Tout d'abord, bonjour, me voilà nouvellement inscrite sur ce forum.
Difficile de se lancer, moi qui ai horreur de parler de moi, j'ai un peu de mal à savoir par où commencer.

Tout d'abord, je dois dire que j'ai survolé quelques post précédents, et je me retrouve un peu dans certain propos de Chasing.
Vous l'aurez surement compris, ce soir je souhaite écrire parce que ça ne va pas fort, et peut-être trouverais-je ici des réponses réconfortantes.

Ce n'est pas évident de trouver un titre à un message, mais celui-ci résume, je pense, la situation, et est le coeur du problème, enfin je crois!
J'ai besoin des autres, la solitude me pèse, et j'ai constamment besoin de sentir et surtout de voir que je compte pour quelqu'un. Seulement je n'arrive pas à aller vers les autres. Je suis en couple, et mon ami me conseille souvent de sortir, et moi même je me plains de n'avoir que très peu d'ami(e)s, seulement je n'arrive pas à m'en faire car pour moi, l'amitié est un réel investissement. Si je compte sur quelqu'un, je dois avoir une entière confiance en lui et il ne doit pas prendre cette amitié à la légère. Ca m'est arrivé plusieurs fois d'être déçue, de couper les ponts car j'en ai été blessée. D'écrire ceci me donne l'impression d'être très exigeante... En fait soit je me donne entièrement, soit pas du tout, je suis incapable de l'entre deux.
Je ne me sens donc pas capable de me faire tout un tas d'ami(e)s pour sortir, et j'en souffre car j'aimerais être quelqu'un de "normal" qui puisse sortir et avoir des relations. Ce soir par exemple, je n'aurais jamais écrit ici si j'avais été un peu différente, avec tout un tas de gens dans mon entourage. C'est complètement contradictoire car je sais que j'en suis incapable et n'aime pas être avec plein de monde!

La suite pourrait faire partie d'un nouveau sujet mais je préfère tout sortir en une fois.
Mon moral est en berne depuis plusieurs mois, je me pose beaucoup de question, notamment sur la vie et le but de celle-ci.
J'ai 33 ans, comme dit plus tôt, je suis en couple, mais n'ai pas d'enfant. C'est un choix commun, ou du moins devrais-je dire "c'était", car j'ai évolué depuis quelque temps. Je me dis que l'enfant est le but dans le vie, je ne suis pas quelqu'un qui marquera son temps par une grande découverte, je n'apporterais rien à cette société, alors à quoi puis-je bien servir? Je pense ne jamais être mère parce que je ne me vois pas en avoir avec la personne qui partage ma vie, j'aurais donc vraiment le sentiment de ne servir à rien, et j'ai peur que ce sentiment soit encore plus marqué dans 10, voire 20 ans. Et à ce moment là, que pourrais-je me dire..... que je ne compte pour personne, mes parents ne seront peut-être plus de ce monde, je n'aurais toujours pas réussis à avoir une vie sociale normale et j'en souffrirais, et je n'aurais pas de but car rien qui me pousse à recommencer le lendemain, personne à voir grandir et qui compterait sur moi?

Je suis désolée, je ne veux pas faire dans le mélo, mais malgré des moments difficiles dans ma vie, je crois ne jamais avoir été aussi bas. Et si j'écris ici, c'est parce que je n'arrive à en parler à personne, pas même à mon ami..je me répète mais ai horreur de parler de moi et de ce que je ressens, je n'y arrive d'ailleurs que par écrit, et ici au moins, c'est anonyme.
Merci de m'avoir lu.

j'peux pas parler de relation, désolé.

tout le monde m'ignore. dur de voir la souffrance.

Bonsoir Delilah,

Je ne sais pas trop par où commencer, et puis je peux pas donner de conseils, tu comprends pourquoi. Mais une question, à quel moment as tu pris conscience de ça ? Et ton mari, si tu pouvais lui attribuer un type, ça serait quoi ? ISTJ ? (pour voir un peu mieux la situation)

Bonsoir Chasing,

Ta question concerne les relations sociales? Déjà au collège/lycée j'étais plutôt à l'écart, mais j'ai eu une amie avec qui j'ai passé de supers moments, donc je ne garde que ces bons souvenirs.
C'est plutôt dès l'entrée à la fac, lorsque tout le monde sort, les soirées les uns chez les autres, ou en boîte, pas moyen de m'y adapter. C'est quelque chose de très paradoxal, souffrir de ne pas pouvoir faire des choses qu'au fond tu sais que tu n'apprécieras pas : voir les autres sortir, s'amuser et être bien ensemble alors que toi tu restes dans ton appart, mais tu te serais sentie mal à l'aise à la table d'un bar parmi tout ce monde..

Salut Delilah !

Tout d'abord, bienvenue !

Si pour toi l'amitié est un réel investissement, c'est mieux que tu n'aies que quelques amis sur lesquels tu peux compter plutôt que plein de connaissances superficielles. Quand tu dis que tu n'arrives pas à aller vers les autres, peux tu préciser ?

Ton ami t'aime, j'en suis sûr, et tu comptes pour lui sinon il ne te donnerait pas de conseils.

Delilah a écrit:

Je me dis que l'enfant est le but dans le vie, je ne suis pas quelqu'un qui marquera son temps par une grande découverte, je n'apporterais rien à cette société, alors à quoi puis-je bien servir?

Est ce ton but ou plutôt le désir d'avoir un rôle dans la société ?

Bienvenue à toi ! Personnellement j'ai de grosses tendances I pour un E, et je suis justement heureux d'avoir ma tranquillité et de rester parfois dans mon coin. Il est légitime de pouvoir souffrir de ne pas être capable de faire quelque chose, mais au final, si sortir ainsi t'aurait mise mal à l'aise, alors que tu préfères "rester dans ton appart", il n'y a pas lieu de se tourmenter, bien que ce soit une conception très NT(J).

Bonjour et bienvenue Delilah,

Je comprend bien le besoin d'avoir entièrement confiance en une personne pour la considérer comme une amie... c'est aussi ainsi que je vois l'amitié.

Pourquoi ne sors tu pas avec les amis que tu as déjà ?

Chasing a écrit:

Et ton mari, si tu pouvais lui attribuer un type, ça serait quoi ? ISTJ ? (pour voir un peu mieux la situation)

Pourquoi ISTJ ?

Bonsoir Aïkido,
Je suis bien d'accord avec toi, si je ne suis de toutes façons pas à l'aise au sein d'un groupe, autant n'avoir qu'un ou deux vrai bons amis, seulement c'est difficile de les trouver. Aujourd'hui, j'ai des connaissances, mais rien de plus. Je dis ne pas réussir à aller vers les autres car je ne me lie pas facilement, les relations (par exemple avec les collègues) restent très superficielles. Pour créer un échange, il faut s'ouvrir aux autres, or j'ai un mal fou à le faire.

Je compte pour mon ami... oui, mais l'amour d'un conjoint ne peut jamais égaler celui d'un parent ou d'un enfant, les relations de couple ne tiennent pas toujours jusqu'au bout.

C'est peut-être le désir d'avoir un rôle dans la société, car si tu n'as rien, à quoi bon?

Phaedren, c'est justement parce que je le vis mal, j'aime ma tranquillité tout comme toi, mais je ne supporte pas la solitude et ai constamment besoin des autres. Paradoxal, comme je l'ai écrit

HongTuyet a écrit:

Chasing a écrit:

Et ton mari, si tu pouvais lui attribuer un type, ça serait quoi ? ISTJ ? (pour voir un peu mieux la situation)

Pourquoi ISTJ ?

Une intuition ^^

Delilah a écrit:

Phaedren, c'est justement parce que je le vis mal, j'aime ma tranquillité tout comme toi, mais je ne supporte pas la solitude et ai constamment besoin des autres. Paradoxal, comme je l'ai écrit

Je comprends très bien ce sentiment paradoxal, l'envie mais pas les moyens, et en même temps quand on y est confronté on en veut plus trop. Le mieux c'est un petit cercle d'amis, quelques uns, mais bien choisis. Le plus dur en fait c'est de surpasser cette force d'inertie qui nous pousse à nous enraciner, au lieu d'aller vers les gens. La première fois que je suis allé en boite, et que j'étais au milieu de toutes ces personnes, avec la musique à fond, je les voyais s'amuser, être heureux, et moi j'étais là et je pouvais pas m'empêcher de réfléchir, mon esprit était trop lourd, je n'étais et ne pouvais pas être présent, c'est là que j'ai pris conscience de ce que je suis, et quand je suis avec les gens, c'est souvent pareil, en tête à tête néanmoins je suis beaucoup plus à l'aise, enfin ça dépend avec qui. Mais créer des bons liens, avec au moins deux, trois personnes, je trouve que c'est très important.

Bonsoir HongTuyet
En fait, je n'ai pas véritablement d'ami(e) mais que des connaissances, avec lesquelles je ne me vois pas partager davantage..

Chasing, je n'avais pas vu la fin de ton message, et je dois dire que je suis incapable de lui attribuer un type.. Peut-être plutôt J que P, mais encore je ne sais pas. Toujours est-il que des fois la communication est difficile

Merci pour ta réponse... comme le dis Chasing avoir un ou deux amis c'est quand même agréable, tu vas me dire facile à dire... enfin peu importe que tu n'aimes pas aller en discothèque moi non plus ... mais tu dois bien avoir des endroits que tu aimes fréquenter, des passes temps que tu pourraient partager avec d'autres personnes, ainsi tu ne serais pas obligé de parler de toi dès le début.

Chasing a écrit:

HongTuyet a écrit:

Chasing a écrit:

Et ton mari, si tu pouvais lui attribuer un type, ça serait quoi ? ISTJ ? (pour voir un peu mieux la situation)

Pourquoi ISTJ ?

Une intuition ^^

Ha ok par ce que peut être que je me trompe mais je pense que les ISTJ aiment l'idée de fonder une famille. J'ai l'impression que cela fait souvent parti de leurs valeurs, comme une étape naturelle et une continuité normal de la vie et d'eux même et que cela donne un sens aux efforts qu'ils font aux quotidien.

J'ai en fait assez peu d'activités à l'extérieur, je ne vous facilite pas la tâche... Créer de vrais liens, avec une ou deux personnes, ce serait effectivement une bonne chose pour moi, mais dans mon entourage, je ne considère pas ça possible, et il est difficile de faire de nouvelles rencontres.
N'allant pas vers les autres, il faut que les autres viennent vers moi (du moins au début) et j'ai bien peur que ça n'interesse que peu de personnes.

Pour ce qui est de fonder une famille, j'étais assez catégorique jusqu'à il y a peu, puis quelqu'un m'a ouvert les yeux, et là j'ai compris que ça n'était peut-être pas parce que je ne voulais pas, mais plutôt parce que je n'avais pas confiance dans le rôle de père que devrais prendre mon ami.

Je tiens à vous remercier pour votre présence et vos réponses, ce qui va me permettre d'aller me coucher dans de biens meilleures dispositions qu'il y a 3 heures

J'aimerais avoir votre retour d'expérience : avez-vous également beaucoup de difficultés à lier? Est-ce difficile de vous ouvrir aux autres et avez-vous été blessé par une personne avec qui vous l'aviez fait et qui n'a pas pris cette relation au sérieux, du moins pas au sens où vous l'entendiez?

Bienvenue sur le forum de sos infp Je suis nouveau aussi

Bonjour Electron, et merci pour ta réponse.

Je suis d'accord avec toi, je ne cherche pas à prendre cette "assurance affection" que tu as bien décrite, je ne voudrais pas de quelqu'un qui se sente obligé de me donner cet amour que tu qualifies "d'automatique".
Ce n'est pas la recherche de l'amour enfant / mère dont je voulais parler, mais plutôt l'utilité. Pourquoi te lèves-tu tous les matins? Il y a le travail, fort heureusement, mais les autres jours?

Je te rejoins également quand tu dis que l'enfant ne doit pas arriver dans un cadre bancal, c'est pour cela que j'ai pris ma décision de ne pas en avoir, du moins pas dans ma situation actuelle. Je suis néanmoins plus mitigée quand tu dis qu'il ne doit pas servir à combler une absence de perspective. Tous les parents te le diront, leur enfant est leur raison d'être, ils feraient tout pour eux, et voilà ce qu'il se passe dans la logique des choses : deux êtres se rencontrent, s'aiment, profitent de leur nouvelle vie à deux, concrétisent des projets, puis leur souhait est de fonder une famille, car c'est ce qui nous fait avancer. Il n'y a à ce moment là pas eu d'absence de perceptive à combler car tout s'est fait naturellement.
Dans mon cas, ça ne s'est pas fait, et je croyais que c'était ce que je voulais, mais je n'en suis plus si sûre. Je pense que c'est parce que je ne sentais pas mon ami fait pour cette situation, et me rendre compte de ça est assez difficile.
Pour moi il est trop tard, j'ai 33 ans, soit je continue ma vie comme elle est en étant constamment déçue car elle ne correspond pas à ce dont je rêve (d'un autre côté ça pourrait être pire alors pourquoi me plaindre), soit je change, rencontre quelqu'un, et fonde une famille et tout le monde est heureux. Là je n'y crois pas trop. Vu mon âge, comme je le disais, c'est trop tard.

Si la solution n'est pas là, que je me suis trompée, alors comment s'épanouir autrement, surtout quand on n'arrive pas à aller vers les autres? Un INFP qui en plus n'a aucune confiance en lui...je vous assure c'est l'horreur.

Citation :

Oui beaucoup, car en bon infp je nourris beaucoup d'attentes justement, et quand les gens n'y correspondent pas je me met à leur en vouloir secrètement. Ensuite je me saborde en me mettant dans des positions délicates et en asticotant les vices des uns et des autres. Et puis l'air devient irrespirable alors je prend des distances.
Et oui je me fais blesser régulièrement par des gens pas forcément proches de moi. Mais en général c'est parce-que j'ai un peu plané et qu'ils sont différents dans ma tête et dans la réalité Et si quelqu'un proche de moi me fait un coup de travers c'est de la haute trahison.

C'est tellement étrange de voir que je ne suis pas toute seule dans ce cas là D'un autre côté, j'aimerais réussir à changer, car à la longue, c'est assez insupportable et ça fait surtout très mal.

Delilah a écrit:

Pour moi il est trop tard, j'ai 33 ans, soit je continue ma vie comme elle est en étant constamment déçue car elle ne correspond pas à ce dont je rêve (d'un autre côté ça pourrait être pire alors pourquoi me plaindre), soit je change, rencontre quelqu'un, et fonde une famille et tout le monde est heureux. Là je n'y crois pas trop. Vu mon âge, comme je le disais, c'est trop tard.

Mais non ce n'est pas trop tard ! On vit de plus en plus longtemps et en bonne santé ! 33 ans c'est encore jeune, à partir de 40 ans ça devient plus problématique.
Tu as encore quelques années pour trouver l'amour et fonder une famille, remue toi maintenant avant qu'il ne soit réellement trop tard !
Trouver "l'amour" c'est plus facile que ce que l'on pense, finalement si tu désir réellement aimer quelqu'un, tu portera ton amour sur la première personne qui te semblera remplir un certain nombre de tes critères. Un homme un peu près de ton âge, souhaitant également fonder une famille et sentant le temps se présser, réagira de la même façon !
Et cet amour sera tout aussi vrai, que si vous aviez cherché une personne vous correspondant réellement. En définitive l'amour c'est simple comme bonjour ! C'est l'être humain qui complique toujours tout...

Dans la liste des faiblesses de l'infp :

=>En cas de stress, une tendance à devenir obnubilé par des détails sans importance

En quoi le fait que tu ais 33 ans change autant la donne par rapport à quand tu en avais 32 et que ça n'allait pas si mal, en tout cas que tu n'avais pas cet accès de trouille lié au temps?

=>Une tendance à ruminer les problèmes dans les situations de stress

Luna, je doute que ce soit aussi simple, et puis, c'est gentil de me dire que je ne suis pas encore trop vieille mais pour prendre la décision de changer de vie, et surtout d'être mère pour la 1ère fois, si.

Je reprends l'intitulé de mon post, je n'y arrive pas avec les relations sociales. Chasing disait que le plus dur était de ne pas s'enraciner et de faire l'effort d'aller vers les autres, je le fais de temps en temps, mais ce n'est jamais concluant, ou bien j'arrive à paraitre pendant 1 heure ou 2, puis petit à petit je me referme, comme si j'avais atteint mon quota.
Pourquoi j'ai donné ce nom à ce sujet, parce que je pense que si j'arrivais à me sortir de ce monde pour aller vers les autres, ma vision des choses serait différente et j'arrêterais de me renfermer sur moi-même, car les autres sont motivants. Mais... car il y a toujours un "mais", je me retrouve dans ce que dit Electron, "je nourris beaucoup d'attentes justement, et quand les gens n'y correspondent pas je me met à leur en vouloir secrètement." Et là, ça ne se termine jamais bien.

Electron a écrit:

En quoi le fait que tu ais 33 ans change autant la donne par rapport à quand tu en avais 32 et que ça n'allait pas si mal, en tout cas que tu n'avais pas cet accès de trouille lié au temps?

Je l'ai eu vers 30 ans aussi , quand tu te dis qu'il est temps de prendre un décision à ce sujet. Seulement les données étaient un peu différentes à ce moment là.
Il y a quelques mois, j'ai fait la connaissance d'une personne avec laquelle je pense que ma vie aurait davantage collé à mon idéal. C'est peut-être un idée fausse, car comme toi, j'idéalise toujours les autres. Seulement cette connaissance (avec laquelle rien n'est envisageable, pour ceux qui auraient demandés ) m'a fait me rendre compte que ma vie aurait pu être autrement, qu'il existait une personne qui pouvait davantage me comprendre et avec laquelle tout était tellement plus facile. Des choix sont fait tout au long de sa vie, ils nous font prendre une direction plutôt qu'une autre, et entrapercevoir cette autre direction, plus heureuse, mais totalement inaccessible, est assez douloureux.

D'ailleurs je vous conseille à tous un film absolument génial, Mr Nobody. Je n'en dirai pas plus, il faut le voir!

Delilah a écrit:

Luna, je doute que ce soit aussi simple, et puis,

Mais si ça peut être aussi simple que cela ! Il y a de plus en plus de célibataires, car les gens sont de plus en plus exigeants, alors qu'en réalité on peut aimer une personne rien que par habitude de sa présence !
Si tu souhaite réellement fonder une famille, n'attend pas pour ça de tomber sur ton âme soeur, que tu trouvera peut être jamais. Au lieu de "gâcher" ta vie, à chercher l'homme parfait (enfin je ne sais pas si tu cherche l'homme "parfait", mais tu m'auras compris), trouve un homme qui te plait physiquement et mentalement, et même si tu ne ressens rien pour lui, tente le coup (je ne te dis pas de te marier avec lui hein), les sentiments viendront peut être ensuite !

Luna, je ne vois pas vraiment les choses de cette façon
"aimer par habitude de sa présence", oui, ça c'est vrai, bien que ça ne soit pas très flatteur!
J'ai un peu de mal à te répondre car ce que tu dis est à l'opposé de ce que je peux penser.
Je ne cherche pas à me "caser"