Hum...
Si tu n'as pas de tempérament, tu le fais comment ton choix?
Parce qu'au dernière nouvelle les trépanés sont pas super bon pour décider.

Bah faut imaginé faire un choix, avoir une préférence sans que ton tempérament actuelle ne te dirige vers ton propre type, essayer de ce voir à l’extérieur de soit comme si tu était un étranger, ou comme si tu n'avais pas de type.

Encore une fois, ça n'a pas de sens.
Tu te prives de ta personnalité, ce qui par définition te pousse dans une certaine direction pour tes choix. De même, c'est ta personnalité qui te donne tes goûts, lesquels sont les seuls facteurs rentrant en jeu dans une préférence telle que celle demandée.

Je persiste et signe : si tu te places en dehors de ta personnalité, aucun type ne diffère de l'autre (puisque tu ne peux pas en préférer un).

Je trouve mon type parfait et je ne le changerai pas. 8D ENFP je trouve ça cool aussi.

Par contre j'aurai bien aimé être de type 1 ou 3, j'ai déjà une tendance vers eux mais j'aurais aimé que ce soit plus forte que mon côté 2 qui, je trouve, use mon énergie vitale.

Mmmhh INFP c'est pas mal... Peut-être INFJ sinon...
Par rapport à l'enneagramme, 4-5/7-1 serait un tritype qui me plairait bien. Au final je trouve pas mal mes types puisque j'en suis proche .

Dans ce cas c'est pas moi qui n'est pas de sens mais le topic !

Car j'ai essayer de donner un sens et je remarque aussi que c'est irréaliste. Donc je ne peu rien y faire. ^^

Oui, j'ai déjà dit que ce topic n'a pas vraiment de sens. Ou plutôt, il indique ce que tu désires être (en gros ce que tu penses qu'il te manque pour être heureux).

ENFJ je pense.

INFP 9w1 

Mort et enterré.

C'est pas mon type MBTI que j'aurai changé mais mon enneagramme: 7, 3, ou 5.

Ensuite pour les instincts, Sp last. Mais en tout cas So en principal ou secondaire, mais pas en last.

Pour ma part, n'importe quel NT type 5 avec SP comme principal instinct.
Donc, en bref, je suis satisfait de ma personnalité.

J'aurais pris INFP 9w1 sp/sx, je rêve tellement d'être ce type il est parfait

J'aurais choisi ESFJ  

Etre I et FJ, c'est une contradiction à mon sens, enfin tout du moins ça implique des dynamiques contradictoires. Quand je parle avec des ExFJ, j'ai souvent l'impression qu'ils sont des "versions abouties" de moi même, au moins en termes d'expression / de communication. Et enfin, S plutôt que N, pour me préserver des âpres de l'abstraction excessive, construire des choses concrètes plutôt que de m'imaginer en train de les construire, évoluer dans la vie en m'accrochant à ce qui est solide.

Bé tu peux très bien arriver à tout ça en restant INFJ

Peut-être, en théorie tout du moins, mais mes préférences "naturelles" m’entraînent vers d'autres biais ; je ne me satisfait pas pleinement des "choses simples" qui constituent notre vie. Il faut toujours que mon esprit cherche à globaliser, à contextualiser, à harmoniser, à objectiver ; c'est quelque chose de parfaitement machinal, je n'ai aucun contrôle sur ça, cette dynamique m'anime depuis mes 12-13 ans au moins (c'est à cette époque là que j'en ai pris rétro-activement conscience). Présente moi des faits, une situation, un objet ... je ne pourrais point m'en satisfaire en tant que tel, je me poserais forcément la question du sens de ces choses, de leur origine, de leur signification, des différents points de vue par lesquels il est possible d'aborder cet objet. Si ces questions là ne se posent pas toujours immédiatement après être entré en contact avec l'objet, elle finiront par se poser tôt ou tard, quoi qu'il arrive. 

Et j'ai tendance à vouloir affiner toujours plus les réponses que je trouve ou que je construit, dans une logique inductive (des faits vers les généralités) et dans une quête perpétuelle (et incontrôlée/incontrôlable) de "solidité" intellectuelle ; je suis toujours à la recherche de grands paradigmes qui pourraient expliquer le monde, qui pourraient en livrer une synthèse parfaite. 

Je pense que c'est très étroitement lié à ma compulsion de 6(w5), ce besoin primordial de sécurité me pousse inexorablement à vouloir comprendre ce qui se passe autour de moi et m'assurer que tout ceci fait sens, que la vie n'est pas qu'un furieux entremêlement de choses anarchiques et absurdes. D'une manière globale, dans ma vie, j'ai grand besoin de points d'ancrage et de fixations précises : qu'il s'agisse d'un ancrage intellectuel (la foi en la validité de tel ou tel concept, sa faculté à rendre le réel plus limpide), comme d'un ancrage affectif (je m'attache émotionnellement à des lieux, des cultures, des groupes humains, et bien sur à des individus). La défaillance soudaine d'un de ces points d'ancrage (doute hyperbolique vis à vis d'un concept ou d'une réponse qui jusque là semblait valide, ou signaux de rejet émanant d'une personne chère, par exemple) entraîne chez moi des conséquences psychologiques immédiates, extérieurement visibles et potentiellement très néfastes. 

Dans mon monde mental se reproduisent de manière schématique les mécanismes de fuite et de combat (les deux réponses possibles face à la peur) que l'on reconnait comme caractéristiques du mode d'action d'un 6. Face aux doutes, à la perte de foi, à la déconstruction de bases autrefois solides ; la fuite >> il ne faut pas que j'y pense, je dois m'occuper autrement, trouver des activités immersives, me "narcotiser" (sport/musique/jeux vidéos/alcool) ; ou le combat >> poursuite de la réflexion, recherches, discussions, critiques ... jusqu'à trouver réponse qui soit -au moins momentanément- satisfaisante, apaisante. Aussi curieux que cela puisse paraître, il y a chez moi une grande alternance entre ces deux dynamiques, elles peuvent se succéder dans la même semaine voire dans la même journée selon les moments. 

Pour en revenir au sujet initial ; toute cette effervescence intellectuelle ne m'est pas forcément très profitable, notamment parce qu'elle ne cesse de générer en moi du doute (cf tout ce que je viens de décrire), elle compromets sans cesse l'équilibre interne que je cherche à me construire. Mais m'éloigner de ces biais semble être concrètement plutôt difficile. 

L'alternative du "matérialisme" (je ne veux pas donner de connotation péjorative ici, mais parler de l’intérêt pour ce qui est concret, tangible, proprement matériel, peu importe les principes sous-tendus derrière) me semble être en mesure de procurer un repos certain. J'ai déjà évoqué ce propos une fois sur la chatbox, ou je faisais le constat que finalement je serais peut-être plus heureux et plus stable si je menais une vie de paysan, et que cultiver la terre soit alors ma principale et plus importante préoccupation ; mes objectifs seraient clairs, mes résultats seraient tangibles, mon activité serait cyclique, mon rapport à la nature serait plus direct. La rudesse de la tâche serait un moindre mal en contrepartie de la profonde stabilité dont je jouiras. Je repense régulièrement à ce "projet", mais je me demande si une telle tâche m'éloignerait durablement de mes intempestifs questionnements intellectuels, probablement que cela ne suffira pas à étouffer éternellement tout nouveau jaillissement interrogatif... 

Reste un autre point que j'ai évoqué dans mon premier post ; "construire des choses concrètes plutôt que de m'imaginer en train de les construire" : c'est aussi un problème que je rencontre, un peu moins central certes ; mais j'ai effectivement du mal à concrétiser mes projets, à faire en sorte que les choses prennent forme, c'est une tare fort répandue chez les INxx ; il me manque ce souci du concret, et surtout cette habilité tactique de mise en oeuvre, je suis facilement enthousiasmé par de nouveaux projets mais j'ai bien du mal à en cerner les contraintes matérielles les plus triviales, je peux très facilement me laisser déborder par les aléas que je n'ai pas pu prévoir (situation ô combien frustrante). Avec de l'espoir, je peux dire que ça finira par s'améliorer au fil des expériences, mais reste que cela ne relève pas à la base de mon domaine de compétence privilégié. Pour faire un lien avec l'exemple du "paysan" ; sans doute que je n'imagine pas tout ce que ce "projet" présuppose en terme d'implication concrète, en termes d'efforts et de réalisme, peut-être que je ne fais qu'idéaliser / essentialiser des choses dont je ne doit avoir qu'une perception assez vague. 


C'est à creuser  

Titiwilly a raison, on peut difficilement être autre chose qu’abstrait et profond en étant INFJ (sauf en ne l'étant pas : les fakes...).

Moi j'aurais aimé être tout le contraire et mordre la vie à pleines dents en étant ESTP.

A titre personnel, si j'aurais pu changer mon type ENFJ, j'aurais préféré transformer le "F" en "T" car je me laisse parfois trop emporter par mes émotions... et c'est parfois "handicapant". x)
Mais bon, au final je ne m'imagine pas sans ce côté un peu "sentimentale".

INTP sans hésiter !
J'aime beaucoup la fonction Ti et la construction d'un système interne d'idées et de valeurs. Et puis également cette pensée critique, la détection des dysfonctionnements et incohérences derrière telle théorie ou autorité. Je suis fan aussi du détachement par rapport à l'opinion publique, "correcte", le courage que cela implique, l'intégrité qui en découle. Le détachement par rapport aux autres également, le fait d'être moins propice à suivre son instinct grégaire.
Je privilégie le T au F car il est selon moi plus "juste" de se créer un système interne en fonction de considérations impersonnelles plutôt que personnelles.
Je préfère l'introversion à l'extraversion (monde intérieur, subjectivité), l'intuition à la sensation (profondeur de la pensée).
En revanche, trop de distance par rapport aux sentiments des autres me dérangerait beaucoup. Il serait donc bon selon moi de développer le Fe un minimum (sans que cela empiète sur le Ti : un excès de considération de l'opinion des autres peut-être bien néfaste, je parle en connaisseuse ! )
Le Fe en inférieure fait en partie que je privilégie l'INTP à l'INTJ d'ailleurs. Le xxTJ c'est... pas possible pour moi ^^

INFJ tant qu'a faire.

à l'époque, quand j'ai découvert le mbti, j'avais voulu etre un ExFP de type 7 ou 8, pourquoi ?
Car tous les meilleur héros de manga le sont (Esprit Otaku, sort d'ici !!!).

Mais depuis que j'ai compris que je n'étais qu'un iNFP type 9 (avec des traits extravertie), je suis fier d’être qui je suis.

Je serais resté INFP.

ENTJ ou alors mon type de base ENTP, j'aime les deux

J'irais voir du côté des Ne dom pour voir comment ça se passe, mais ça ferait bizarre
Enneagramme, le meilleur type et plus intelligent = 7
Mbti, le plus intelligent = INTJ
Donc je reste sur les bases du INTJ 7w8 sx qui sont la race parfait