privé" (pour lui il n'existerait pas de langage privé).
Après ce coté un peu orwellien concernant la lucidité sur l'instrumentalisation possible du langage est revendiqué par notre bonhomme. Il a une aisance dans la parole et dans la manière de se mettre dans des rôles, de s'adresser voir de faire se sentir impliqué le public.
Je suis pas sûr pour la dominante: Ne ou Fe, mais son cursus bourré de diplômes et son expérience passée de l'administration me ferait dire qu'il est J et pas P.
... Pendant ce temps, dans des contrées intensément Ji
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