Bonjour à tous,

Apparemment, nous sommes quelques-uns à apprécier une partie d'échec de temps en temps.

Voici un lien qui vous permet bien des choses vis-à-vis de ce jeu de stratégie.



Plus particulièrement, ma relation au jeu d'échec, ma façon de jouer, mon approche, etc...

Je suis attentif à ce qui bouge et j'émets une hypothèse séquentiel à partir du coup joué. Je suis piégé par les fourchettes (avec un cavalier ou un échec au roi et une pièce ciblée derrière le roi ou encore une menace en ligne sur 2 pièces). Pour le reste, j'ai un jeu très intuitif: je sens d'avantage le bon coup à jouer avant de l'analyser stratégiquement. Par contre, je compte l'équilibre du jeu en attribuant des valeurs aux pièces: pion 1, fou/cavalier 3, tour 5, reine 10. Je peux ainsi évaluer mon avance en terme de perte. J'évalue aussi le jeu sur base de pièce immobilisée comme les tours en début de partie. Je donne plus de poids aux cavaliers en début de partie et aux fous en fin de partie, avec cependant l'idée que le cavalier peut fonctionner seul alors que le fou doit fonctionner avec d'autres pièces. Je vais aussi défendre mes pions et je ne les sacrifierais pas pour rien. J'ai un jeu agressif aussi car j'échange les pièces avec mon adversaire pour faire place net. Je joue très mal ma reine et préférerai l'échanger contre la vôtre.

Voilà, voilà...

Et si vous voulez faire une petite partie, c'est quand vous voulez

Merci pour ce lien, lunaire. L'échange de dames, plus encore que d'autres pièces, ne se fait pas à la legère, mais en fonction de la position...Un sacrifice n'est jamais pour rien, et comme disait Nimzovitch (que je soupconne d'être infj, pas juste pour le Ni de Nimzovitch) la menace est plus forte que l'execution...un peu comme dans la vie en somme.volontiers pour une partie.

Je serais ravi de jouer,

Je joue à l'instinct, recalculant tout à chaque coup, sauf lorsque je met une stratégie que j'essaye donc d'adapter aux mouvements adverses.

J'aime beaucoup le concept de protection indirecte.