Rejet
- Éveil de la blessure : de la conception à un an. Ne pas sentir le droit d'exister. Avec le parent du même sexe.
- Masque : Fuyant
- Plus grande peur : la panique.

Abandon
- Éveil de la blessure: entre un et trois ans avec le parent du sexe opposé. Manque de nourriture affective ou du genre de nourriture désiré.
- Masque : Dépendant
- Plus grande peur : la solitude.

Humiliation
- Éveil de la blessure: entre un et trois ans avec le parent qui s'est occupé de son développement physique. Manque de liberté. Se sentir humilié par le contrôle de ce parent.
- Masque : Masochiste
- Plus grande peur : la liberté.

Trahison
- Éveil de la blessure: Entre deux et quatre ans avec le parent du sexe opposé. Bris de confiance ou attentes restées sans réponse dans la connexion amour/sexuel.
- Masque : Contrôlant
- Plus grande peur : la dissociation ; la séparation ; le reniement.


Injustice
- Éveil de la blessure: entre quatre et six ans avec le parent du même sexe. Devoir performer et être parfait. Blocage de l'individualité.
- Masque : Rigide
- Plus grande peur : la froideur.

je me suis essayé à le synthétisé sous forme de schéma



Lien avec l’énnéagramme
C'est une autre approche des blessures d'enfances en rapport avec les types énnéagrammes.



qu'en pensez vous ?

source a écrit:

Les 5 blessures qui empèchent d'etre soi-meme - Lise Bourdeau – Pocket
vidéo youtube de Jean-Philippe VIDAL

C'est les blessures qui nous forgent finalement ? (Je n'ai pas encore regardé la vidéo. Elle répond peut-être à ma question.)

Le point important de la vidéo (celle ci ou une autre du même gars) est que ça se forge surtout dans la subjectivité de l'enfant. Un retard d'une seconde d'un des parents peut-être perçu comme un abandon, une trahison, ect...
Donc l'un dans l'autre, oui, mais pas la peine de chercher un événement dramatique. La personne la plus saine au monde est aussi névrosé.
Le terme "blessure", si il est efficace pour véhiculer le ressentit de l'enfant, l'est moins pour la compréhension de l'adulte. Meh.

Citation :

Le terme "blessure", si il est efficace pour véhiculer le ressentit de l'enfant, l'est moins pour la compréhension de l'adulte.

Pour l'adulte, ils existent plusieurs notions qui permettent de voir ces "blessures" comme un enfant, le kharma, les pechés, les plaies, les sphères, ...


Tout ça est une représentation subjective de la dualité esprit/matière, alors qu'en fait elle est tout sauf subjective. Ce que je veux dire, c'est cette dualité existe, je pense que tout un chacun en fait l'expérience au moins une fois par jour, mais souvent on la voit comme un jeu à somme négative, alors qu'en fait non, il y a des oscillations mais la direction est toujours vers le haut, vers l'élévation.