Je pense que c'est un thème qui touche beaucoup les NF et surtout les INFJ car il mélange la compassion, la faculté de voir au-delà des apparences et des évidences que tout le monde perçoit, la pensée visionnaire, l'expérimentation qui demande la patience et la foi.

En France, mais aussi dans la plupart des pays occidentaux qui sont tout aussi sauvages que les autres qu'ils critiquent, nous ne mettons pas assez de moyens au service de la réinsertion des criminels. Une erreur peut être pardonnée. Un viol, un meurtre, un vol, tout ça peut être essuyé si la personne fait acte de rédemption. Et souvent on le voit les anciens criminels deviennent des personnes gentilles, qui se sentant coupables oeuvrent pour le bien-être, s'inscrive dans des associations pour venir en aide aux malheureux et déshérités.

D'autres continuent dans le crime et le vice parce que personne ne leur montre le chemin et que la société reste intransigeante à leur égard, alors que l'amour et le soutien pourraient tout changer.

Et… en ce qui concerne les criminels qui sont aussi des fachos ? (ce n'est pas si rare !)

Il faut leur pardonner s'ils font des efforts et ressentent vraiment le besoin de changer et l'envie de faire le bien pour corriger leurs erreurs. Il faut donner sa chance à l'homme, même quand il a gravement fauté. Les gens doivent accepter de sortir des cercles du vice et de la malfaisance (même si certains refusent, c'est ceux-la qu'il faut punir et qui deviennent des fachos ou des voyous avec une mentalité de facho mais sans le côté politique et structuré du facho).

la prison n'a jamais rendu les gens meilleurs... parcontre les travaux d'interet généraux, ça fait réfléchir.

Tout à fait d'accord avec cela Lauter. Mais il faut aussi apporter une morale et un éveil de conscience, un apprentissage des valeurs essentielles : le contentement, la charité, le pardon, la modération, le partage, l'évitement des passions et des instincts malsains.

Sinon c'est juste de la simple répression et ce n'est pas satisfaisant pour eux. Dans ce cas la les prisonniers nourrissent la rancoeur et il n'y a pas d'apaisement. Mais pour qu'il y ait cette libération il faut aussi que les autorités travaillent à ces fins et se montrent fermes, mais indulgentes sur les faiblesses qui existent en poussant à sortir de l'enfer. Si tout le monde se mobilisait de cette manière en épurant son esprit et ses comportements nous découvririons la véritable satisfaction, la joie et la réconciliation, tous unis mais différents dans un grand et beau rêve éveillé ou chacun trouve sa place spontanément ou petit à petit, pour les faibles et les déviants.