Juste un passage éclair pour commenter ça -
Après deux ans à avoir bouffé de la théorie dans mon coin, je suis tombée dessus et j'avais étudié la question de cette nouvelle "classe" MBTI'esque. Voilà ma conclusion :
En gros, ça se base encore sur deux dichotomies A- T, de la même façon que les types " de base" se basent sur les dichotomies I et E, N et S, T et F et J et P. Mais pas sur les fonctions. Il y a plusieurs approches du MBTI, et ici c'est un peu le versant système "glamour" et "commercial" (axé sur les lettres) et non le versant "Jung" ou "John Beebee" (qui serait plus axé sur les fonctions) qui est développé à travers cette dichotomie.
"Self conscious" ou "self assured", avec comme critère la résistance au stress etc, ça me fait plutôt penser, en gros, à une variante introvertie dom ("comment les évènements m'affectent" T), ou jugement extraverti dom ("comment je peux impacter les évènements" A). Il y a aussi un rapport au passé - le T est plus susceptible de se poser des questions existentielles, le A de passer à autre chose rapidement. Entre il y a un groooos gros trou. Par exemple, un ISFJ et un INFP sont plus susceptibles d'appartenir à la dichotomie T - sensibles au stress, self conscious, interrogations liées au passé etc - ce ne sont pas des types reconnus pour une assertivité très marquée ou susceptibles d'aimer relever des "challenges" contrairement à un Te-dom par exemple. Mais l'ISFJ est moins susceptible de changer de travail ou de vie que l'INFP... Parce que Si-Fe // Fi-Ne. A côté de ça, l'ISFJ est plus susceptible d'être pro-actif que l'INFP. Ce seraient des "presque assertifs" ou des "presque turbulents". Ca manque de finesse dans l'approche, de façon globale. Du coup, on fait quoi? Ca ne marche pas sans devoir couper les angles... Donc ça ne marche pas tout court.
Voilà, fin de la parenthèse. Keep on chiling guys.