hey guy's !
je voulais juste savoir si vous pourriez me donner des exemples concrets / applicable dans la vie réelle pour différencier si je suis Si ou Ni, j'ai du mal à savoir.
merci bien

Lepetitlapinounou a écrit:

hey guy's !
je voulais juste savoir si vous pourriez me donner des exemples concrets / applicable dans la vie réelle pour différencier si je suis Si ou Ni, j'ai du mal à savoir.
merci bien

C'est facile: si tu as besoin d'exemples concrets applicables à ta propre expérience, c'est Si.

De rien

Si est particulièrement factuel (ils sont connus pour donner énormément de faits) tandis que Ni est abstrait (ce qui fait qu'un Ni utilisateur peu avoir du mal à se faire comprendre si il ne fait pas particulièrement d'efforts) d'où le fait que des INFJ peuvent être typé INTP ou même peuvent se croirent INTP si ils découvrent le MBTI en ayant un Ti assez développé (parfois ENTP mais ça c'est très rare).
En géreral, si tu es Ni dom, tu n'hésites pas vraiment de part la nature de la fonction qui te fait rendre compte qu'il y a un certain décalage entre toi et les autres, ce qui fait que même avec Fe l'INFJ peut être socialement maladroit ce qui est possible mais bien plus rare pour l'ISFJ.Après le fait d'être Se inf se remarque aussi...

Le wiki exprime bien le Si :

La sensation introvertie collecte les données du moment présent et les compare avec celles des expériences passées. Ce processus fait remonter à la surface des sentiments associés à des souvenirs que le sujet revit en se les remémorant. Cherchant à protéger ce qui lui est familier, la sensation introvertie identifie dans l'histoire des buts et des attentes en vue d'évènements futurs.

Donc, il peut se préparer au futur mais grâce au passé et à son propre passé. (Ce qui fait que certains n'ont pas conscience de ce processus et se pensent juste Ni-dom.   )

Un bon exemple d'un discours Ni (INFJ) :

Ce discours... On dirait ce que je disais il y a quelques années... XD
C'est quoi ce film ?

J'ai trouvé cet article qui est intéressant 

https://www.psychologyjunkie.com/2016/12/15/si-user-ni-user-difference-introverted-sensing-introverted-intuition/

merci beaucoup à tous ! je vais réfléchir à tout ça

edit : il est super bien ton article Hydrean, très intéressant, clair. Je vais aller regarder les autres articles de ce site.

Meleabrys a écrit:

Ce discours... On dirait ce que je disais il y a quelques années... XD

Tu étais conspirationniste ? Tu en es guérie ?

Guinea Pig a écrit:

Meleabrys a écrit:

Ce discours... On dirait ce que je disais il y a quelques années... XD

Tu étais conspirationniste ? Tu en es guérie ?

Je ne sais pas si "j'étais" conspirationniste. Politico sceptique, complètement, en revanche, j'ai grandi dans une telle ambiance. J'ai cette particularité (ce travers ?) de toujours voir ce qui cloche et de remonter à la source autant que cela m'est possible et d'imaginer d'autres solutions.
Est-ce qu'on "guérit" d'une façon d'appréhender le monde comme si c'était une maladie ? Est-ce que croire tout ce qu'on nous dit n'est pas une autre maladie ?

Ma pensée et mes observations, mon champ de connaissance ont évolué depuis plusieurs années (je me suis encore davantage ouverte, j'ai eu la possibilité de faire mes recherches par moi-même etc, ce qui était moins le cas avant). Néanmoins, je constate toujours à quel point le monde va mal et pourrait être amélioré. Je constate que bon nombre de personnes font des efforts et ne s'en cachent pas/plus et commencent à se rassembler, ce qui me met du baume au cœur et me berce d'espoirs. Néanmoins, plus que jamais, il me semble qu'il est temps de relever nos manches pour continuer à dénoncer les problèmes qui sont toujours présents. Et plus que de les dénoncer, d'agir de notre mieux pour les régler.

Voilà, je ne sais pas si tu vas avoir trouvé la réponse à ta question, j'ai répondu comme j'ai compris, sans être certaine de ne pas être à côté de la plaque.

Meleabrys a écrit:

J'ai cette particularité (ce travers ?) de toujours voir ce qui cloche et de remonter à la source autant que cela m'est possible et d'imaginer d'autres solutions.

Exemple ?

Ouh là... Exemple xD le mot qui fâche...

Je vais prendre un exemple qui me fait hurler intérieurement depuis des années : l'éducation nationale.
J'ai toujours senti que ça clochait (peut-être parce que je ne m'y épanouissais pas ? bref...) et quand je suis arrivée à la fac, j'ai constaté avec horreur que la gamine à laquelle je donnais quelques leçons de français était arrivée en 6ème sans comprendre ce qu'était un auxiliaire et un participe passé. A ce moment-là, j'ai perdu toute foi en l'éducation nationale, au point que ça m'a fait renoncé à devenir instit (et de toute façon, ça n'était pas une vocation pour moi, qui me voyais plutôt écrivain) car j'ai vu directement la perte d'énergie déployé dans un combat perdu d'avance en le prenant par ce bout-là.
Depuis, j'ouvre l’œil et l'esprit pour trouver des solutions différentes et je me suis renseignée sur tout un tas de méthodes éducatives (que je teste plus ou moins avec mes enfants, avec plus ou moins de succès...). Quelque part, même ma façon d'aborder le MBTI participe de cette démarche, quoique ramifiée à d'autres sujets. Ma tête est comme une immense toile d'araignée où les sujets sont tous inter reliés.
J'ai fini par en déduire, pour en revenir à l'éducation nationale, que la source du problème est d'une part très complexe, d'autre part va prendre énormément de temps à cibler correctement et encore plus à solutionner, mais que principalement, on doit toujours composer entre les idées neuves, qui ont parfois souvent du mal à être acceptées, et le poids de l'ancien, des traditions, qui est beaucoup plus rassurant pour la majorité.
J'ai quelques idées de solutions, mais je ne sais pas ce qu'elles valent (la dernière fois que j'en ai parlé, on m'a demandé d'avancer des preuves...) et je ne sais pas si elles pourraient réellement être mises en application.
Voici pour un exemple que je réfléchis régulièrement (et donc, qui est appelé à évoluer).

Meleabrys a écrit:

Ma tête est comme une immense toile d'araignée où les sujets sont tous inter reliés.

Très Ti-dom comme phrase. : :

Guinea Pig a écrit:

Meleabrys a écrit:

Ma tête est comme une immense toile d'araignée où les sujets sont tous inter reliés.

Très Ti-dom comme phrase. : :

En quoi est-ce que ça fait plus Ti-dom qu'autre chose, s'il te plait ?

C'est la phrase la plus parlante niveau Ti. Je n'ai pas compris ta question. Tu ne vois pas qu'elle fait Ti ou tu te dis qu'elle fait penser à d'autres fonctions ? Ou qu'elle ne te fait penser à rien, justement ?

Personnellement, ça me fait plus référence à Ni. Donc je me demandais en quoi, pour toi, ça semblait Ti Dom.

Après, je pense que cette image de réseau entre les idées avec l'araignée qui relie le tout peut aussi bien convenir aux deux. Le truc étant de savoir ce qui est là en premier

Guinea Pig a écrit:

@Meleabrys a écrit:
Ma tête est comme une immense toile d'araignée où les sujets sont tous inter reliés.

Très Ti-dom comme phrase. :Réflexion intense :

Ah non, je suis d'ac avec Meleabrys, plutôt Ni que Ti
Ne peut aussi avoir cet effet "toile d'araignée", mais ce n'est pas le cas de Ti, bien trop systématique et organisé. Ti, ça pourrait davantage être cet espèce de jeu de dominos en chaine, où tu fais tomber une tuile, qui entraine des réactions en chaine ("ceci donc cela, donc cela, donc cela..." etc.)

Bref bref. Et Petitlapinou, tu arrives à mieux trancher entre Si et Ni now?

Mamy Mougeot a écrit:

Bref bref. Et Petitlapinou, tu arrives à mieux trancher entre Si et Ni now?

En sois j'ai compris la différence, et j'ai appris des choses sur les deux, mais je suis toujours pas fixer pour moi. Merci beaucoup j'ai lu des articles supers intéressants grace à vous !

...........

Enfaite j'ai une "théorie". Je sais pas vous mais personnellement je type plus facilement les autres que moi même, et j'ai cru comprendre que c'était le cas pour la plupart des gens. Je pense que c'est parce qu'on a une image plutôt fixe des gens. On considère qu'ils sont comme ça, avec telle qualités, telle défauts, et du moment qu'on ne les revoit pas où qu'ils ne montrent pas de grands changements dans leurs vies, on garde la même image que eux. Du coup, c'est plus simple de typer une vision qui ne bouge pas.
Par contre, on se remet constamment en question, on découvre tout le temps de nouvelles choses sur nous. Notre vision de nous même n'est pas fixe, et de plus, on n'a peut être pas le recule de comprendre nos motivations, où d'analyser nos réflexes, parce que l'on est trop au cœur de nous même pour voir notre comportement globale. Du coup, c'est plus dur de nous typer, car on ne voit pas quel trait ressort par apport aux autres, vu qu'on voit tout nos côtés. Les gens ne voient que ce qui ressort le plus, que ce qui est le plus voyant, tandis que nous voyons (presque) tout de nous même.

Bref j'espère que ce que j'ai dis à un sens, j'ai l'impression que mes théories sont toujours très nul donc dites moi si vous êtes d'accord !

Je suis d'accord avec toi. Il faut être deux ou plusieurs pour typer, parce qu'on ne voit pas la même chose. J'irais même jusqu'à dire que les personnes qui typent ou qui sont typées doivent effectuer une introspection pendant le processus, parce qu'ils sont probablement amenés à projeter leur fonctionnement sur l'autre ou à subir des projections.

Lepetitlapinounou a écrit:

Mamy Mougeot a écrit:

Bref bref. Et Petitlapinou, tu arrives à mieux trancher entre Si et Ni now?

En sois j'ai compris la différence, et j'ai appris des choses sur les deux, mais je suis toujours pas fixer pour moi. Merci beaucoup j'ai lu des articles supers intéressants grace à vous !

...........

Enfaite j'ai une "théorie". Je sais pas vous mais personnellement je type plus facilement les autres que moi même, et j'ai cru comprendre que c'était le cas pour la plupart des gens. Je pense que c'est parce qu'on a une image plutôt fixe des gens. On considère qu'ils sont comme ça, avec telle qualités, telle défauts, et du moment qu'on ne les revoit pas où qu'ils ne montrent pas de grands changements dans leurs vies, on garde la même image que eux. Du coup, c'est plus simple de typer une vision qui ne bouge pas.
 Par contre, on se remet constamment en question, on découvre tout le temps de nouvelles choses sur nous. Notre vision de nous même n'est pas fixe, et de plus, on n'a peut être pas le recule de comprendre nos motivations, où d'analyser nos réflexes, parce que l'on est trop au cœur de nous même pour voir notre comportement globale. Du coup, c'est plus dur de nous typer, car on ne voit pas quel trait ressort par apport aux autres, vu qu'on voit tout nos côtés. Les gens ne voient que ce qui ressort le plus, que ce qui est le plus voyant, tandis que nous voyons (presque) tout de nous même.

Bref j'espère que ce que j'ai dis à un sens, j'ai l'impression que mes théories sont toujours très nul donc dites moi si vous êtes d'accord !

Complètement d'accord, c'est une chose que j'ai souvent remarqué, particulièrement chez les personnes qui ne correspondent pas aux clichés de leur type.

Lepetitlapinounou a écrit:

Mamy Mougeot a écrit:

Bref bref. Et Petitlapinou, tu arrives à mieux trancher entre Si et Ni now?

En sois j'ai compris la différence, et j'ai appris des choses sur les deux, mais je suis toujours pas fixer pour moi. Merci beaucoup j'ai lu des articles supers intéressants grace à vous !

...........

Enfaite j'ai une "théorie". Je sais pas vous mais personnellement je type plus facilement les autres que moi même, et j'ai cru comprendre que c'était le cas pour la plupart des gens. Je pense que c'est parce qu'on a une image plutôt fixe des gens. On considère qu'ils sont comme ça, avec telle qualités, telle défauts, et du moment qu'on ne les revoit pas où qu'ils ne montrent pas de grands changements dans leurs vies, on garde la même image que eux. Du coup, c'est plus simple de typer une vision qui ne bouge pas.
 Par contre, on se remet constamment en question, on découvre tout le temps de nouvelles choses sur nous. Notre vision de nous même n'est pas fixe, et de plus, on n'a peut être pas le recule de comprendre nos motivations, où d'analyser nos réflexes, parce que l'on est trop au cœur de nous même pour voir notre comportement globale. Du coup, c'est plus dur de nous typer, car on ne voit pas quel trait ressort par apport aux autres, vu qu'on voit tout nos côtés. Les gens ne voient que ce qui ressort le plus, que ce qui est le plus voyant, tandis que nous voyons (presque) tout de nous même.

Bref j'espère que ce que j'ai dis à un sens, j'ai l'impression que mes théories sont toujours très nul donc dites moi si vous êtes d'accord !

Déjà, qu'est-ce qui te fait penser être potentiellement Si dom (ISFJ) ou Ni dom (INFJ)?

Meleabrys a écrit:

Ouh là... Exemple xD le mot qui fâche...

Je vais prendre un exemple qui me fait hurler intérieurement depuis des années : l'éducation nationale.
J'ai toujours senti que ça clochait (peut-être parce que je ne m'y épanouissais pas ? bref...) et quand je suis arrivée à la fac, j'ai constaté avec horreur que la gamine à laquelle je donnais quelques leçons de français était arrivée en 6ème sans comprendre ce qu'était un auxiliaire et un participe passé. A ce moment-là, j'ai perdu toute foi en l'éducation nationale, au point que ça m'a fait renoncé à devenir instit (et de toute façon, ça n'était pas une vocation pour moi, qui me voyais plutôt écrivain) car j'ai vu directement la perte d'énergie déployé dans un combat perdu d'avance en le prenant par ce bout-là.
Depuis, j'ouvre l’œil et l'esprit pour trouver des solutions différentes et je me suis renseignée sur tout un tas de méthodes éducatives (que je teste plus ou moins avec mes enfants, avec plus ou moins de succès...). Quelque part, même ma façon d'aborder le MBTI participe de cette démarche, quoique ramifiée à d'autres sujets. Ma tête est comme une immense toile d'araignée où les sujets sont tous inter reliés.
J'ai fini par en déduire, pour en revenir à l'éducation nationale, que la source du problème est d'une part très complexe, d'autre part va prendre énormément de temps à cibler correctement et encore plus à solutionner, mais que principalement, on doit toujours composer entre les idées neuves, qui ont parfois souvent du mal à être acceptées, et le poids de l'ancien, des traditions, qui est beaucoup plus rassurant pour la majorité.
J'ai quelques idées de solutions, mais je ne sais pas ce qu'elles valent (la dernière fois que j'en ai parlé, on m'a demandé d'avancer des preuves...) et je ne sais pas si elles pourraient réellement être mises en application.
Voici pour un exemple que je réfléchis régulièrement (et donc, qui est appelé à évoluer).

C'est là où on voit la différence entre un XXTJ et un XXFJ en terme d'éducation. 
 Te va préférer appliquer une méthode fonctionnelle assez classique si est lié à Si ou suivant un hypothétique résultat si lié à Ni .
Alors que le Fe va vraiment se pencher sur les besoins d'autrui et prendre cela dans son raisonnement afin de construire un système viable et cohérent selon les raisons que l'utilisateur a prit en considération.