Bonjour!

Je me demande dans quel milieu/études/métier/ ou même manière de vivre l'INFP peut-il être satisfait? Si vous voulez partagé vos expériences ou vos idées, je suis tout ouïe !

Qu'est ce que tu as envie de faire? Que souhaites tu apporter au monde? Ou penses tu avoir de la joie à Etre?

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Citation :

surtout sur le fonctionnement de la société

Citation :

Je pense que je serais satisfait en ayant par exemple un métier à mi-temps plutôt axé relationnel,

T'as déjà pensé au social ?

Oui j'y ai déjà pensé mais je n'ai rien vue qui me bottais vraiment jusqu'à présent, après je n'ai pas fais assez de recherche sur les métiers de ce secteur. A voir...

Spirit a écrit:

Oui j'y ai déjà pensé mais je n'ai rien vue qui me bottais vraiment jusqu'à présent, après je n'ai pas fais assez de recherche sur les métiers de ce secteur. A voir...

je suis très péjoratif... mais

beaucoup de relationnel, mi-temps, et le coté humanitaire qui semble t'importer... c'est la définition du social pour moi (on pourrait rajouter bas salaires )


sinon j'aurais proposé la vente, (énormément de relationnel...) mais très peu en corrélation avec le reste de tes valeurs.

Spirit: BTS Assistant social, c'est plus concret que l'océan de l'humanitaire car tu aides des gens au quotidien et tu vois la portée directe de tes actions. Tu bosses avec des familles avec qui tu pourras exercer ton empathie, ton sens de l'écoute et à mon avis, c'est pas très grave que tu sois timide pour ça.

Vu ce que tu viens de lister, je ne vois pas quelles objections tu pourrais apporter à cette piste.

J'ai envie de dire, la timidité tu peux apprendre à t'en défaire. Je le suis aussi en général et je dis pas que c'est facile, mais gâcher ton potentiel parce que tu es timide, je trouve ça très dommage. Et puis c'est bizarre mais dès que la situation devient "professionnelle" (examens oraux par exemple), je perds toute trace de timidité, et j'ai une sorte de force qui me rend très efficace.

GreenMo' a écrit:

J'ai envie de dire, la timidité tu peux apprendre à t'en défaire..

+1 C'est comme le stress c'est une question de travail personnel et de volonté !


Ekkie, j'ai aussi pensé au DUT Carrières Sociales

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Spirit a écrit:

Citation :

Et puis c'est bizarre mais dès que la situation devient "professionnelle" (examens oraux par exemple), je perds toute trace de timidité, et j'ai une sorte de force qui me rend très efficace.

Moi pas vraiment ça me stress plus qu'autre chose, mais oui je pense qu'avec de l'expérience on apprend à être moins timide.

Oui, c'est en tombant qu'on apprend à marcher, les premières fois tu vas stresser, quand tu verras qu'on ne meurt pas d'un coup de crise cardiaque... bah le stress s'en ira de lui même .

Ptet que plutot que de te chercher un metier tu peut aussi voir ce que tu as envie de faire dans la vie tout court PUIS chercher quel metier te le permet...

Je dis ca je dis rien...

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[quote="Spirit"]

Citation :

autant chercher des métiers dans des secteurs qui serait susceptible de me plaire non?

Un metier qui te plait, par logique il doit être proche de tes passions non ?

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Citation :

Oui mais puisque ce que je souhaite faire est irréaliste, c'est-à-dire vivre d'une passion,

Tellement irréaliste que des milliers de gens vivent chaque jour de leurs passions...Moi compris...  

Est ce que tu voit que la tu ne crois pas en toi des le début du processus?

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Si je peux me permettre de partir un peu dans une analyse MBTI, je pense que ton problème se situe dans un Ne plombé par ton Fi. Le Ne entraperçoit des possibilités, les domaines qui t'intéressent et qui t'excitent, puis le Fi arrive et juge, compartimente, relativise à la fois ton intérêt et ta compatibilité avec de tels domaines.

En premier lieu, je te conseillerais de raffermir ta détermination par un moyen très simple : tu choisis un des domaines que tu as évoqué, et tu t'y plonges. Tu produis, lis, écris (ou compose) beaucoup dans cette voie, et tu regardes le truc le plus important : est-ce que ça te plait vraiment. Je connais beaucoup de gens qui me disent "oh, j'aimerais bien être écrivain, j'ai des idées d'histoires" mais très peu qui aiment vraiment l'acte d'écrire, cette sorte de jubilation que tu ressens quand les mots se déversent sur ta page à toute berzingue. Rien qu'en faisant ça, tu pourras probablement virer un ou deux trucs de ta liste.

Ensuite, pour ce qui concerne la motivation, je vais te ressortir une citation intéressante sur le sujet : "People often say that motivation doesn't last. Well, neither does bathing, that's why we recommend it daily."
Si tu ne lis pas l'anglais, on peut la traduire en gros : "Les gens disent souvent que la motivation ne dure pas. Le bain non plus, c'est pour cela qu'on le conseille quotidiennement". La volonté ou la détermination ne doit pas être totale et absolue à chaque instant de ta vie éveillée. Simplement, tu dois avoir assez de motivation pour faire au moins un pas chaque jour dans la direction que tu as choisie. Un pas par jour, c'est suffisant pour atteindre n'importe quelle destination.

Bref, voila pour mes petits conseils.

Je plussoie Hard pour son point de vue sur la motivation !

La psychologie et les sciences sociales sont relativement faciles d'accès (Fac)

Par contre pars dans l'optique que cela risque de t'entrainer dans des études longues.
(Chercheur en science sociale c'est doctorat non ?)

Je ne sais pas si le doctorat est obligatoire, mais c'est un plus non négligeable. L'avantage du doctorat c'est que t'es obligé d'avoir un financement, donc c'est un moyen d'étudier et de rentrer dans la recherche tout en étant indépendant financièrement (bon, tu gagnes pas l'euromillion non plus. ^^)

hard a écrit:

Je ne sais pas si le doctorat est obligatoire, mais c'est un plus non négligeable.

 Effectivement, Bien que statistiquement, les non docteurs doivent être plus rare que qu'une poule avec des dents. (bien que ce proverbe ait été faussé par la découverte d'une race de poule dentée.)  


Mais l'avantage d'etre docteur en science sociale....
C'est que tu travailles à ton rythme, tu peux faire en plus des Cours/conférences/séminaires etc.
Tu peux aider les gens.
Tu es sur un travail très abstrait (ce qui devrait te plaire au vu de ta présentation.)
Le principe de laisser des portes ouvertes lors des études(je pense que de faire le switch vers une autre filière sociale, psycho ou autre, si ca ne te plait pas, ne doit pas être trop hardu).

Ouais, fin le changement de filière, ça se fait pas trop tard non plus. Si t'es en master 2, ça risque d'être tendu. ^^

hard a écrit:

Si je peux me permettre de partir un peu dans une analyse MBTI, je pense que ton problème se situe dans un Ne plombé par ton Fi. Le Ne entraperçoit des possibilités, les domaines qui t'intéressent et qui t'excitent, puis le Fi arrive et juge, compartimente, relativise à la fois ton intérêt et ta compatibilité avec de tels domaines.

Pour reprendre tes mots, je verrais plutôt le Te qui plombe les nombreuses ambitions entraperçues par Ne, mais des ambitions à base de Fi (musique, aide, social). Je ne conçois pas le Fi comme quelque chose qui freine, qui juge et vérifie si la chose est en harmonie avec les valeurs du sujet certes, mais étant donné que cette fonction est à mon avis à la base de l'idée en question (ici ses nombreux projets), je vois plus ce rôle destiné au Te, qui s'exprime par son insuffisance. A savoir la difficulté d'affirmation de soi : "je suis trop timide pour faire ça" , "j'ai pas la motivation", la difficulté à être structuré, la noyade dans les détails (Spirit n'entrevoit que le début de ses idées et ne se décide pas à s'y mettre, en suivant tes conseils évoqués après il devrait avoir une idée de comment d'y prendre   ).

Au fait Spirit, as-tu pensé à l'hypothèse du type 9 dans l'enneagramme ?

Oui, tu as raison, dans le sens où le Te-inf mal maîtrisé est ce qui plombe son Fi, et par là-même l'empêche de s'affirmer. Mais je persiste à dire que l'action du Fi est indéniable, dans ce sens où il essaye de s'accorder à ses valeurs dans son travail, mais déprime devant la difficulté potentielle.

Par contre, il n'a pas "peu" de Te, mais son Te est profondément inconscient et mal maîtrisé, ce qui entraîne des expressions incontrôlées et mal maîtrisées (l'excès de pseudo-rationalité dans la perspective qu'il a sur ses possibilités)

Spirit, je comprends bien ce que tu ressens, en tout cas je pense. Ce choix pro a été un vrai calvaire et encore aujourd'hui, je suis qu'à moitié satisfaite.

C'est pas facile comme décision à prendre. Pour ma part, ce qui m'aurait vrt aidé c'est d'aller voir en personne les différentes études et métiers envisageables, de faire des stages découvertes... car ça permet vraiment de se faire une idées concrète des choses. Et je te conseille même de rencontrer 2,3 pros à chaque fois, de découvrir des milieux de travail différents, pr te donner une idée objective et pas juste comme toi tu aimerais ou te l'imagines.
Cet été si tu peux profiter d'avoir un peu de temps, car plus tard c'est vrt quelque chose qu'on peut regretter, de n'avoir pas pris assez d'infos et de s'être mis dans qch que l'on n'aime pas.

Un métier et un milieu de travail qui m'aurait bcp plus, être instit spécialisé (je sais plus le terme exacte, car c'est encore différent de l'insit en CLIS, mais il faut déjà être instit à la base et ensuite suivre une formation plus axée psycho, car svt ces enfants ont de lourdes difficultés sociale et familiales), du coup tu prends en charge de tout petits groupes d'élèves et tu reprends les cours en analysant les difficultés et en faisant pas mal d'improvisation. Souvent des élèves à la limite du handicap, qui ont un grand besoin de coaching. Et tu as bien le temps de récupérer nerveusement et d'avoir un tas de loisirs à côté.