Bienvenu sur mon beau sujet ! (Fin beau…) Bref, première chose, maudissez Etienne pour m’avoir fait découvrir ceci :
https://www.youtube.com/watch?v=k-IAmX22IRY
Parce que du coup je l’écoute en boucle et vu que ce n’est pas très joyeux, je ne suis pas très joyeux non plus !
Bref, utilité du topic ? Me mettre en avant, vous montrer à quel point je suis meilleur que vous en tout point
Sinon, m’aider à définir ce que je suis grâce à l’analyse de mon comportement et enfin me dire si je suis ENFP, ENTP ou ESFP, les français ont le droit de savoir !
Bon, par où commencer… On va dire par ce qu’on voit le plus vite puis on ira plus profondément au fur et à mesure (et je parle de ma personnalité !).
1ère couche :
Le sport :
Oui, le sport, peut être un choix étrange pour un début, mais c’est la première chose qu’on remarque quand on me voit, c’est que j’en ai fait ou que j’en fais toujours. Donc dans les faits, j’en fais toujours, énormément, au minimum 6h par semaine, au maximum… surement au moins 10 ou 12h.
Quels sports ?
De tout ! Squash, foot, musculation, course à pied, basket, marche, tout ce que je peux faire je le fais (et on rajoutera la boxe dans la liste à partir de la rentrée).
Pourquoi ?
Parce que je me fais chier ! Autant le dire clairement, je me fais chier tous les jours, j’ai trop d’énergie, je ne réussis pas à rester concentrer sur quelque chose sans en faire douze autres à côté pour m’occuper. Même écrire ce post ne m’occupe pas suffisamment pour rester concentrer. Le sport est un bon moyen de m’occuper, de me fatiguer (fin, et encore) et de me lâcher, de me défouler en gros.
Mais c’est aussi plus que ça, c’est devenu une vraie passion, je me suis énormément documenté sur la nutrition, les exercices, les muscles qui travaillent quand on fait du sports, les différents types de fibres musculaires, les différents types de muscles les interactions chimiques dans notre corps, comment interpréter les signaux qu’ils m’envoient, tout, j’ai tout voulu savoir (mais je suis loin d’y être arrivé…). Bref, le sport est très important pour moi et je n’arrêterai jamais d’en faire (fin, sauf si j’ai des problèmes physiques !).
Il y a aussi d’autres raisons qui font que j’aime le sport et l’effet qu’il a sur moi, mais ça sera développé plus bas.
Pourquoi² ?
Et oui un deuxième pourquoi, pour revenir sur ma motivation première de faire du sport. J’avais arrêté pendant plusieurs années à cause d’un problème au genou et de déménagements fréquents, j’ai finalement repris en Octobre 2013 pour faire plaisir à mon ex et pour perdre du poids. J’ai arrêté après noël (parce que +3KG en 15 jours, toutes mes performances avaient baissées, ça m’a totalement miné le moral) et j’ai finalement repris plus que sérieusement en avril (17 avril exactement). On peut donc dire que le sport et ce qui l’entoure est devenu un mode de vie depuis le 17 avril (Dorloth -> Ce qui explique que j’ai pas encore de pecs :P).
La motivation du base, qui était au départ uniquement sur l’apparence physique est très vite passée, maintenant je recherche uniquement les performances, fait toujours plus de séries, courir toujours plus vite, devenir toujours meilleur et pour ça, en déplaise à ceux qui m’ont comparé à un rom illettré, j’utilise énormément ma colère (mais j’y reviendrai, beaucoup plus bas !).
Bon, toujours sur la première couche, la plus visible, on passe au social !
Le Social :
Je pense être un ENFP, en tout cas, j’ai tous les points des ENFP vis-à-vis de mon comportement avec les autres. Je suis extrêmement sociable, si l’envie m’en prend, j’aborde n’importe qui n’importe où n’importe quand (qui n’a jamais parlé avec son voisin de cabinet de toilette ? … X)). Bref, je me considère comme étant social et comme étant une personne avec beaucoup d’humour, c’est l’une des premières qualités qu’on me reconnait. Je réussi à m’intégrer dans n’importe quel groupe, je suis doué pour remonter le moral des gens, je peux ptetre même me permettre de dire que je donne une certaine énergie aux gens qui m’entourent. Je n’ai que peu de préjugés, je ne porte pas de jugements vis-à-vis des autres, mon avis sur une personne change tout le temps en fonction de ses actes, je ne suis pas rancunier tant que ça ne touche pas à mes valeurs (ça aussi j’y reviendrai, c’est quelque chose que j’ai du mal à définir).
Pourtant, tout n’est pas rose !
Une amie, il y a peu, m’a dit quelle image je donnais à la première rencontre, avant de commencer à parler. Je suis apparemment quelqu’un d’intimident physiquement, un bourrin, un ours. Apparemment ma démarche dégage une impression de « puissance » et de « rage ». Le deuxième point n’est pas forcément faux. Je pense que c’est effectivement le cas, j’ai les épaules larges, voire très larges comparées à mon ventre, le haut du dos extrêmement développé musculairement parlant (d’après la miss, de dos, je fais « bloc »), je marche vite, mes pas sont lourds, je n’ai aucune grâce, mes geste sont rapide, précis mais brusque, bref, je ressemble plus à un ours qu’à un joli petit écureuil.
Pourquoi cette démarche et cette posture ?
C’est une très bonne question, j’ai plusieurs problèmes de dos, pas de douleurs, mais ma colonne vertébrale a la forme d’un grand 8, je suis à la fois très cambré et avec les épaules qui ont tendance à partir en avant (ce qui accentue encore leur taille vu de derrière)… Bon par contre ça me fait un cul bombé =3
Enfin bref, de base, je ne me tiens pas droit.
De tout ça il en résulte une aura menaçante et intimidante apparemment (qui s’estompe dès que je commence à parler avec les gens, mais qui revient très vite dès que je ne dis plus rien) et pour améliorer cette impression, j’ai un regard naturellement très froid, même quand je ne le suis pas…
En bref, je ne suis jamais le genre de type à qui on demande une cigarette et rarement celui qu’on cherche à agresser (ça m’est déjà arrivé, mais rien de franchement palpitant ><’). Mon attitude physique contraste beaucoup avec la personne que je suis quand je parle, mais je n’ai pas encore trouvé de mauvais côté à ça (à part que les filles ne viennent jamais me voir du coup
).
J’y pense, ça a peut-être mon rapport avec mon type 8 ?
2ème couche :
On reste dans le social !
Mais là c’est ce qui se passe dans ma tête quand je suis avec les autres et pas ce que les autres voient. J’en ai parlé aujourd’hui (08/08/2014) avec Jicky sur le chat, je communique beaucoup de chose et je fais très souvent varier les émotions au cours d’une discussion. Je vais séparer les sexes car mon comportement avec les filles est très différent de celui que j’ai avec les mecs.
Avec les fille : Je ne peux pas m’empêcher de séduire quand je suis célibataire, que ce soit sur internet, en vrai, ou même juste pour demander une baguette, je ne peux pas m’empêcher de regarder, de sourire de manière à déclencher de l’intérêt ou un soupçon d’attirance. Je n’en retire rien de particulier, ça ne me flatte pas de voir qu’une fille est réceptive à mon charme ou non, c’est juste… quelque chose que je fais naturellement et une première manifestation (et là j’en suis sûr) de mon type 8.
Pourquoi est-ce que j’en suis sûr ? Parce qu’une personne attirée et charmée est beaucoup plus simple à « garder sous contrôle ». Pourtant, je n’utilise pas ce contrôle, je ne cherche pas à coucher de partout ou à faire souffrir, je ne sais même pas pourquoi je fais ça, mais je le fais systématiquement. Autre point que je trouve intéressant, c’est que les filles qui résistent à cette partie de moi m’attirent énormément et je leur cours après pendant un certain temps :P
Maintenant, dans le détail :
Ce que j’entends par le changement d’émotion, c’est de faire rire une fille par exemple, parfois jusqu’aux larmes puis l’instant d’après, glisser de manière anodine une phrase sur ma grand-mère qui a Alzheïmer et qui insulte mes parents, avant de repartir sur les sensations que j’ai eu lors de mon saut en parachute. Encore une fois, je n’explique pas pourquoi je fais ça, je souffle un coup chaud un coup froid, un coup l’humour, un coup le sérieux, un coup une ambiance détendu, tactile et chaleureuse, le coup d’après je serai froid, distant et électrique et le tout plusieurs fois en une période de quelques minutes. Je change du coup très souvent de sujet de conversation et j’ai l’impression que ça peut très vite créer chez certaines fille une dépendance vis-à-vis de moi (la par contre, n’étant pas dans leur tête, je préfère ne pas m’avancer).
Ceux qui étaient là hier sur la cb en ont eu un exemple, j’ai été très froid, voir en colère quand on parlait de mon ex et de son problème, voir même carrément imbuvable, puis beaucoup plus détendu 5 minutes plus tard quand Jicky donnait ses cours :P J’ai beaucoup de mal à l’expliqué car je manifeste ou cherche à créer des émotions que je ne ressens pas forcément.
Pour les mecs, c’est beaucoup moins drôle. Dans un groupe de mec que je ne connais pas, on pourrait me comparer à un loup qui veut être le mâle dominant et qui se bat (parfois réellement, mais c’est rare) pour y arriver. Je reste gentil et drôle, mais je joue beaucoup moins sur le registre de l’émotion, je suis beaucoup plus présent physiquement, je parle plus fort, je m’impose beaucoup plus pour « prendre le contrôle » en quelque sorte du groupe. Je ne cache pas que je n’ai pas forcément beaucoup d’amis hommes et mes amis très proches sont ceux que je ne « contrôle » pas (j’aime de moins en moins ce mot car mon « contrôle » ne me sert pas).
Voilà globalement ce que j’ai dans ma deuxième couche. Je me fous totalement de plaire ou de ne pas plaire cela ne m’apporte rien, encore plus quand il s’agit de simple rencontres au cours d’une soirée (le milieu professionnel c’est différent, mais j’en parlerai juste en dessous). Ces observations me permettent aussi de confirmer la domination du Sx chez moi, la recherche constante de sensations, la création de sensations, l’énergie que je déploie pour séduire, mon comportement de manière général doit permettre de le confirmer (je n’accorde pas forcément beaucoup d’importance au test sur les instincts même si j’ai eu 70% pour Sx et So).
Couche 3 :
En fait le système de couche est très mal choisi parce qu’en couche trois on peut trouver des trucs qu’on verra directement chez moi ><’
Bref, changement de musique pour que je puisse m’évader un peu plus profondément dans ma tête :
https://www.youtube.com/watch?v=XINlEYXA3k0
Merci Etienne ! :P
Par où commencer…
« Quand on veut, on peut, si je le veux, je le peux, si je le peux, je le fais »
Cette phrase résume très bien la façon dont je dirige ma vie et je vais commencer directement avec des exemples :
Je voulais être plus musclé, je le suis aujourd’hui,
Je veux pouvoir être pilote sur circuit, je suis des stages de pilotage et je me renseigne pour les droit d’entré sur les circuits en France pour pouvoir y aller avec ma futur voiture,
Pour mon stage, dès le premier jour je voulais la place du responsable technique du projet, 1 mois après, je l’avais.
Voilà, trois exemples qui reflètent très bien la phrase que j’ai mis au-dessus. Si je veux quelque chose, je l’aurai, qu’importe le moyens, je peux être totalement sans pitié si nécessaire et je fonctionne pareil dans mes rapports avec les autres. Mon ex, la seule fille actuellement qui a réellement su m’intéresser, pour l’avoir, j’ai planté son couple avec son premier copain, j’ai utilisé son désir de changement pour jouer en ma faveur, j’ai utilisé la jalousie maladive de son copain de l‘époque pour le rendre insupportable, en trois mois j’ai détruit un couple qui existait depuis plus d’un an. Cela a par contre eu des répercussions sur mon couple après, mais c’est une autre histoire que je n’aborderai pas ici. Les barrières matériels ne m’arrêtent pas, l’argent ne sera jamais un obstacle, si je n’en ai pas assez, je travaille plus pour en avoir, seul les barrières morales que je me fixe peuvent m’empêcher de faire quelque chose, mais j’y reviendrai juste en dessous.
Autre exemple qui me vient en tête et qui permet d’introduire peu à peu la place du combat dans ma vie, c’est sur mon époque collège. Avant le collège, j’étais le souffre de douleur des petits de mon âge. Le collège, l’augmentation du nombre d’enfants à changer sensiblement la donne, mais ce n’était toujours pas ça ce n’était pas ce que je voulais. Je me suis donc battu, à de très nombreuses reprises. Je voulais qu’on me craigne et qu’on me respecte, j’y suis finalement arrivé, mais j’ai bataillé dur, les préjugés sont durs à casser et parfois même se lever en plein cours pour foutre une mandale à un pauvre con qui est à l’autre bout de la classe ne suffit pas.
La force que je tire de tout ça, c’est une énorme volonté et une détermination au moins aussi énorme. Actuellement, toute mon activité sportive sers à me préparer pour la boxe, je me suis fixé pour objectif d’atteindre un niveau européen et je sais que si je dois faire 8-10-12h de boxe par semaine pour y arriver, je le ferai car j’accomplis toujours mes objectifs et même si certains en ont rigolé hier, je n’échoue jamais.
L’intolérance envers l’échec :
Finalement je repousse le paragraphe sur les valeurs, désolé, ce n’est pas très structuré !
J’ai toujours été en concurrence avec quelqu’un. Depuis que je suis petit, je suis en concurrence avec mon frère, qui a 7 ans de plus que moi. On se tapait souvent dessus, je cherchais toujours à être meilleurs que lui, sur tous les domaines, y compris physiquement (mais avec 7 ans d’avance sur moi, il avait quelques avantages ^^ (j’insiste sur le avait :P)). J’en ai développé une haine profonde envers l’échec, que ce soit le mien ou celui des autres. J’ai vécu me premier échec, la première chose que je peux qualifier comme un échec, il y a pas longtemps en ne parvenant pas à aider mon ex avec son problème. Depuis, je suis constamment en colère, j’ai constamment envie de frapper, de me défouler, mais c’est mon échec, j’en assume les conséquences. Là où c’est plus problématique, c’est que j’en viens à mépriser ceux qui échouent dans leur vie, celui ou celle qui a raté ses études, celui ou celle qui n’a pas atteint les objectifs qu’il s’était fixé, le moindre échec entraîne chez moi du mépris envers la personne (et donc oui, avant que vous posiez la question, je me méprise, énormément, surtout que j’ai eu un deuxième échec il y a peu de temps… Mauvaise période x)). En bref, je ne supporte pas l’échec, le mien comme celui des autres.
(Je suis allez acheter des chaussures entre temps, du coup j’ai un peu perdu le fil ><)
On passe aux valeurs !
Je vais avoir beaucoup de mal à décrire mes valeurs morales, les barrières qui m’empêchent de faire certaines chose car je n’arrive pas à mettre des choses dessus, c’est… un ressenti plus qu’un règle stricte. J’ai bien entendu quelques règles strictes, comme ne pas frapper une femme par exemple, mais la plus part de mes barrières ne sont pas réellement descriptibles, il y a toujours une partie de flou. La plus simple, c’est celle qui fait que je ne prends jamais de risque en voiture quand quelqu’un est avec moi, c’est quelque chose que je n’enfreindrais jamais, alors que quand je suis seul, je suis hyper dangereux, mais je sais pas, dès que quelqu’un est avec moi j’ai un blocage. Pareil, vu qu’ils en parlent sur la chatbox pendant que j’écris ces lignes, jamais je ne me retournerai sur une fille dans la rue, quelle que soit sa tenue, c’est quelque chose que je ne fais pas et que je serai incapable de faire.
C’était court comme partie, mais je pense avoir bien mis en évidence mon incapacité à passer outre mes valeurs, mes barrières, ce sont les seules règles que je respecte réellement, les autres règles, celles de la société, je ne respecte que celle qui peuvent m’amener à avoir de gros problèmes avec la justice.
J’ai l’impression d’oublier pleins de choses, mais je complèterai avec vos interventions !
On passe à la dernière couche, celle qui regroupe les deux sentiments qui me dominent le plus.
4ème couche
« La jalousie mène à la peur, la peur mène à la colère, la colère mène à la haine et la haine mène au côté obscure » Yoda, Star Wars épisode V.
Non, ce n’est pes la jalousie qui me tue, ni la peur, pour cette dernière sensation, elle est quasiment inexistante chez moi, au même titre que le stresse ou le fait d’être anxieux.
Je vais par contre m’attarder sur la haine et la colère.
La haine, je la ressens envers tous ceux qui sont meilleurs que moi ou tous ceux qui ont quelque chose que j’ai défini comme étant un objectif. C’est l’un des deux moteurs de ma vie, elle m’aide à me surpasser, à sortir de ma zone de confort pour m’améliorer, pour devenir meilleur que celui qui est sujet à cette haine. Une fois que c’est fait, je ne le haïs plus, je ne ressens plus rien pour lui ou alors je le méprise car il n’a pas travaillé assez dur pour rester plus fort et a donc échoué. C’est quelque chose qui est profond en moi, que j’ai beaucoup de mal à expliquer, j’ai haïs mon frère, j’ai haïs mon frère, j’ai haïs des amis, j’ai haïs mon ex, j’ai haïs beaucoup de gens différents pour des raisons différents, mais ce n’est jamais de la haine destructrice comme on pourrait le penser. Comme je l’ai dit, c’est une énergie pour moi, un brasier sans fin qui me booste, qui me motive. C’est dur à expliquer, mais c’est pourtant très simple à ressentir.
La colère par contre, je peux l’expliquer très facilement. Je suis toujours en colère, et 99% du temps c’est contre moi que je ne suis pas satisfait de ce que je réussis à faire. Je suis ambitieux, je veux toujours plus, quel que soit le domaine. Je veux plus de force, je veux être plus intelligent, je veux être plus riche, je veux je ne sais quoi d’autre, je ne me contente pas de ce que j’ai tant que je sais que je peux avoir mieux. Je suis perfectionniste et tout ce qui n’est pas parfait mais sur lequel je peux influencer me met en colère car je ne fais rien pour améliorer les choses. Je suis en colère contre moi-même car je n’ai pas su régler le problème de mon ex, je suis en colère contre moi-même que j’ai été moins bon, moins séducteur que le type qui s’est barré avec la fille que je convoite. Si je pouvais avoir à faire à mon double, je lui cognerai dessus jusqu’à ce qu’il ne bouge plus. Cette colère, je la ressens depuis que je suis tout petit, elle s’alimentait avec les moqueries des autres, puis je me suis mis à l’alimenter moi-même en voyant ce que les autres savaient faire que moi je ne savais pas faire car je n’étais qu’un incapable. Cette colère me booste considérablement dans tout ce que j’entreprends, ça peut sembler clicher, mais j’en ai besoin pour avancer, si je ne suis pas en colère contre moi, je stagne. J’étais en colère en octobre car j’avais un peu de ventre. J’étais en colère contre moi en avril car je n’arrivais pas à régler le problème de mon ex, je suis en colère contre moi aujourd’hui car j’ai raté deux choses qui étaient extrêmement importantes pour moi.
Cette colère, je ne la montre que rarement, voir même jamais, mais les fois où elle sortait, il valait mieux ne pas en être la cible, mon enragement dans ces moment-là me rend complètement aveugle et me fait perdre tout contrôle. Frapper dans un mur en béton au risque de m’y casser la main, aucun problème, exploser du pied le coffre de ma voiture parce qu’on l’a vandalisé, déjà fait, massacrer un type qui n’a pas écouter mon avertissement, j’ai aussi dû le faire. Je hais ces pertes de contrôle car elles ne sont jamais sans conséquences. Cela fait plus d’un an et demi que je n’ai pas explosé, je sais pertinemment que le jour où ça arrivera, j’aurai de nouveau un certain nombre de problèmes à cause de ça. C’est surement à plus grande faiblesse et c’est pour ça qu’elle se trouve dans la dernière couche…
C’est pas très clair, ça paraît très superficiel, mais je n’arrive pas réellement à décrire ce que je ressens, c’est… bizarre, presque insaisissable.
Bref, j’ai oublié pleins de choses, mais c’est déjà largement assez long comme ça, je répondrai à vos remarques si vous avez le courage de tout lire et je donnerai des précisions sur des sujet spécifiques si vous avez des questions.
Voilà, bisous !