Je suis tombé sur un article intéressant, je vous laisse juger par vous-même:

http://www.lanutrition.fr/bien-dans-sa-sante/bien-etre/la-psychobiologie/la-biologie-du-caractere.html

Aucun rapport avec le MBTI si ce n'est l'exploration de la personnalité, et la référence au TCI (http://en.wikipedia.org/wiki/Temperament_and_Character_Inventory) qui par analogie au MBTI, est un peu le test de personnalité des psychiatres)

Intérréssant!

je le pense aussi. Après il ne faut pas qu'ils rentrent dans le piège du déterminisme. Ainsi es-ce le comportement qui détermine le taux de dopamine ou la dopamine qui engendre le comportement ? Dans beaucoup de cas j'ai envie de dire les deux mon général ! Syndrome de l'oeuf et de la poule en somme.

Sinon dans une logique similaire il y a le biofeedback ( rétroaction biologique ) qui consiste à mesurer l'activité des organes afin de mieux visualiser quels zones sont actives selon nos états émotionnels.

Cet article est très intéréssant.
Personnellement, je dois avoir des niveaux de dopamine anormalement élevés. (notamment en négatif : tabac, alcool,...)
La sérotonine est probablement totalement absente de mon organisme. Je ne dois pas avoir me gène...
Pour la noradrénaline, c'est 50/50 j'ai l'mpression. à fond.


EDIT : Non en fait ma noradrénaline est à fond !

Dopamine : la molécule qui dope le statut social

Des chercheurs américains ont découvert que la concentration des récepteurs de la dopamine dans le cerveau refléterait un statut social plus élevé que chez des personnes ayant peu de dopamine.


Une équipe de neurobiologistes de l'université de Colombia aux États-Unis a démontré que les personnes ayant une plus grande concentration de récepteurs de dopamine dans le cerveaux jouissent d'un meilleur statut social que la moyenne.

Le récepteur de la dopamine agit sur les circuits de neurones impliqués dans la motivation : lorsque nous désirons une chose, ou faire quelque chose, nous sommes poussés par ces circuits à dopamine, qui facilitent l'action permettant d'apporter le plaisir escompté. Le statut social étant une source de satisfaction importante, il semblerait que ces personnes soient davantage motivées car elles en retirent un plaisir plus intense.

À l'inverse, les individus dont le cerveau est pauvre en récepteurs de la dopamine seraient plus enclin à consommer des drogues diverses, afin de stimuler artificiellement les circuits de la dopamine.

Source:

http://psychologie.aujourdhui.com/info/dopamine-la-molecule-du-statut-social-00748.asp

En gros les deux articles se contredisent complètement... Je sais pas s'y on peut encore s'y fier...

Non ils disent la même chose, tu as beaucoup de récepteurs à la dopamine, mais tu as peu de dopamine car continuellement réabsorbée
C'est ton taux de libération/absorption qui est élevé
J'espère que c'est de ça dont tu parlais

T'es en médecine L ?

L a écrit:

Non ils disent la même chose, tu as beaucoup de récepteurs à la dopamine, mais tu as peu de dopamine car continuellement réabsorbée
C'est ton taux de libération/absorption qui est élevé
J'espère que c'est de ça dont tu parlais

Oui, ça doit être ça, je comprenais rien à cette histoire de transmetteurs. Merci L.

Du coup, si je devais synthétiser, je dirais que j'ai énormément de récepteurs à Dopamines et que ça me force à rechercher des activités hors du commun et forte en sensations extrêmes (trading,...). A l'inverse quand je n'arrive pas à combler ce manque car je n'ai pas l'occasion immédiate de l'assouvir, une bonne cigarette ou un petit tour à la case crac-crac corrige le tir. Ceci explique cela.

ChasingStarlight a écrit:

T'es en médecine L ?

On peut dire ça, j'ai fais la 1ère année

D'autres info sur le sujet? Ça serai bien.

Le reste sera baser sur les bases de la mémoire génétique, mémoire cellulaire ou encore épigénétique ...

http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89pig%C3%A9n%C3%A9tique

Ce sont par exemple des marqueurs génétiques qui pourrait éventuellement par le biais de la bioinformatique décrypter l'états de faits factuels passé présent et future de la personnalité d'un individu.

Le dernier soufflet étant le monde quantique.