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| Le prix à payer pour être des "guérisseurs" ? ... | |
| Auteur | Message |
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Chase El Pacificator ChasingStarlight, le Besancenot de l'Ego
Type : INFP Age : 31 Lieu : Higher Emploi : J'bicrave des rimes Inscription : 10/01/2012 Messages : 3253
| (#) Sujet: Le prix à payer pour être des "guérisseurs" ? ... Jeu 21 Fév 2013, 23:22 | |
| Je pense que si on appelle le type INFP guérisseur, c'est parce qu'il comprend souvent plus ou moins la souffrance de l'autre, et ce qu'il faut faire pour la guérir.. en revanche en auto-guérison je crois qu'on est pas très forts ^^. C'est une chose que le font souvent remarquer les autres types : on déprime facilement. Trop sensibles ? Peut-être. Après je crois perso que c'est justement parce qu'on "ressent" plus intensément et plus souvent la souffrance que d'autres (à relativiser évidemment, je parle des gens de types différents pour des problèmes de gravité similaires) qu'on est plus à mènes de la guérir chez d'autres.. Qu'en pensez vous ? |
| | | Invité Invité
| (#) Sujet: Re: Le prix à payer pour être des "guérisseurs" ? ... Ven 22 Fév 2013, 00:13 | |
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Dernière édition par zizania le Dim 21 Avr 2013, 19:34, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| (#) Sujet: Re: Le prix à payer pour être des "guérisseurs" ? ... Ven 22 Fév 2013, 00:23 | |
| @Chasing
Au contraire, les INFP sont ceux qui ont la meilleure résilience, c'est à dire la capacité à utiliser leurs expériences négatives pour en faire quelque chose de positif. En gros, on transforme le vécu douloureux en moyen de guérir des souffrances autour de nous.
@Zizania
L'altruisme est tourné à la fois vers l'autre et vers soi, ce n'est pas tout l'un ou tout l'autre. |
| | | antihero Aucun rang assigné
Type : INFP 15w50 300V miscibilité optimale Age : 44 Lieu : Nihilie Emploi : consulte, accompagne................. et beaucoup+si aff^^ Inscription : 04/02/2013 Messages : 108
| (#) Sujet: Re: Le prix à payer pour être des "guérisseurs" ? ... Ven 22 Fév 2013, 08:06 | |
| En ce qui concerne l'auto-guérison, j'essaie bon gré mal gré cette technique et suis en échec relatif depuis maintenant 5 ans... Nan... y'a pas à dire, c'est quand je me fais aider que je vais le mieux... -à contrario, pour ce qui est d'aider les autres, c'est facile, mais ça peut évidemment devenir un piège : celui de disparaître derrière la souffrance de l'autre : un genre d'Effaceur... Je dirais donc que le prix à payer est de soi-même s'oublier ou à minima, de s'effacer du devant de la scène (pour utiliser une expression qui fait echo à l'experience du spectacle de la vie)... |
| | | Etsivät Rauhaa Aucun rang assigné
Type : INFPaix 9w? Age : 34 Lieu : Lorraine Emploi : Etudiant Inscription : 30/01/2013 Messages : 46
| (#) Sujet: Re: Le prix à payer pour être des "guérisseurs" ? ... Sam 23 Fév 2013, 09:48 | |
| - Citation :
- l'altruisme peut être purement égoïste ?
Vous avez 4h ...! Personnellement, je vois dans ceux que j'"aide" mon propre reflet. Et c'est ainsi que je m'"aide", c'est en reconnaissant en l'autre un blocage, une souffrance que je porte en moi. Parfois je me sens comme dispatché dans un jeu de rôle, en train de venir en aide à différentes parties de moi. D'ailleurs, je pense qu'on est tous un Dieu Unique et qu'on s'est séparés dans la matière pour faire l'expérience de se connaître. Mais chut... |
| | | Chase El Pacificator ChasingStarlight, le Besancenot de l'Ego
Type : INFP Age : 31 Lieu : Higher Emploi : J'bicrave des rimes Inscription : 10/01/2012 Messages : 3253
| (#) Sujet: Re: Le prix à payer pour être des "guérisseurs" ? ... Sam 23 Fév 2013, 12:40 | |
| C'est vrai que soulager la souffrance des autres soulage la mienne.. - Etsivät Rauhaa a écrit:
- Parfois je me sens comme dispatché dans un jeu de rôle, en train de venir en aide à différentes parties de moi.
D'ailleurs, je pense qu'on est tous un Dieu Unique et qu'on s'est séparés dans la matière pour faire l'expérience de se connaître. Mais chut...
Haha je crois qu'on a à peu près la même vision au fond ^^, nous sommes tous des esprits inter-connectés et nous faisons qu'un en vérité.. guérir les autres nous guérit nous même. Et j'avoue que je m'entends souvent mieux avec les gens malheureux que les gens heureux. Mais à côté de ça, le fait qu'on prenne les choses souvent trop à coeur, qu'on "ressente trop", je pense que c'est le versant contraire de cette capacité à "guérir". |
| | | Etsivät Rauhaa Aucun rang assigné
Type : INFPaix 9w? Age : 34 Lieu : Lorraine Emploi : Etudiant Inscription : 30/01/2013 Messages : 46
| (#) Sujet: Re: Le prix à payer pour être des "guérisseurs" ? ... Sam 23 Fév 2013, 14:33 | |
| - ChasingStarlight a écrit:
Mais à côté de ça, le fait qu'on prenne les choses souvent trop à coeur, qu'on "ressente trop", je pense que c'est le versant contraire de cette capacité à "guérir".
Oui, tout à fait |
| | | OdonDeSaintAmand Traducteur
Inscription : 29/10/2012 Messages : 850
| (#) Sujet: Re: Le prix à payer pour être des "guérisseurs" ? ... Lun 25 Fév 2013, 14:29 | |
| - Etsivät Rauhaa a écrit:
D'ailleurs, je pense qu'on est tous un Dieu Unique et qu'on s'est séparés dans la matière pour faire l'expérience de se connaître. Mais chut...
*note pour sa prochaine idée de campagne* |
| | | Lylortantyk Aucun rang assigné
Type : NF Lieu : Ici et là Emploi : Services à la Personne Inscription : 21/02/2013 Messages : 174
| (#) Sujet: Re: Le prix à payer pour être des "guérisseurs" ? ... Lun 25 Fév 2013, 15:24 | |
| - Citation :
- en revanche en auto-guérison je crois qu'on est pas très forts
L'auto-guérison dépends de facteurs tellement complexes que je ne suis pas sure qu'on puisse résumer nos capacités en la matière aux seules spécificités de nos profils MBTI... une personne qui a du lutter très jeune pour sa survie, en développant toute une palette d'outils d'adaptabilité (et une très forte résilience) a peut-être plus de motivation qu'une autre (peut-être moins confrontée à ce type de vécu, ou beaucoup plus modérément) à s'en servir et à en développer. On peut aussi refuser de passer par l'auto-guérison en autodidacte pour aller mieux, même en mode INFP, mais opter directement pour un professionnel dont c'est le métier (une auto-guérison "guidée" donc) (pour avoir testé les deux méthodes, elles sont à mon sens complémentaires!) On peut tous êtres des "guerriers de lumière" au sens de Paulo Coehlo (je débute la lecture de ce livre, il a une philosophie toute particulière sur le sujet...); Ce que je me demande plutôt, c'est quels sont les outils d'auto-guérison que chacun met en place en fonction de son profil? Et vous semblent-ils efficaces? (c'est quoi d'ailleurs l'auto-guérison efficace ) Pour moi (INFP) c'est clairement une approche via les arts et l'utilisation de la créativité, quand je suis au plus bas (l'écriture notamment). Quand ça va bien (ou moins mal du moins) je poursuis avec les recherches à but d'auto-développement. Les sujets que j'explore sont très cycliques, je vais dans le détail et les ramifications en parallèle s'effectuent à mon insu, provoquant des eurékas petit à petit (faut que ça marine ) (mode neuro-droitier?) J'ai l'habitude de compulser tout ce que je peux trouver sur les sujets qui me sont douloureux (toujours en passant par la vue globale d'abord, et je descend ensuite), afin d'en extraire ensuite mon propre point de vue (que ce soit des bouquins, interviewer des spécialistes du domaine, en discuter avec d'autres concernés etc etc). Ca fait un méga clafouti, et j'essaye de trouver un fil rouge qui me parle (et qui n'est pas celui qu'on peut trouver dans des ouvrages généralistes sur le thème); je le relie ensuite à d'autres problématiques. Et je me sens mieux comme ça (même si parfois je me fourvoie totalement... car j'omets de gros passages à prendre en compte, du fait qu'ils n'entrent pas dans mes priorités affectives) (et que du coup j'élabore des visions qui me sont tellement personnelles, que peu de gens peuvent les comprendre, ou alors ça me prends beauuuuuuucoup de temps à expliquer) Cette réaction me semble typiquement liée à mon profil par contre! (j'ai parfois des constructions théoriques complètement farfelues, mais cohérentes de mon point de vue - que je peux toujours justifier) (mais encore faut-il que la personne en face ait l'envie de me comprendre, et ne juge pas mes méthodes de réflexion) Un INFP pour moi a toutes ses chances de bien avancer sur des voies de développement personnel pour son bien-être à lui, à partir du moment ou il prends le temps de se poser pour mieux se comprendre (au lieu de toujours chercher à comprendre les autres), je rejoins les avis postés plus haut à ce sujet. Je regardais un dessin-animé l'autre jour qui résume bien l'idée, un protagoniste qui sort à l'autre: "tu veux essayer de me comprendre alors que t’arrive même pas à te comprendre toi-même?" On peut le faire sans problèmes, mais ce serait se priver d'un recul beaucoup plus réaliste... dans le sens moins personnel (or le problème pour moi de l'INFP, c'est qu'il a du mal à concevoir d'autres réalités que la sienne comme tout aussi logiques parfois et cohérentes, du fait de son attachement phénoménal à son propre système de valeurs) (il peut comprendre d'autres façons de penser bien sur, mais les accepter, les faire entrer comme critères d'analyse pour éviter le jugement ce n'est pas instinctif... surtout quand ces fonctionnements vont à l'encontre de ses valeurs à lui) Passer par la case "auto-guérison" est donc nécessaire pour moins souffrir de ça, et s'ouvrir à la différence. Peut-être que la route est dure et sinueuse (vu les fourvoiement que j'évoque plus haut) avant d'être efficace (c'est pour ça que tu dis qu'un INFP a du mal avec l'auto-guérision?) , mais la ténacité et la volonté de refuser le fatalisme ça aide Je fais la transition sur une autre question: - Citation :
- l'altruisme peut être purement égoïste ?
Ca me rappelle un blog qui m'avait beaucoup touché, ou l'auteur a abordé la notion "d’égoïsme altruiste".... Vous pouvez consulter son article ici. http://alteretego.canalblog.com/archives/2005/09/20/822313.html Je préfère aussi renverser ces deux mots Si on part du principe que se regarder le nombril, ne penser qu'a soi, est égoiste, on peut avoir du mal à concevoir que l'égoisme est altruiste. Mais si on se dit que l'altruisme non égoiste ne peut passer que par l'amour de soi en préalable, alors il faut être égoiste... (ne pas confondre avec narcissique!) parce qu'on ne peut pas forcément BIEN aimer l'autre, si on ne s'aime pas soi-même (et pour s'aimer soi-même, bien souvent la route est longue, et il faut d'abord ne penser qu'a soi) (et ça ne passe pas toujours par les bouquins d'ailleurs, d'ou la question des outils d'auto-guérison que vous avez choisi) Dernière question, que pensez vous de la citation (de je ne sais plus qui) qui dit que la lanterne de l'expérience n'éclaire que le dos de celui qui la porte? Est-ce qu'on ne peut pas faire un parallélisme avec ces outils d'auto-guérison, et le fait qu'on ne peut pas forcément trouver des réponses chez les autres...? - Citation :
- pour ce qui est d'aider les autres, c'est facile
Sauf que parfois on croit aider, alors qu'en fait on fait tout le contraire (d'un autre point de vue...) |
| | | Eldroth Aucun rang assigné
Type : INTP Age : 47 Lieu : Montréal Emploi : Gestionnaire de données Inscription : 15/03/2012 Messages : 205
| (#) Sujet: Re: Le prix à payer pour être des "guérisseurs" ? ... Mar 26 Fév 2013, 00:47 | |
| - Lylortantyk a écrit:
- Ca fait un méga clafouti, et j'essaye de trouver un fil rouge qui me parle (et qui n'est pas celui qu'on peut trouver dans des ouvrages généralistes sur le thème); je le relie ensuite à d'autres problématiques. Et je me sens mieux comme ça (même si parfois je me fourvoie totalement... car j'omets de gros passages à prendre en compte, du fait qu'ils n'entrent pas dans mes priorités affectives) (et que du coup j'élabore des visions qui me sont tellement personnelles, que peu de gens peuvent les comprendre, ou alors ça me prends beauuuuuuucoup de temps à expliquer)
Cette réaction me semble typiquement liée à mon profil par contre! J'trouve que c'est une réaction tout à fait "normale" (typique) pour un INxP qui "doit utiliser" (s'il ne fait pas d'effort pour changer sa façon naturelle de parler) le Ne pour communiquer quelque chose d'infiniment personnel (Ti ou Fi). D'un côté comme de l'autres (F ou T) il n'est pas facile de se rendre compte que notre interlocuteur, même s'il est du même T ou F que nous, n'a pas forcément le "i" (valeurs/principes) qui sont pour nous "la source de tout". Ou, plus simplement, de garder ne tête que notre point de vu est subjectif et donc il peut être carrément faux même si tout nous montre le contraire. La problématique de "comprendre que l'autre vie les choses différamment" est partagée par tout les types, mais de par ce qui est important pour chacun, va être vécu assez différamment. C'est pour ça que je crois que pour tout les types, l'auto-guérison se fait relativement de la même manière: En souvrant aux différentes façon de penser des autres (ce qui va grandement varier d'un type à l'autre) pour ensuite appliquer cette pommade (ces pommades: je crois qu'on ne devrait pas puiser d'une seule source) où on en a le plus besoin. Évidemment, trouver où mettre quoi peut être aussi compliquer à trouver... J'crois que dans un même type, ce qui marche pour un ne s'applique pas forcément à l'autre, mais ça risque d'être semblable. Comme Lylortantyk (et probablement d'autres...) a dit, le vécu familial, culturel, etc. influence qui on est, nos blessures et donc aussi comment les "guérir". Pour avoir aussi déjà été en thérapie, le thérapeute apporte un point de vu différent, mais c'est toujours nous tirons nos conclusions et donc notre évolution (oui, mal guidé ("mal guidé" peut être dû au "guide", mais je crois que notre ouverture d'esprit ainsi que le choix du guide nous revient en grande partie (dans les 100%, tant qu'à moi), j'suis pas mal sûr qu'on peut tout aussi bien régresser que progresser) Je ne sais d'expérience que pour les Ti, mais j'imagine que ça doit être semblable pour les Fi: Pour nous, ce qu'on considère illogique ne l'est pas forcément. Il est très dur de garder en tête que "tout" ce qu'on considère logique l'est pour nous. C'est notre logique, selon nos observations et conclusions. Et c'est souvent de là que viennent les problèmes. Il "faudrait" garder en tête le plus souvent possible que les autres ont d'autres observations et donc forcément d'autres conclusions et que pour eux c'est autant valable que pour nous. Qu'il est très plausible que si on avait eu exactement les même observations, vécu, scolarité, etc. On aurait les mêmes conclusions. Ils ne sont pas débiles parce qu'ils ne voient pas notre logique.. Pour les INFP, ça doit être semblable mais évidemment axé autour du Fi. J'avoue que ce dont j'parle tourne autour de problèmes de communication parce que c'est là que j'excèle. J'suis plein de ces problèmes, j'veux dire donc il est fort possible que le lien Fi/Ti ne se fasse pas pour vous selon la nature du/des problèmes à travailler. - Lylortantyk a écrit:
- Un INFP pour moi a toutes ses chances de bien avancer sur des voies de développement personnel pour son bien-être à lui, à partir du moment ou il prends le temps de se poser pour mieux se comprendre (au lieu de toujours chercher à comprendre les autres), je rejoins les avis postés plus haut à ce sujet.
J'crois aussi. Et c'est autant valable pour tout les types. La nature du INFP fait peut-être que c'est moins évident... Mais je ne crois pas. si je compare, évidemment, avec le Ti, il est complètement illogique de rejeter le point de vu des autres sans l'avoir validé ou invalidé, mais c'est pourtant ce qu'on fait. Pourtant on déteste au point que ça soit difficilement concevable l'illogisme (mais faut se rappeler que pour le Ti, "logique" = "logique subjective" même s'il va lutter tant qu'il peut pour le nier). Bref, de par leur aptitude à aider les autres (que ce soit illusoire ou réel) et leur difficultées à l'auto-guérison (qui, je crois est simplement "normal" et non pas propre au type), la contraste est si apparente qu'on juge à tort que ce soit pour eux plus difficile. On a tous nos problèmes et j'suis certain que laissé à l'abandon, ils deviendront pas mal tous égaux même si différents de nature. |
| | | Kyrh Aucun rang assigné
Type : INFP Age : 31 Lieu : Nantes Emploi : Etudiant Inscription : 05/03/2013 Messages : 11
| (#) Sujet: Re: Le prix à payer pour être des "guérisseurs" ? ... Mer 06 Mar 2013, 22:53 | |
| Etsivät Rauhaa Aleluia tu as -pour en tout cas- absolument raison! Ta représentation de jeu de rôles et de "parties de soi" est exactement comme je l'entends, en aidant telle personne qui a tel problème je m'aide moi-même. Et plus je suis torturé , plus je suis sensible vis à vis de la souffrance des autres : en les aidant, je m'aide. C'est quand même fou ca !
Aïkido: t'en es certain que tous les INFP transforment le négatif en positif? J'aime à croire que c'est vrai et c'est effectivement la solution que j'ai trouvée poour aller mieux. Et on dit que je suis "toujours positif" (enfin, vous savez bien, c'est ce que les gens voient) mais en même temps je ne sais pas si ca a un rapport avec le fait "d'appartenir" à la catégorie INFP ou si c'est seulement moi |
| | | Lylortantyk Aucun rang assigné
Type : NF Lieu : Ici et là Emploi : Services à la Personne Inscription : 21/02/2013 Messages : 174
| (#) Sujet: Re: Le prix à payer pour être des "guérisseurs" ? ... Jeu 07 Mar 2013, 21:22 | |
| J'aimerais revenir sur le mot "guérisseur", qui est souvent le qualificatif de l'INFP sur les sites évoquant le MBTI... Comment vous le définissez ce mot? Et que pensez-vous de l'idée de "guérir autrui", est-ce un mal ou un bien? - Citation :
- ...qu'il est plus simple de s'occuper des autres que de soi-même...
- Citation :
- pour ce qui est d'aider les autres, c'est facile, mais ça peut évidemment devenir un piège
- Citation :
- si on appelle le type INFP guérisseur, c'est parce qu'il comprend souvent plus ou moins la souffrance de l'autre, et ce qu'il faut faire pour la guérir..
J'aimerais bien avoir notamment le témoignage d'un INFP qui refuse de guérir les autres, selon sa définition, que j'aimerais bien connaitre aussi Merci |
| | | Invité Invité
| (#) Sujet: Re: Le prix à payer pour être des "guérisseurs" ? ... Ven 08 Mar 2013, 00:02 | |
| De mon point de vue, la réponse semble couler de source : se respecter soi-même a toujours la priorité sur les autres. OK pour aller "guérir" les autres, mais ça prend une certaines stabilité chez soi (besoins relativement comblés, assurance en soi pour être ouvert à l'autre et ne pas lui imposer une "guérison" de force). Les principales blessures viennent de l'ordre qui n'est pas respecté, en remontant la chaînes des "pourquoi" une tentative d'aide finit mal, on en arrive souvent là. Se connaître soi-même, c'est pas inné Mais je ne suis pas INFP alors je sors... |
| | | Contenu sponsorisé
| (#) Sujet: Re: Le prix à payer pour être des "guérisseurs" ? ... | |
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| | | | Le prix à payer pour être des "guérisseurs" ? ... | |
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