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| relation génétique et comportementale parents-enfants | |
| Auteur | Message |
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Invité Invité
| (#) Sujet: relation génétique et comportementale parents-enfants Mer 23 Juil 2014, 14:42 | |
| de ce que je comprends du modèle MBTI il y a 8 fonctions Si Se Ni Ne Ti Te Fi Fe j'ai compris que le modèle part du principe que le mode de gestion de l'énergie est inné. ... et si les enfants naissaient avec l'ensemble des fonctions utilisées et utilisables de leur parent. exemple un INFJ et une ISTJ (cela n'a aucun rapport avec une situation réelle ) donne un enfant avec Si mère Se père Ni père Ne mère Ti père Te mère Fi mère Fe père jusqu'à l'age de 1 à 2 ans l'enfant développe la fonction de son patrimoine génétique, qui est la meilleure réponse à l'environnement. exemple : beaucoup de changement d'environnement physique pendant cette période, le besoin de projeter activerais Ni en dominante. Puis jusqu'à 5 ou 6 ans développe, pour répondre à son environnement, la fonction auxiliaire qui équilibre la dominante. exemple : environnement émotionnel très chargé (fausse couche de la mère, père absent) activerais Fe Jusqu'à la fin de l'adolescence l'enfant développe la fonction tertiaire déduite pour équilibrer le couple dominante/auxiliaire. Malheureusement cet équilibrage n'est pas forcement la bonne réponse à l'environnement physique, puisque ce dernier évolue avec le temps. exemple : besoin de rationaliser les sautes d'humeur. Ti activé. la fonction inférieure ne se développe qu'une fois le trio dominante/auxiliaire/tertiaire stabilisé. A ce moment, se produit un événement qui mets en évidence le déséquilibre (si déséquilibre il y a ). exemple : on te demande d'exprimer les émotions que tu as rationalisé, stabilité Ni/Fe/Ti OK. Se activé. Conclusion : la gestion de l'énergie est donc inné, pas par le I ou E, mais par la sélection de la dominante. Le mode d'action serait quand à lui déterminé par le développement du couple dominante/auxiliaire. Pour moi, ça sonne juste. votre avis éclairé m’intéresse, et votre vécu si possible.
Dernière édition par henri_97 le Mer 23 Juil 2014, 16:51, édité 3 fois |
| | | Lunaire Aucun rang assigné
Type : INFJ 6w5 Sp/So Age : 55 Lieu : Belgique Emploi : Fonctionnaire Inscription : 14/04/2012 Messages : 539
| (#) Sujet: Re: relation génétique et comportementale parents-enfants Mer 23 Juil 2014, 14:56 | |
| Oui, ça sonne juste, parce que tu auto-alimentes tes dires...
L'orientation de la dominante est toujours identique à la préférence I/E... Ce n'est pas parce qu'on découvre sa fonction dominante sur base des préférence I/E et J/P (MBTI) qu'il y un soucis de dire que l'orientation de la dominante détermine les préférences I/E et J/P. D'ailleurs, pour n'importe laquelle des fonctions en dominante, les 2 axes sont automatiquement déterminé.
Exemple: Ni c'est obligatoirement INxJ, pas d'autre choix... Les 2 axes sont déterminés; Ne c'est obligatoirement ENxP, pas d'autre choix !
Si par l'analyse des la cellule familiale, on peut déterminer l'émergence de la dominante, puis de l'auxiliaire, il n'est plus besoin d'attendre que l'enfant grandisse pour connaître son type. Mais voilà, ce lien n'existe pas.
Dans les travaux de Jung, et principalement dans l'échantillon qu'il a établi, il n'y a pas de cause à effet dans ce domaine.
Jung parlait de différence de type entre frère et soeur qui apparement avait les mêmes parents et constatait qu'il n'y avait pas de corélation à faire: tantôt l'ainée était d'un type opposé aux parents et le cadet "adoptait" un type proche; tantôt l'ainé avait un type proche des parents, et le cadet l'inverse...
Par contre, avoir une cellule familiale d'un certain type peut favoriser l'épanouissement d'un enfant d'un certain type (et j'insiste encore sur le cas de parent SJ avec des enfants NF).
Donc, l'orientation d'attitude demeure inné, quelque soit l'apport génétique ou l'environnement éducatif. |
| | | Invité Invité
| (#) Sujet: Re: relation génétique et comportementale parents-enfants Mer 23 Juil 2014, 16:48 | |
| - Lunaire a écrit:
Si par l'analyse des la cellule familiale, on peut déterminer l'émergence de la dominante, puis de l'auxiliaire, il n'est plus besoin d'attendre que l'enfant grandisse pour connaître son type. Mais voilà, ce lien n'existe pas.
Dans les travaux de Jung, et principalement dans l'échantillon qu'il a établi, il n'y a pas de cause à effet dans ce domaine. Attention, je ne dis pas que l'enfant aura forcement une dominante identique à l'un de ces parents. Je dis que les parents transmettent l'ensemble de leurs fonctions utilisées et utilisables à leur enfant. La sélection du dominant se fait dans ce panel de fonctions utilisées et utilisables des parents, par réponse à l'environnement. Ainsi des parents ISTJ et INFJ peuvent donner tous les types, puisque les 8 fonctions sont couvertes par les deux profil ISTP, INFJ. exemple : des parents ESTP et ESFP ne peuvent donner un enfant ENFP, ENTP puisque la fonction Ne n'est presente ni chez l'un ni chez l'autre. |
| | | Lunaire Aucun rang assigné
Type : INFJ 6w5 Sp/So Age : 55 Lieu : Belgique Emploi : Fonctionnaire Inscription : 14/04/2012 Messages : 539
| (#) Sujet: Re: relation génétique et comportementale parents-enfants Mer 23 Juil 2014, 17:29 | |
| Ton approche permet une multitude de possibilité et comme les opposés s'attirent ou encore que l'on cherche réponse à nos propres fonctions, et est fort à parier que des parents compteront toujours une majorité de fonction. Dés lors, les cas qui infirmeraient ta vision sont peu nombreux...
Mais voilà... Je suis ce cas, mes parents ne possèdent pas de Ni mais du Ne (INTP et ISFP).
Et je pense que sur ce forum, il y aura d'autre cas similaire, et souvent avec les fonctions de perception. Du côté des fonctions de jugement, tu aurais encore bien raison...
Mais... Si des parents jeunes ont des enfants... Comment l'enfant va développer une fonction que les parents ne maîtrisent pas encore ? On maîtrise la fonction inférieur assez tard dans la vie et la tertiaire n'est pas systématiquement maîtrisée à l'âge de 20 ans pour des extravertis. Donc...
Voilà, voilà... |
| | | @ Green Aucun rang assigné
Type : INFP 9 FP-NF Age : 28 Lieu : Terre Emploi : Être humain Inscription : 19/03/2014 Messages : 783
| (#) Sujet: Re: relation génétique et comportementale parents-enfants Mer 23 Juil 2014, 18:58 | |
| Mon frere est INTJ comme mon pere. Ma soeur ISTJ et ma mere ISFJ.
Reste moi qui suis le seul P de la famille, Fi dom en plus... |
| | | Invité Invité
| (#) Sujet: Re: relation génétique et comportementale parents-enfants Mer 23 Juil 2014, 19:29 | |
| Et si on retire la composante génétique.
Il reste la réponse à l environnement ?
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| | | Lunaire Aucun rang assigné
Type : INFJ 6w5 Sp/So Age : 55 Lieu : Belgique Emploi : Fonctionnaire Inscription : 14/04/2012 Messages : 539
| (#) Sujet: Re: relation génétique et comportementale parents-enfants Mer 23 Juil 2014, 19:36 | |
| Possible que l'environnement détermine l'auxiliaire. |
| | | Chase El Pacificator ChasingStarlight, le Besancenot de l'Ego
Type : INFP Age : 31 Lieu : Higher Emploi : J'bicrave des rimes Inscription : 10/01/2012 Messages : 3253
| (#) Sujet: Re: relation génétique et comportementale parents-enfants Mer 23 Juil 2014, 21:18 | |
| Pourquoi forcément des parents et non de plus anciens ? |
| | | Myst Prophète du Ne aux
Type : INFP Age : 34 Lieu : . Emploi : . Inscription : 20/12/2009 Messages : 887
| (#) Sujet: Re: relation génétique et comportementale parents-enfants Mer 23 Juil 2014, 21:29 | |
| Le sujet a été abordée plusieurs fois ici, sans que personne ne sache réellement qu'elle est la part d'acquis et d'inné dans le type, et ce qui favorise l’essor de tel ou tel fonctionnement cognitif.... Il faudrait une étude expérimentale extrêmement poussée qui n'a je crois jamais été faite, en prenant en compte le type des parents et de la fratrie, en tenant compte d'échantillons proportionnels (par exemple, 200 parents Si dom, 200 Ti, 200 dont un parent Fe et l'autre Si, etc...) avant de pouvoir éventuellement observer une dynamique et des liens de causalités hypothétiques concernant les fonctions émergentes de l'enfant en lien avec le contexte "cognitif" familial ainsi que l'éducation, sur un nombre élevé d'individus. Plusieurs points paraissent contradictoire avec l'idée d'un bagage génétique déterminant le type ou d'une mécanique de reproduction d'un type dans une famille, bien que cela puisse arriver : - Comment interpréter les différences dans une même fratrie ? - Comment expliquer qu'il y ai des profils complètement contradictoires avec leur parents ou avec leur famille au sens large ? Des enfants N dans des familles à 90% S, ou l'inverse ? Pour illustrer, je n'ai AUCUNE fonction en commun avec mon père, il est ISTP (Ti-Se-Ni-Fe) et je suis INFP (Fi-Ne-Si-Ne); par contre nous avons le même type énneagramme. Je ne pense pas que le type soit soumis à un "héritage" biologique, et l’influence contextuel me parait difficile à saisir; Je pense que le type détermine en grande partie notre attitude et nos réactions possibles par rapport à notre univers familial et de notre éducation. On peut penser logiquement que les enfants Si dom reproduisent plus facilement des schémas parce que leur fonction dominante les prédisposent à agir comme tel, ce qui n'est pas nécessairement le cas d'enfants DE Si dom, qui peuvent avoir une attitude inverse. Après, comprendre le mécanisme qui a poussé, probablement inconsciemment, un enfant de Si dom (ISxJ) en Ne dom (ENxP), alors que la même situation ailleurs dans un contexte à peu près similaire peut engendrer un enfant d'un type encore différent, il faudrait considérer une infinité de facteurs, et on s'en sort plus...Il faudrait qu'un psychologue-sociologue un peu maso ponde une thèse de 1000 pages et des années de boulots pour arriver à des conclusions solides.... En ce qui me concerne, sans prendre en considération mes parents dont l'influence est difficile à cerner avec précision de mon point de vu (une comparaison avec une situation alternative n'est pas possible...) je pense que quelques facteurs ont déterminés (à quel degré j'en sais rien) le développement de certaines fonctions. Petit j'étais assez imaginatif et je passais pas mal de temps seul, bien que j'appréciais la compagnie des autres enfants, je pouvais d'ailleurs m'intégrer facilement et j'étais relativement sociable, tout en ayant une certaine timidité, notamment avec les adultes. Cela dit, j'aimais beaucoup me plonger dans mes mondes imaginaires, stimulé par ce que je voyais (films, livres, histoires, bandes dessinées, jeux vidéos...ou même n'importe quoi quand on m'emmenait dans un lieu, même en regardant les pavés d'une rue, je me créeais un scenar ou des jeux, je me mettais en scène mentalement avec des personnages etc...) ou que je créais moi-même (j'avais même des sortes d'amis imaginaires ), parfois pour fuir l'ennui ou pour m'occuper seul, probablement une manière de "dompter" la solitude ou d'en faire quelque chose, ou de crée une auto-suffisance mentale. A l'école, je papillonnais parmi plusieurs "groupes" sans nécessairement m'attacher à un en particulier. Bref, le Pe était déjà là ( le Fi aussi probablement, mais pas aussi "clairement" que plus tard, de mon point de vue), et c'était plutôt de l'intuition extravertie en devenir à première vue, et ces traits là je les ai conservés en partie à l'âge adulte Je pense qu'il y avait un environnement favorable pour celle-ci, des mécanismes que j'ai du cultivé à un certain moment en réaction à un contexte donné...et que si celui-ci avait été différent il est possible que d'autres fonctions aient pu émerger (mais impossible de le savoir...xD)
Dernière édition par Ekr3visse le Mer 23 Juil 2014, 22:00, édité 5 fois |
| | | Invité Invité
| (#) Sujet: Re: relation génétique et comportementale parents-enfants Mer 23 Juil 2014, 21:30 | |
| - Chase a écrit:
- Pourquoi forcément des parents et non de plus anciens ?
Et pourquoi pas ? Quand tu dis ancien, je pense dépositaire du savoir ou affiliation ancienne. Peux tu développer ta propre notion d ancien ? |
| | | Tia Aucun rang assigné
Type : INFJ Age : 43 Lieu : Paris Emploi : non renseigné Inscription : 02/09/2013 Messages : 743
| (#) Sujet: Re: relation génétique et comportementale parents-enfants Jeu 24 Juil 2014, 00:41 | |
| Je plussoie fortement notre crustacé préféré - j'ai vraiment du mal à me faire à ce nouveau pseudo... - j'ajouterais qu'aucun de mes parents n'a Fe ou Ti, histoire d'ajouter mon caillou à notre maigre échantillonnage. En revanche, je me suis toujours sentie très proche de ma grand-mère, que j'aurais tendance à typer xSFJ, sans preuve.. voilà pour les "anciens", ma version. Ceci dit, je ne crois guère en cette jolie théorie.. |
| | | Guinea Pig Disciple de Caligula
Type : x Age : 44 Lieu : Belgique Emploi : - Inscription : 08/06/2014 Messages : 1360
| (#) Sujet: Re: relation génétique et comportementale parents-enfants Jeu 24 Juil 2014, 00:57 | |
| Tia, des fois tu parles juste pour parler ? C'est facile au quotidien ? |
| | | Tia Aucun rang assigné
Type : INFJ Age : 43 Lieu : Paris Emploi : non renseigné Inscription : 02/09/2013 Messages : 743
| (#) Sujet: Re: relation génétique et comportementale parents-enfants Jeu 24 Juil 2014, 01:01 | |
| oui ! c'est justement ça, la facilité... |
| | | Guinea Pig Disciple de Caligula
Type : x Age : 44 Lieu : Belgique Emploi : - Inscription : 08/06/2014 Messages : 1360
| (#) Sujet: Re: relation génétique et comportementale parents-enfants Jeu 24 Juil 2014, 01:03 | |
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| | | Kabo Aucun rang assigné
Type : INFP Age : 38 Lieu : . Emploi : . Inscription : 15/05/2014 Messages : 185
| (#) Sujet: Re: relation génétique et comportementale parents-enfants Jeu 24 Juil 2014, 22:09 | |
| - Citation :
- - Comment interpréter les différences dans une même fratrie ?
- Comment expliquer qu'il y ai des profils complètement contradictoires avec leur parents ou avec leur famille au sens large ? Des enfants N dans des familles à 90% S, ou l'inverse ? Pour illustrer, je n'ai AUCUNE fonction en commun avec mon père, il est ISTP (Ti-Se-Ni-Fe) et je suis INFP (Fi-Ne-Si-Ne); par contre nous avons le même type énneagramme. Faux problème: Un daltonien peut l'être sans que ses parents le soient. Et pourtant, le déterminisme du daltonisme est génétique. Suffit que l'allèle impliquant une certaine fonction soit récessif. 2e solution pour résoudre ça: Si la fonction est déterminé par un gène présent en plusieurs copies, il peut y avoir un effet seuil. De telle concentration à telle concentration de telle protéine, tel effet ; et ainsi de suite... Et je reste au niveau où c'est codé par un gène uniquement, en excluant l'influence de l'interaction gènes-environnement. |
| | | Awander Aucun rang assigné
Type : INFP 9w1 (6w5 ou 5w6-3w...?) sp/so Age : 31 Lieu : Terre Emploi : Etudiant Inscription : 13/10/2013 Messages : 646
| (#) Sujet: Re: relation génétique et comportementale parents-enfants Dim 27 Juil 2014, 09:28 | |
| Je penses qu'il y'a une grande influence génétique (les chiens ne font pas des chats? ). Ça dépend aussi de la façon dont on réagit face à l’environnement et ses aléas, mais ça c'est aussi en grande partie déterminé génétiquement. Confronté à des traumatismes , certains ça va les rendre plus forts, certains vont rester optimiste, d'autres non. C'est pas les parents l’élément déterminant dans la construction de notre caractère mais le patrimoine génétique dans son ensemble. L'éducation a quand même une influence. Comme je l'ai dit sur un autre topic, une plante qui pousse dans un mauvais terreau sera une mauvaise plante, qui ne prendra pas beaucoup de place et qui aura l'air fané avant l'âge alors qu'une plante poussant dans un environnement adéquat sera une plante épanouie, qui prendra de la place. Le libre arbitre a aussi son importance: il y'a les prédispositions génétiques et ce que t'en fait. Cependant, dans le jeu de la loterie génétique, on a tous beaucoup de numéros mais on a tous des numéros différents, il y'en a qu'on a pas et que d'autres ont... évidemment les numéros gagnants seront "plus gagnants" chez d'autres. Je dirais que des ISFP ont peu de chances de faire un ENTJ, mais en avoir un ou plusieurs dans ses "ancêtres proches" augmente les chances d'en faire un. De même qu'un ISFP peut avoir un degré naturel assez élevé de Te pour un ISFP, si l'un de ses parents l'est par exemple. C'est pas vraiment lié à l'éducation: tu peux être élevé par des Ne et être tout l'opposé. Sinon il y'a aussi cette histoire de gènes récessifs au contact d'autres gènes... - Kabo a écrit:
- Un daltonien peut l'être sans que ses parents le soient.
Et pourtant, le déterminisme du daltonisme est génétique. Voila. Pour ce qui est de traits de caractère, on sait que certains trucs comme le degré d'énergie (le TDAH par exemple a une composante innée) la capacité de leardership ou encore la psychopathie ont une influence génétique. Voici quelques articles, à prendre avec du recul quand même (surtout le dernier): Le neurobiologiste qui a découvert qu'il était psychopathe: http://www.sciencepresse.qc.ca/blogue/2013/11/25/neurobiologiste-decouvert-quil-etait-psychopathe Psychopathes: un test ADN peut révéler un risque de récidive: http://www.lapresse.ca/sciences/genetique/201009/22/01-4317996-psychopathes-un-test-adn-peut-reveler-un-risque-de-recidive.php Comment vos gènes déterminent votre autorité: http://www.huffingtonpost.fr/2013/01/15/comment-vos-genes-font-de-vous-ou-non-un-leader_n_2481138.html |
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