Bah je me dis que si tu te penchais sérieusement sur le sujet et que tu etudiais tous les facteurs de l'attirance (évolutionnistes ou liés au vécu de la personne par ex), tu en aurais qui vont dans ton sens et d'autres pas du tout. Et du fait de la multiplicité de ces facteurs, la réalité est beaucoup plus nuancée que ça.
(J'ai l'impression de dire un truc Ti là )

Moi je sens u e combinaison de Te et Fi... Avec un poil d'autoritarisme ?

Et un peu Ne aussi. ^_^

Bah après je vais pas m'amuser à te répondre que je resterai campé sur cette vision.
C'est tout ce que je lui souhaite, à la réalité. D'être plus nuancée et que tout le monde puisse trouver son bonheur.

Mais d'abord, je vais respirer mon bol d'air pur.

Flop a écrit:

En tous cas j'aurais bien aimé croiser plus d'"exceptions" sur mon chemin mais je crois que c'est trop... exceptionnel.

Mais tu es jeune aussi dans le sens où "se lier vraiment prend du temps et des années" et avec les années qui viennent tu vas encore vivre tant de choses et tu auras probablement alors un autre avis avec ce plus de vécu

Flop a écrit:

Leenox a écrit:

Bon je sens que ça part un peu en cacahuète ici alors merci de ne pas basher je ne sais pas trop qui sur mon topic et de revenir au sujet initial

Voui ! C'est bon, j'ai fini.

Ouais "ou pas" lol 2 posts plus tard ...

Caféine a écrit:

Bah je me dis que si tu te penchais sérieusement sur le sujet et que tu etudiais tous les facteurs de l'attirance (évolutionnistes ou liés au vécu de la personne par ex), tu en aurais qui vont dans ton sens et d'autres pas du tout. Et du fait de la multiplicité de ces facteurs, la réalité est beaucoup plus nuancée que ça.
(J'ai l'impression de dire un truc Ti là )

Je te suis totalement Caféine et à voir nos âges si tu me permets, je me dis aussi qu'une vision plus nuancée de la vie (avec nos axes plus développés) vient aussi avec les expériences (et les années de plus ça peut aider, je pense, pour en faire un max et avoir du temps d'y revenir en analysant)

Leenox a écrit:

Mais tu es jeune aussi dans le sens où "se lier vraiment prend du temps et des années" et avec les années qui viennent tu vas encore vivre tant de choses et tu auras probablement alors un autre avis avec ce plus de vécu

Leenox a écrit:

Je te suis totalement Caféine et à voir nos âges si tu me permets, je me dis aussi qu'une vision plus nuancée de la vie (avec nos axes plus développés) vient aussi avec les expériences (et les années de plus ça peut aider, je pense, pour en faire un max et avoir du temps d'y revenir en analysant)

En tous cas, pour le moment, moi j'ai pas cumulé les expériences. x) J'ai déjà eu mes 3 ans de célibat quand je suis parti en voyage sur les routes ( je sais un peu l'horreur que c'est ).

Mais j'ai toujours trouvé les jeux de drague dégueulasses. Encore plus que la solitude "forcée" d'ailleurs. Et quand je vois ceux qui ont du succès, je me dis que j'ai pas du tout envie de leur ressembler. J'en veux pas, de cette boucherie !

Sans rancune, du coup. Et on risque pas de m'y voir tremper de sitôt.

Flop a écrit:

En tous cas, pour le moment, moi j'ai pas cumulé les expériences. x) J'ai déjà eu mes 3 ans de célibat quand je suis parti en voyage sur les routes ( je sais un peu l'horreur que c'est ).

Ah pardon ce n'était pas clair: "tous types d'expérience relationnelle confondus" si ça peut être plus clair ainsi (amitiés, collaborations, etc.)

Je comprends, après je me suis dit aussi en faisant le choix de changer d'environnement (très grosse ville à ville moyenne plus calme) que la faune était différente ^^ Mais ça c'était après les études.

Je me demande si l'ordre de développement des fonctions peut aussi influencer la socialisation. J'avais lu que pour certains NF, c'est plus laborieux car certaines fonctions sont encore jeunes à l'adolescence par exemple et par rapport à d'autres personnalités

La socialisation ? Tu veux dire le processus qui permet aux individus d'interioriser et d'intégrer les codes sociaux du milieu où il réside ?

Je pense qu'au contraire, Fe est un atout, et pas des moindres. Enbon garants de l'harmonie générale...
En l'occurence, les NT par exemple, ne se soucient même pas des codes. ( L'INTJ est un analyste des phénomènes sociaux, sauf qu'ille fait en bue de manipuler les codes afin de parvenir effecacement à l'objectif fixé).
Je pense que les difficultés de socialisation en cas de changement de milieu vient surtout dufait que les codes sociaux sont intériorisés par le sujet dès la petite enfance, inconsciemment. Et il est dans tous les cas très difficile, d'après les études, d'intégrer de nouveaux codes étrangers à ceux du milieu d'origine.

Pardon j'entendais socialisation au sens de "se sentir bien avec les autres", avoir trouvé une forme d'harmonie justement comme tu mentionnes cette idée entre son fonctionnement et globalement celui du groupe

Aaaah !... C'est donc une question un peu plus philosophique que sociologique ?

Je dirais que c'est un équilibre à trouver entre ses attentes personnelles et les attentes des autres.
L'harmonie est ce qui advient lorsque l'on satisfait soi-meme ses attentes personnelles avant de chercher à satisfaire des attentes extérieures. Parce qu'onne peut offrir à d'autres que ce que l'on possède déjà en soi. Une sélection de l'entourage à satisfaire est un bon complément.
Ardu, quelquefois, pour un Fe-dom...

C'est toujoirs cette question du : "a-t-on besoin des autres pour se sentir complet et satisfait ?"
Ayant une très vaste expérience de la solitude je peux dire que non.
Je dirais que le premier et principal obstacle de l'harmonie, c'est d'avoir besoin de l'autre. Et c'est le drame et le paradoxe de l'expérience...
Pourquoi, au fond, désire-t-on une harmonie ? Parce qu'il y a l'absence d'harmonie.
Poirquoi, au fond, a-t-on besoin de l'autre ? Parce qu'il y a l'absence de l'autre.

Et pourtant, ce sont ces besoins mêmes qui éloignent de nous l'expérience désirée...
C'est comme dans un couple... On ne peut être aimé que lorsqu'on accepte de n'être pas aimé comme nous voulons être aimé. Parce que l'expérience a besoin que nous liberions de l'espace pour qu'elle puisse advenir, et que si nous experimentons déjà le manque, alors l'expérience de la complétude ou de la satisfaction du désir n'a pas la place pour exister.

Flop a écrit:

Pourquoi, au fond, désire-t-on une harmonie ? Parce qu'il y a l'absence d'harmonie.
Poirquoi, au fond, a-t-on besoin de l'autre ? Parce qu'il y a l'absence de l'autre.

C'est marrant ce que tu dis là en vérité j'ai une approche "psychologique" de la vie désormais. Ainsi je répondrais différemment à la même question:

Pourquoi, au fond, a-t-on besoin de l'autre ?  => Parce que le besoin de l'autre est un besoin inhérent à tout être humain fonctionnel et qu'il peut choisir ou non de l'assumer. S'il ne l'assume pas (volonté ou alors pressions extérieures) névroses proportionnelles au degré de non remplissage du besoin
S'il l'assume, route de l'apprentissage pour assumer le besoin et puis épanouissement proportionnel au degré de remplissage du besoin

RIP le topic

Leenox a écrit:

Pourquoi, au fond, a-t-on besoin de l'autre ?  

Pour se soulager.

Guinea Pig a écrit:

Leenox a écrit:

Pourquoi, au fond, a-t-on besoin de l'autre ?  

Pour se soulager.

Tu es certain d'être xxFx et pas xxTx, toi?

Leenox a écrit:

Pourquoi, au fond, a-t-on besoin de l'autre ?  => Parce que le besoin de l'autre est un besoin inhérent à tout être humain fonctionnel et qu'il peut choisir ou non de l'assumer. S'il ne l'assume pas (volonté ou alors pressions extérieures) névroses proportionnelles au degré de non remplissage du besoin

Oui, mais dans ce cas alors, l'apprentissage consiste à prendre conscience du fait qu'il n'y a pas de besoin, tout simplement. Et c'est justement parce que nous croyons dur comme fer en l'existence du besoin ( nous y sommes attachés), que celui-ci existe et que nous experimentons une frustration.

Et c'est justement parce qu'il y a cette frustration que nous ne pouvons communier. Parce que l'autre ressens la faim de l'autre. Qil ya des attentes, etc... Il sent l'énergie du chasseur. Et comme il n'a pas envie d'être la proie... Il fuit.
Et nous sommes empêchés par cela même qui, en nous, a faim de l'autre, de nous en approcher.

La solution, c'est la résolution du besoin par soi-même.

Flop a écrit:

Oui, mais dans ce cas alors, l'apprentissage consiste à prendre conscience du fait qu'il n'y a pas de besoin, tout simplement. Et c'est justement parce que nous croyons dur comme fer en l'existence du besoin ( nous y sommes attachés), que celui-ci existe et que nous experimentons une frustration.

C'est intéressant pour moi ce que tu dis car ça me montre une autre vision de la vie. Je crois absolument que l'être humain est un être de besoins au contraire mais qu'il peut être empêché de les remplir ou mal les remplir. Souvent parce que pression extérieure qui l'en empêche sainement (éducation, pression morale, honte sociale, etc.) J'aime partir de ma propre expérience parce que je connais le chemin parcouru et les écueils aussi. Ainsi dans mon expérience je suis passée d'une jeune femme qui n'assumait pas ses besoins, les niait par méconnaissance d'en avoir réellement (venant d'une famille où les êtres se niaient ainsi de génération en génération par "ignorance de leur nature" et refus d'explorer d'autres visions, de les entendre logntemps aussi)
A une femme qui a appris à reconnaître ses besoins, à les assumer et les remplir, perdre de la honte et de la culpabilité associés à des besoins qu'elle estime donc inhérents à sa Nature et neutres, avec comme seul dilemme de les remplir d'une façon qui soit en accord avec ses valeurs et assez ce que la société demande (et qui ne se rend pas encore compte s'il est possible de trouver un endroit géographique pour commener dans ce monde pour accorder tout cela)

J'ai vraiment apprécié cette discussion en tout cas, elle a eu pour moi le mérite et l'intérêt de proposer des visions différentes de notre état d'être humain. Mallolo a raison quand elle parle d'ordonner les topics! Il va falloir penser à ouvrir plusieurs topics parfois pour faire plus clean ^^

Il y a des besoins, des aspirations de l'âme du moins. Des désirs très profonds, et nous sommes travaillés, et nous sommes enseignés , et même façonnés de l'intérieur par les failles en nous. Les zones ou nous eprouvons de la souffrance et des difficultés et où nous ressentons la présence d'un défi. Ce que nous confondons avec des "besoins"...
On remplit un contrat lorsqu'on part à la rencontre de nos failles...

Mais dans notre véritable nature, dans notre 'ature profonde, nous ne sommes pas affectés. Si grandes que soient nos difficultés et les douleurs traversées. Dans la vraie nature, nous ne sommes affectés ni par la honte, ni par les rejets, ni par les douleurs, ni même par le regard et le jugement de l'autre...
Je ne suis pas sûr que toi ou moi, ou personne ici, fasse réellement l'expérience de sa véritable nature.

merci aussi pour l'échange et désolé pour le HS.

C'est avant tout une question de probabilité, il y a moins de beaux et de personnes intelligentes et gentilles. La majorité sont cons, moches et méchants, donc forcément c'est rare de trouver une personne qui réunie les trois qualités.

Sinon en général les gars qui ne plaisent pas, ce n'est pas parce qu'ils sont trop gentils, mais soit parce qu'ils sont trop timides ou pas beaux (ou ne dégagent rien). Le physique compte énormément dans un premier temps (et oui c'est injuste, comme tout dans la vie), comme le dit cette citation "Le physique attire, l'esprit retient".
Mais au moins les personnes pas très belles auront plus de chance d'avoir des relations de qualité, pas basées uniquement sur le physique et qui se casse au bout de quelques mois. Ce qui est le plus important.

Sinon je rejoins Flop, il faut apprendre à être indépendant. Ce n'est pas sains/épanouissant d'avoir peur de la solitude et de se mettre en couple pour combler un manque/vide en nous.
Voir cette BD sur les liens d'attachements qui a déjà été posté sur ce forum : https://fannys.fr/les-liens-dattachement/

👍

Merci, Luna !

Un peu d'honnêteté, ça fait plais'.

Je trouve ma digression pas si HS que ça, à la reflexion... Un compliment est souvent employé comme un argument de séduction.
On apprend à l'autre qu'un intérêt existe.

Raison pour laquelle certains expriment une retenue vis-à-vis du compliment.
Il y a derrière ces difficultés à recevoir ou à donner un compliment l'intuition du fait que cela cache autre chose.

Le topic est tourné autour de cela sans véritablement l'assumer dès son début. Je n'ai fais que briser la glace.

J'avais l'impression de passer pour un monstre ou de faire l'objet d'extrapolations.

Leenox a écrit:

Guinea Pig a écrit:

Leenox a écrit:

Pourquoi, au fond, a-t-on besoin de l'autre ?  

Pour se soulager.

Tu es certain d'être xxFx et pas xxTx, toi?

Je suis très empathique. C'est peut-être possible de l'être tout en étant T. Je ne sais pas... Je ne suis pas assez détaché en tout cas. Trop émotif, réactif...


Pour ne pas être trop H.S., tu peux t'exprimer et même voter ici si tu le désires (en plus j'aime bien qu'on flatte mon ego) :  https://mbti.forumactif.fr/t2861-typons-guinea

Luna a écrit:

C'est avant tout une question de probabilité, il y a moins de beaux et de personnes intelligentes et gentilles. La majorité sont cons, moches et méchants, donc forcément c'est rare de trouver une personne qui réunie les trois qualités.

Heureusement que tout le monde n'a pas les mêmes critères pour déterminer qui est beau, intelligent et gentil
J'aime bien ne pas oublier qu'on est toujours le con de quelqu'un, ça relativise les relations.

Je suis d'accord avec μallollo. Mais j'aime bien aussi ne pas oublier que la plupart du temps, les critères de choix sont à la fois sociaux et stéréotypés, et que le "marché de la séduction" reste un marché — c'est-à-dire, un lieu de réification pour tous les partis. Après, on accepte les règles... ou pas.

J'ai l'impression qu'avec la maturité, l'aspiration au véritable lien grandit, et l'on apprend à être en relation avec autre chose que des critères sociaux. On apprend à voir dans nos relations autre chose qu'un consumérisme bas de plafond ou un lieu de prédation, et on est plus réceptifs à l'invitation qu'elles nous tendent à laisser l'amour entrer dans nos vies et baigner notre vision. Mais dans une société baptisée par les sociologues "la société de l'enfant-roi", cela va se rarefiant.

Je pense qu'il ne faut oublier ni l'un, ni l'autre.

Reste à savoir où se classe Luna...

μαllollo a écrit:

Luna a écrit:

C'est avant tout une question de probabilité, il y a moins de beaux et de personnes intelligentes et gentilles. La majorité sont cons, moches et méchants, donc forcément c'est rare de trouver une personne qui réunie les trois qualités.

Heureusement que tout le monde n'a pas les mêmes critères pour déterminer qui est beau, intelligent et gentil
J'aime bien ne pas oublier qu'on est toujours le con de quelqu'un, ça relativise les relations.

Globalement on croise plus rarement les trois qualités citées que l'inverse, il ne faut pas être de mauvaise foi. Après bien entendu, c'est subjectif et toujours par rapport à une référence/norme.
Et nous ne tombons pas amoureux uniquement de personnes "parfaites", mais d'un tout, avec les qualités et les défauts et heureusement car personne n'est parfait.
Et personnellement je trouve une personne trop parfaite, lisse et ennuyeuse.


Sinon @Guinéapig, on s'en fout de savoir où je me situe, je ne vois pas le rapport.

Luna a écrit:

Globalement on croise plus rarement les trois qualités citées que l'inverse, il ne faut pas être de mauvaise foi. Après bien entendu, c'est subjectif et toujours par rapport à une référence/norme.

Nan, mais bien sûr. C'est même pas des probabilités que de dire que la majorité des gens sont cons, moches et méchants (par rapport à nos critères perso), c'est juste qu'on a des standards élevés et c'est normal.

Par contre, des gens qui font partie de notre majorité cons-moches-méchants (CMM) pourront faire partie de la minorité BIG (beaux-intelligents-gentils) d'autres personnes. Au final, (presque?) tout le monde est susceptible d'être le BIG de quelqu'un.

Ça, pour la partie subjective non-évolutionniste, parce que la symétrie du visage et les biscotos, il parait que c'est bien ancré dans tout homo sapiens...