- Greenbat85 a écrit:
Puisque les derniers volets sont actuellement diffusés à la TV, je propose de typer l'auteure, l'oeuvre, le propos, en général. Et aussi les personnages éventuellement, mais je crois que sur ce dernier point ça a déjà été fait de manière assez rigoureuse.
l’auteureJe trouve le cheminement de Harry Potter au travers de l'oeuvre ... cohérent, je dirais que l’Auteure dispose d’un bon T (inférieur activé à la mort de sa mère ?), qu’est que j’entends par cohérent :
- le tome 1 présente un gamin de 10 ans avec des aventures adaptées à cet age, il n’y aucune once de peur dans cet opus.
- et ainsi de suite pour chaque tome, les aventures et les images grandissent avec le personnage (j’y reviens après
On a même droit à un adolescent (le prisonnier d’Azkaban , l’attitude de Harry Potter est carrément ado en crise de conscience).
Le monde dans lequel évolue Harry Potter est également cohérent, il n’y a qu’à voir les articles wikipédia qui parle de Poudlard. Les gens qui ont lu, ont pu déduire comment fonctionnait l’école, et en lisant les articles je suis sur que certain n’ayant pas lu Harry Potter ont cherché à s’inscrire .
Les actions de chaque personnage, sont cohérentes à travers les livres, le meilleur exemple étant Severus Rogues.
J K Rowling à construit son univers en partant de Harry Potter, elle a donc imaginé une situation puis à construit tout l’univers et l’histoire autour. Le personnage lui est venu comme ça , sans aspiration externe, je dirais donc N, je dirais même Ne, car le personnage lui est venu de la gare de Londres, elle a du observé quelque chose ou quelqu’un, qui lui a fait voir tout le potentiel de cette observation. Je dirais donc Ne en auxiliaire. Et pourquoi pas en dominante me diriez vous ?, et bien parce que toute l’histoire et les personnages prennent naissances dans les lectures et gens qu’elle a côtoyé durant sa vie.
De source sur, je sais que les Ne ont des tendances (surtout enfant) à faire des trucs, que eux trouvent légitimes, alors que les parents … pas du tout (faire des trous dans le mur, juste pour en faire un, le plus gros possible, nan … mais allo quoi
)
A ce niveau là j’ai donc 2 hypothèses
Hypothèse 1 : Ne-Aux, T en inférieur
Fi Ne Si Te – INFP – le guérisseur
Hypothèse 2 : Ne-Aux, T en dominant
Ti Ne Si Fe – INTP – l’architecte
Les sciences ne semblent pas l’intéresser donc on oublie Ti-Dom, il nous reste Fi-dom, et J K Rowling INFP – la guérisseuse
Harry Potter et donc l’oeuvre A travers chaque livre, chaque film, on peut voir et sentir l'évolution du personnage
Tome 1 : l'école des sorciersLa découverte du personnage d'Harry Potter. Voilà un gamin de 10 ans qui a vécu sans aucun soutien 10 ans de sa vie, et qui découvre d'un seul coup, qu'il existe autre chose que sa propre réalité.
Dans cette autre réalité, Harry Potter est considéré comme exceptionnel, il y a des gens qui l'adulent, et d'autres qui le détestent, et il a meme un ennemi héréditaire, et pour couronner le tout il est pété de tune (pactole qu'il n'utilise qu'une seule fois pour l'achat des fournitures scolaires ...
)
Personnellement, je trouve que pour un gamin de 10 ans, ça fait beaucoup. mais bon l'auteur, telle une déesse a désigné celui-ci, car elle l'a aussi équipé en terme de potentiel et de capacité. Je m'explique :
Face à ce tsunami d'émotions, je trouve Harry Potter particulièrement solide, voir même indestructible
Rappelez vous : il a vécu 10 ans de sa vie
SANS AUCUN SOUTIEN, il a donc tout appris le peu qu'il a,
TOUT SEUL.Vu la famille d'accueil où il est, l'hypothèse S n'a aucun sens, Harry Potter est N, je dirais même Ni, vu qu'avec Ne il serait devenu complètement fou.
Nawak me diriez vous, mais alors comment un gamin de 10 ans, peut il etre aussi stable avec un tel basculement du rien au tout ?
Le cheminement dans pré-au lard pour l'achat l'équipement du sorcier est caractéristique d'un Ni, il observe tout, il est émerveillé par chaque objet, chaque personne, il vit un réve éveillé.
Je pense donc à Harry Potter comme un Ni-Dom.
Dans ce tome, c’est principalement la découverte qui est mis à l’honneur, émerveillement et curiosité.
Les personnages principaux se détachent du décors, en montrant leur principale qualité ou défaut (ça dépend du point de vue ).
Mon opinion :En fait, dans le premier tome, on découvre le personnage d’Harry Potter, il est solide, prudent, curieux (trop meme), spontané lorsqu’il est en sécurité.
J’ai donc 2 hypothèses pour Harry Potter
Ni FeTi Se - INFJ – le conseiller
Ni Te Fi Se – INTJ – le stratège
Et on découvre également une des bases du personnage d’Harry Potter, et qui le portera jusqu’à la fin.
Le premier tome répond à la question. Quelle opportunité Harry Potter voit il dans la pratique de la magie ?
Tome 2 : la chambre des secretsJ’avoue que cet épisode est celui qui me touche le moins. J’en retiens quand même 5 ou 6 choses :
Harry Potter peut, par persuasion ou autorité, réussir à amener Ron au delà (euphémisme) de ça phobie des araignées. Je pencherais plutôt vers la persuasion, mais je ne me rappelle pas du ton et de la manière employés.
Il découvre, sans le savoir son ennemi héréditaire Tom Jedusor alias Voldemort.
Il découvre également la mort du corps. Je m’explique, personne ne meure dans cet opus, ils sont tous changé soit en pierre et guérissent, soit transformé en fantôme et continue d’évoluer dans le château.
Je trouve qu’il fait beaucoup de chose à l’instinct, la dent comme arme pour détruire le livre, si ce n’est pas de l’intuition, j’aimerais bien qu’on me dise ce que c’est.
Dans ce tome il y a un épisode qui me trouble : Quel est le rapport de Harry vis-à-vis de la célébrité du professeur Lockhart. Lors de sa retenue Harry Potter découvre que ça célébrité est basé sur du vent. Je me demande si Harry ne se dit pas que sa propre célébrité est basée également sur du vent.
Après ça cicatrice est bien réelle, la mort de ces parents aussi, et dans cet épisode la menace Voldemort prend corps.
Mon opinion :Dans ce tome, Harry Potter commence à prendre conscience de son destin, il commence à y croire.
Tome 3 : Le prisonnier d’AzkabanUn des tomes que j’apprécie le plus. Pourquoi ?
Pour les personnages contrastés tel Lupin, et Sirius.
Pour les détracteurs.
Pour l’intrigue qui émerge un peu plus.
Et surtout pour les scènes du lac.
Pourquoi le Patronnus de Harry Potter est il aussi puissant ?
La réponse est dans le premier tome.
Au tout début de cet opus, Harry perd le contrôle et exprime sa colère en utilisant la magie.
Mon idée est que plus il grandi, plus il croit en lui, plus il croit en lui, plus il exprime ces émotions, et comme tout ado qui se respecte, il le fait plutôt violement et sans contrôle.
L’intrigue centrale, c’est Sirius Black. La relation de parain-filleul n’est connue que des adultes, les adultes sous estiment Harry et le manipulent. Lorsque Harry connaît la vérité, son sentiment est que les adultes se sont vraiment des enfoirés, qu’ils ne sont jamais là quand on a besoin d’eux. Qu’il faut tout faire tout seul,
TOUT LE TEMPS (bon là, j’avoue je me projette sur Harry , désolé).
Donc, comme je le disais, les 2 scènes du lac sont surpuissantes. La première scène est qu’Harry touche de peu le plus profond du désespoir, il est sauvé par un bienfaiteur, qu’il pense être son père revenu d’entre les morts pour le sauver. La deuxième, c’est de comprendre que son père ne viendra jamais, qu’il est son seul sauveur. Le plus jouissif dans cette scène du patronus, s’est l’origine du souvenir qui crée le Patronus, la symbolique de l’amour qui écarte le désespoir, perso, moi, ça me pique les yeux, tellement c’est puissant.
Il y a une autre scène que j’aime bien, et qui me confirme Ni, mais surtout Fe.
C’est la scène avec l’hippogriffe, instinctivement Harry arrive à monter sur l’hippogriffe, vous aller me dire oui, mais Hagrid lui dit comment faire, je ne sais pas si vous avez déjà tenté l’expérience de monter sur un cheval sans avoir jamais connu de chevaux avant. Si vous arrivez du premier coup, zetes balaise.
Ma déduction est qu’il utilise son intuition pour savoir quoi faire, mais surtout qu’il observe l’hippogriffe pour lire les émotions du dit animal (oui,oui, je confirme, un INFJ lit les émotions et sait instinctivement comment vous aller potentiellement réagir à ces émotions, référence au roi tsigane INFJ)
Mon opinion :Vous l’aurez compris pour moi Harry Potter, ben il est INFJ (Ni-Fe-Ti-Se), et dans ce troisième opus il apprend à utiliser Ti (la cohérence, le contrôle).
Accessoirement, dans ce tome, l’intrigue devient une affaire d’adulte, Remus John Lupin, Sirius Black, Peter Pettigrow.
Tome 4 : la coupe de feu.Celui là, je le trouve marrant, meurtre, manipulation, apparence trompeuse, orgueil, mensonge, …
Je m’explique, sous le couvert d’une épreuve qui sur le papier, t’as presque envie d’y participer, chaque participant joue ça vie sous le regard enjoué des adultes. Contre toute attente Harry est également inscrit au tournoi
.
Dans cet épisode Harry est confronté au monde des adultes, ces derniers ont imaginé un jeu, où les élèves risquent leur vie pour l’honneur de l’école ou la gloire de l’élève qui remporte le tournoi.
Des 4 concurrents, un seul le fait car il n’a pas le choix, et c’est qui : c’est Harry. Les autres le font pour des raisons d’adultes (gloire, réputation, adulation, et autres conneries)
J’aime bien le passage où Ron comprends que Harry risque ça vie parce que quelqu’un d’autre l’a inscrit.
Le plus comique dans tout ça c’est que les adultes l’aident dans les épreuves (la branchiflore, l’œuf sous l’eau, les dragons), et la seule chose que fait Harry n’est pas la recherche de la gagne, il cherche juste à survivre, et il trouve quand même le temps d’aider les autres. Je ne nie pas qu’il y trouve un certain plaisir dans l’adrénaline du moment, mais tout le reste glisse sur lui comme de l’eau, même la presse désastreuse il s’en branle, de toute façon que peut-il y faire, rien, autant vivre le moment présent (Carpe Diem – Se ? )
Il y a un autre moment que j’aime bien dans le film, c’est la scène du bal, où la seule à comprendre les relation homme femme, ben c’est Hermione, soit dit en passant je trouve que Emma Watson joue très mal dans cet opus (je trouve qu’elle surjoue, ou alors elle se force) La scène entre Ron, Harry, et Hermione est à mourir de rire, les réactions des gars sonnent tellement vrai.
Ce que je note également, c’est que dans cet opus Harry voit la mort pour la première fois, il revoit également ces parents.
Mon opinion :Cet opus parle d’orgueil, celui d’Harry, des adultes, de Ron.
L’orgueil peut mener à la mort. L’amour sauve des vies (la sœur de Fleur sauvé par Harry, le soutien de ces parents dans le combat contre Voldemort).
Je pense qu’Harry a aussi noté que l’orgueil procure un certain plaisir, confirmé dans l’opus suivant.
Tome 5 : L’ordre du PhenixPour moi, ce volume est un peu à part. Ce volume c’est le deuil de l’enfance de Harry Potter.
C’est à partir de ce volume qu’il passe dans l’age jeune adulte.
L’enfance étant les tomes 1 et 2. L’adolescence étant les tomes 3 et 4.
Dans ce tome il y a un truc qui me chiffonne, pourquoi appelle t’il la prophétie "une arme". Je ne comprends pas l’avantage de savoir ça
Celui qui a le pouvoir de vaincre le Seigneur des Ténèbres approche... il naîtra de ceux qui l'ont par trois fois défié, il sera né lorsque mourra le septième mois... et le Seigneur des Ténèbres le marquera comme son égal, mais il aura un pouvoir que le Seigneur des Ténèbres ignore... et l'un devra mourir de la main de l'autre car aucun ne peut vivre tant que l'autre survit... celui qui détient le pouvoir de vaincre le Seigneur des Ténèbres sera né lorsque mourra le septième mois Et du coups comme s’est considéré comme une arme, et les adultes (principalement dumbledore avec la complicité de tous les autres) décident de cacher l’info à Harry.
D’un côté, je comprends qu’il faille protéger, d’un autre je ne comprends pas pourquoi on n’inclue pas le principal intéressé, enfin si je comprends, c’est un enfant il n y connait rien, il suréagirai, il ne se contrôle pas, bref le nombre de truc que l’on fait en pensant protéger … je ne jette la pierre à personne, je suis le premier à faire ça (incroyable comment je me projette facilement sur Harry Potter, c’est peut être ça le secret du livre
.
Pourquoi je dis tout ça, parce que cet état d’esprit explique une chose, comment Harry a réussi à résoudre la culpabilité induite par la mort de Sirius, et par voie de fait, l’entrée par la grande porte dans l’age adulte.
Il y a quelques scènes que je trouve caractéristique du passage dans l’age adulte :
- Celle ou Harry comprends que Dumbledore prends des décisions à ça place, et ça le mets en rage.
- L’apprentissage qu’il peut avoir son indépendance d’esprit, et que son avis n’est ni mieux, ni moins bien que celui d’un adulte. Quelle scène : Il y a en 2 ou 3 je ne sais plus, ce sont celles ou Rogues apprends à Harry l’occlumancie. Surtout Celle où Severus dit à Harry que son père est un connard.
- Les retenues de Dolorès Ombrage, où elle lui fait imprimer en lettre de sang les règles qui font qu’un enfant doit obéir aux règles des adultes. On notera au passage la symbolique que la multiplicité et la complexification des règles peuvent représenter un poids qui peut aller jusqu’à écraser celui qui les promulgue. Harry n’en retiens qu’une chose la douleur, et la révolte.
Les scènes de l’armée de Dumbledore confirme au passage Fe, il n’agit qu’en tant que conseiller, aucunement comme autorité, je trouve les apprentissages emplis d’humilité.
C’est aussi dans ce tome, que Harry va être confronté à la puissance de ces émotions. Je m’explique :
Toute ça courte vie Harry a quasiment toujours tout fait tout seul, il a, je pense, développé un grand sens de l’engagement, et surtout tenir ces engagements quoiqu’il lui en coute, sans penser un seul moment qu’il peut demander de l’aide, qu’il n’est pas obligé de tout faire tout seul.
C'est sa colère et sa peur d’être à nouveau sans famille, qui l’entraine lui et quelques jeunes sorciers inexpérimentés dans une bataille contre Voldemort et ces mangemorts, certes il se temporise (à tout casser, 2 secondes, le temps d’aller au siège de l’ordre pour voir si Sirius est là), mais en gros, personne fait rien, je vais tout gérer tout seul. Attention, là est la nuance, ce qu’il fait n’est pas « c’est moi qui doit faire, parce que je suis Harry Potter », c’est « si je ne fais rien,
PERSONNE ne fera rien».
Du coup si la première phrase de Dumbledore, dans le hall du ministère, avait été : « ne t’inquiète pas Harry, je suis là », je pense qu’il serait mort un tome plus tot.
Harry ne fait rien, car l’arrivée tardive de Dumbledore, lui donne une solution à la culpabilité pour la mort de Sirius. Celle de : Si Dumbledore avait joué franc jeu, Sirus serait encore là.
Mais alors pourquoi Harry Potter aime autant Dumbledore ?
Je pense que pour Harry, Dumbledore est la clef de toutes ces questions.
Mon opinion :
Cet opus enterre l’adolescence et donne naissance à un jeune adulte déterminé à avoir toutes les réponses à ces questions, et de ne plus être le pantin avec lequel les adultes jouent.
La manière dont il porte le role de professeur dans la salle à la demande, montre Fe plutôt que Te et confirme INFJ – le conseiller (Ni-Fe-Ti-Se)
Tome 6 : le prince de sang meléJ’ai un point de vue très contrasté sur cette opus, je trouve le fil conducteur complètement chiant, et sans éclat. Par contre je trouve que la vraie intrigue de l’ensemble de l’œuvre commence à cet opus.
Je m’explique, le fil conducteur c’est : « qui est le prince de sang mêlé », pour qu’au final on apprenne qui c’est , et s’en taper complètement. Vu ce qui se passe à la fin de cet opus (si vous ne voyez pas ce que je veux dire par contraste, demandez vous ce que vous retenez du livre, qui est le prince de sang mêlé, ou autre chose).
Dans cet opus, Harry apprend une magie intéressante, la magie de l’illusion, très économe en énergie, et tout aussi efficace.
Je m’explique :
Comment Harry devient il super bon en potion ?
Comment Harry fait de Ron le meilleur goal de tous les temps ?
Comment Harry arrive t’il à avoir le souvenir des horcruxes ?
Bref, vous l’avez compris, la magie de l’illusion, c’est du pipeau, mais ça marche (quand je vous parlai de contraste
)
Dans cet opus, Harry voit l’intérêt de cette magie, par contre dès qu’il est question de vie ou de mort, cette magie ne sert strictement à rien. Pour exemple, la scène de récupération de l’horcruxe, Harry Potter est complètement à la ramasse, pour s’en sortir il n’y a que la toute puissance de Dumbledore qui est efficace.
D’ailleurs c’est également dans cet opus, qu’Harry fait équipe avec Dumbledore, très vite refroidi (Bon j’accorde que Dumbledore un peu plus que Harry) par la réalité.
Harry se sent redevable de ce vrai intérêt de Dumbledore, par contre au vu de l’ensemble de l’œuvre je trouve que Dumbledore pousse la manipulation de Harry à son paroxysme, tiens, juste une intuition, Dumbledore est la projection de J K Rowling dans le livre, donc Dumbledore INFP.
Dans cet opus, il y a également de la complexité, notamment le personnage de Severus qui s’épaissi de plusieurs feuilles, voir même d’un livre (
). Une autre intuition, SI Te Fi Ne ISTJ pour Severus.
Mon opinionCet opus c’est le geste du magicien, qui dit « regardez bien ma main droite, n’ayez d’attention que pour ce qu’elle fait ». Ce que fait la main gauche n’est révélé qu’au dernier instant du dernier tome.
Tome 7 : les reliques de la mortAlors là, je suis dubitatif pour cet opus Il y a des bons moments, il y a des stéréotypes, il y a du gâchis, il y a des longueurs, il y a du spectacle. Je trouve que l’histoire est complètement gâchée par les effets spéciaux, les stéréotypes méchant/gentil.
Comme si ce dernier opus avait été vite fait, mal fait, en ne prenant plus ces sources dans le livre, mais dans les recettes commerciales des blockbusters. Je pense également, qu’ils auraient très bien pu ne faire qu’un seul film.
Je trouve que la mort de Rogue n’est pas à la hauteur du personnage, Dans le livre, si je me souviens bien, la scene est nettement plus puissante.
Je trouve que Voldemort et Bellatrix sont les archétypes des méchants sans âme, aveuglés par leur malfaisance ils ne comprennent pas le monde qui les entoure, ultra prévisible.
Mais j’y trouve quelques perles
Les Malefoy, ils préfèrent l’amour, au choix entre le bien et le mal.
Harry qui détruit une source à emmerde (la baguette de sureau, symbole de la toute puissance) d’un simple geste.
Mon opinion :C’est plaisant à regarder, mais je n’y retrouve pas la même intensité que dans les autres. Je dirais même que je suis déçu.
Jepense que le typage de Harry Potter s'est fait uniquement sur les 3 ou 4 derniers opus,du coups je suis d'accord avec le typage ISTP (Ti-Dom, Se-Aux, Ni-Ter, Fe-inf), Harry Potter est bien Ti-Se. Mais si onprends l'ensemble des tomes ça donne Ni-Fe-Ti-Se --> INFJ.
Pour J K rowling je maintiens INFP, et pas INFJ sur le seul argument que je suis capable d'imaginer une histoire à partir du monde réel, par contre je suis incapable de concevoir un monde imaginaire dans le détail à partir d'une histoire.
Et le final :12 nouvelles d’Harry Potter vont paraître à partir du 12/12/2014.
Quel va être le contenu ?
Allez je me lance, J K Rowling va projeter le monde des sorciers dans notre réalité. Et Harry aura pour rôle de faire cohabiter les deux mondes, à l’aide d’un ou plusieurs personnages moldus.